Enceinte de Zayn Malik

Chapitre 14

(Je n'aime pas du tout mon chapitre. Je suis malade donc j'avais pas le courage, ni la force mais pour vous faire plaisir je l'ai fait. Donc pour vous dire désolée prochain chapitre Lundi pour l'anniversaire de Zayn.)

Les erreurs sont toujours pardonnables, si on a le courage de les admettre. Bruce Lee.

Ma gorge se sèche telles les terres en Afrique. Cette phrase tourne depuis quatre ans dans ma tête. Je m'imaginais des scénarios dignes de Hollywood mais là il n'y a pas de scénario ,ni texte, ni autre chose. Je ne suis pas dans un film, encore moins à Hollywood, mais à Bradford devant le chanteur internationalement connut. Je ne pense pas que une chose aussi grande et incroyable comme celle-ci doit se dire devant un pas de porte à plus de deux heures du matin. Mais d'un autre coté peut-être que il reviendra? Peut-être que il quittera Perrie ? Annulera son mariage ? La partie amoureuse revient au grand galop comme des chevaux à l'état sauvage. Mais l'autre partie ne dépose pas les armes, et c'est avec elle et non celle qui est naïf et stupidement amoureuse que je vais lui dire.

« Non tu n'es pas le père de Siana. » Dis-je avec une voix grave et dure en croisant mes bras sur ma poitrine comme pour protéger mon cœur des assauts de l'homme en face.

Je ne veux pas lui - plus lui dire - J'ai réfléchie maintes et maintes fois, mais non. J'ai fait quatre ans sans lui, je peux continuer toute une vie. Je me vois mal lui dire, tout gâcher, comme lui le fait pour moi. Ça lui rendrait sa monnaie de sa pièce, mais sa serait tellement hypocrite et égoïste de ma par que ça m'en donne la nausée et des vertiges.

« Qui est-il ? » Il me foudroie du regard avec une voix menaçante qui a une action mal-saine sur moi. Mon cœur se met à pomper le sang plus vite, alors que le liquide rouge parcoure mes veines à la vitesse de l'éclair.

« En quoi ça te regardes ? » J'arque un sourcil, essayant de paraître impassible à cette situation alors que je m'oblige à fermer la bouche pour ne pas lui dire tout. De A à Z, en n'oubliant aucune lettre. Mais c'est impossible.

« Tu m'as mît dans les dents que je sortais deux mois après avec une fille, mais toi tu as fait un gosse qui n'a même pas de père ! Mais dis moi t'es quel genre de fille ? Tu permets de critiquer mais t'as un enfant qui n'a pas de père, regardes toi avant de parler des autres. » Le brun aux yeux devenus noirs de rage m'assaille ses paroles qui sont des poignards ou du feu qui brûle et réduise en cendres mon cœur en une fraction de seconde.

Comment peut-il me dire quelque chose d'aussi affreux ? C'est pour lui que je n'ai rien dit. Pour qui continue son putain de rêve d'enfant ! La rage bouillonne, que ma main atterrie sur sa joue d'une telle force que sa résonne dans le couloir endormit.

« Tu entends ce que tu dis ! Tu es qu'un putain de gros connard Zayn. Regardes ce que tu es devenue , tu insinues que je suis une traînée mais que veux tu maintenant ! »

Je pleure à chaudes larmes alors que je lui crache durement mes paroles. Il n'y a pas de courage, il y a juste les sentiments et la douleur qui s'expriment. Je n'ai pas le temps de réagir que ses lèvres se posent durement et violemment sur les miennes. Il m'en fait mal aux lèvres tellement une énorme violence y réside. Je pose mes mains sur son torse le poussant mais en vain c'est lui qui prend l'avantage encore une fois en me plaquant contre le mur à coté de ma porte. Je n'arrive pas à répondre à son baiser à cause de toutes les larmes et la souffrance créées à cause de cet homme.

« Embrasses moi je t'en supplie. » Sa voix si près de mon oreille n'est qu'un murmure ce qui mets à vif mon épiderme.

« Zayn, tu n'as pas le droit de me dire des choses comme ça et d'après m'embrasser. Ce n'est plus possible, je n'y arrive plus.Je n'ai plus de force pour combattre avec toi. Tu m'épuises physiquement et moralement. »