Chapitre 7

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(Elsa)

J’étais assise contre le mur du box de mon cheval, au fond de notre jardin. Astrid était morte. Morte. Les larmes inondaient mes joues et j’avais tellement pleurer que ma tête me faisait souffrir. Pourquoi ? J’avais toujours cru que ce genre de choses n’arrivait qu’aux autres… Je m’étais trompée… Astrid… Mon cheval approcha sa tête de la mienne.

-Va-t’en Spirit…

J’avais envie d’être seule. Je n’avais pas autant pleurer depuis la mort de mes parents. Je finis par m’endormir.

Le lendemain matin, je me réveilla dans mon lit. Pendant un cours instant, j’espérais que ce ne soit qu’un rêve. Mais non, c’était la réalité.

Dans la bande, personne ne disait quoi que soit. Et tout le monde avait une tête de déterrés. Surtout Harold… Finalement, ce fut lui qui rompit le silence.

-C’est de ma faute…

Raiponce réprima un sanglot.

-Ne…. Ne dis pas ça… Ce n’est pas…. Ce qu’elle voudrait…

-Mais c’est vrai… C’est moi qui aurais du… Mou… Mourir… Elle m’a poussé…

Des larmes coulerent a nouveau sur ses joues.

-Hooooo… Mais regardez-moi ses têtes de déterrés !

Hans. Et il souriait . Il avait même l’air satisfait. Comme si il était contente que Astrid soit morte.

-Ne me dîtes pas que vous êtes dans cet état a cause de la mort de la blonde ? Si ? Vous êtes vraiment pathétique. Tous autant que vous êtes. Enfin bon, le top du pathétique a été atteint hier quand elle s’est jeté devant la voiture pour te pousser, le cure dents. Ri-di-cu-le.

Je sentis de la glace se former aux bouts de mes doigts et m’obligea a garder mon calme. Raiponce le regardait comme si elle n’imaginait pas qu’il soit aussi… Monstrueux. Les garçons avait juste l’air d’avoir envie de le battre a mort. Quand a Harold… Je ne l’avais jamais vu aussi énervé. D’habitude, il est toujours le plus calme, et je ne l’ai jamais vu en colère. Mais là… Il aurait eu ne serait-ce qu’une petite cuillère dans la main, il se serait jeté sur Hans et l’aurait frappé avec jusqu’à ce que mort s’en suive. Mais il serait juste les poings, adressant un regard haineux a Hans. Celui si lui sourit et parti en rigolant avec sa bande de potes.

-Il va souffrir. Je le tuerai pour avoir dit ça d’Astrid.

Le lendemain, nous sommes allés a l’enterrement d’Astrid. Même Anna et Mérida étaient là. Anna en temps qu’amie (enfin plutôt sœur d’une amie mais bon) et d’après ce que j’avais compris, Mérida était une cousine d’Astrid. Nous avons tous jeté une fleurs dans la tombe, et adresser un dernier mot a notre amie. Et a la fin de la journée, nous nous sommes jurés de continuer a rire et à vivre pleinement nos vies. Parce que c’est ce qu’Astrid aurait voulue. Anna posa sa main sur l’épaule d’Harold, et lui dit avec le plus de douceur possible :

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