Enceinte de Zayn Malik

chapitre 27

MA FICTION EST LA PREMIÈRE EN ALÉATOIRE !! MERCI!

P.D.V de Brooke.

On donnerait tout pour revenir en arrière pour juste revivre un instant cher et surtout modifié le passé pour arranger le présent

Je décale de quelques centimètres le rideau pour observer convenablement la foule se trouvant sous mon immeuble. Une cinquante de personnes hurlant sous la pluie battante se démènent pour trouver Zayn ou avoir une photo de Siana, de moi accompagnées de Zayn pour faire le buzz sur les réseaux sociaux. Cinq jours où ma vie est épiée de fond en comble, cinq jours où ma vie est déballée sur le net. Mon nom et celui de Zayn ce sont retrouvés en TT mondial sur Twitter. Des insultes ou encore des menaces me sont destinées. Des photos de ma fille et moi, de Siana et Zayn, ou bien du chanteur et de moi forment le nouveau buzz. La plupart des magazines people stupides s'arrachent ces photos, et écrivent des articles totalement dérisoire. Mon visage est placardé partout et je commence à sombrer dans une genre de folie. En effet, depuis cinq jours je ne sors plus de mon appartement, ni Siana. Nous sommes cloîtrées entre nos murs, et je ne supporte plus cette isolement.

« Brooke ? Je mets dans quelles valises les habilles de Siana? » Trisha m'interpelle, et je lâche le rideau avant de lui répondre.

« Hum.. N'importe laquelle. » Je lui souris timidement. J'ai décidé de quitter pendant quelques temps Bradford. La pression est trop importante, et j'ai besoin de m'éloigner. Peut être pas définitivement, mais assez longtemps pour que mes pensées s'éclaircissent, et que les fans de Zayn arrêtent leurs insultes, et les folles rumeurs courants. « Je suis désolée de partir Trisha.. Mais tout ça est trop pour moi. »

« Mon enfant. Viens par ici. » La femme brune ouvre ses bras, et quelques secondes plus tard j'y suis cachée. « Partir ne veut pas dire que les liens vont être brisés, non partir signifie juste prendre de l'espace, et trouver des solutions adéquat à nos problèmes. » Sa main trace des formes circulaires sur mon dos pour apaiser les sanglots qui sont apparus au cour de son monologue. De plus, son monologue a un double sens. Elle parle aussi de son fils, de la distance qui met entre nous, du fossé qui se creuse un peu plus chaque minutes passées éloignés.

« Et Siana.. »

« Mon ange, ton devoir de maman est de protégée ton enfant quel que en soit le prix, et c'est ce que tu fais. Tu accomplis ton devoir de maman parfaite. Et ta fille ainsi que nous sommes très fières de toi. » Murmure-t-elle.

« Je reviendrais. Mais j'ai juste besoin d'encaisser ça. Puis je veux aussi voir autre chose que Bradford. » Lui explique-je en me détachant de notre étreinte.

« Manchester est une idée formidable ! Les gens y sont gentils, et sympathiques. En plus tu as Alice. C'est elle même qui t'as proposé de venir. Ça fait longtemps que Siana n'a pas vu sa marraine, et toi ta meilleure amie. Alors ne te poses pas de question mon cœur. »

"J'en ai marre.. Toute cette presion c'est trop. J'ai peur de sortir de la maison et que les personnes disent des choses.."

"Mon coeur, ne t'en fait pas on est là pour te proteger. " Me coupe-t-elle en m'offrant un sourire réconfertant.

"Je t'aime trois mètres au dessus du ciel."

"Je t'aime trois mètres au dessus du ciel aussi mon enfant."

Dans mon esprit tout s'enchaîne mon départ sans date de retour définissable , puis le brun qui c'est mit à disparaître de ma vie, en laissant le vide et la douleur comme seuls souvenirs. Le manque de sa présence est insoutenable. Il est le papa de l'enfant qui court de partout dans mon appartement à cause de l'excitation qui coule dans ses veines pour le voyage à Manchester. Il est l'homme qui fait valser mon cœur, l'homme qui créer les palpitations dans mon être tout entier, l'homme qui fait tourner mon estomac dans tous les sens. Nos moments tous les trois, notre nuit tous les trois, nos déjeuners tous les trois sont encrés dans mon cerveau car à ces moments là on ressemblait à une famille. De plus, j'ai besoin de quitter quelques temps Bradford. J'ai besoin de prendre du recul, et cette ville ne m'aidera pas. Tous mes souvenirs sont enfermés dans cette ville industrielle et je ne peux pas faire le trie dans mon esprit en me souvenant.