Les sentiments malvenus-fanfic animaux fantastiques 3

Chapitre 22 : ...

Je vous laisse ici des lignes pour la nuit de noces que je ne saurais absolument pas écrire correctement -->

personnellement je dis qu'ils ont joué aux cartes, mais je crois que d'autres diront que c'était plutôt au monopoly, bref... reprenons.

Albus se réveilla avec le soleil, qui filtrait en rayons par les volets en bois de la chambre. Il regarda à côté de lui et remonta tendrement la couverture sur les épaules de Gellert qui dormait tranquillement. Quand il dormait, l'Autrichien ressemblait à un ange.

Le professeur se leva doucement en essayant de ne pas faire de bruit. Il attrapa une chemise et un pantalon et s'habilla rapidement. Il prit une paire de bottes et sortit de la chambre pour les mettre.

Il descendit les escaliers, l'esprit léger.

Il arriva dans la grande salle où quelques uns des invités prenait un petit déjeuner à base de restes de la veille, certains dormaient encore. Norbert avait les cheveux tout emmêlés et Albus n'aurait pas été surpris de trouver des oiseaux ou autres créatures dedans.

Queenie avait le nez qui piquait dans ses haricots, et, à chaque fois, Jacob lui donnait une petite tape sur l'épaule pour qu'elle se réveille. En fait Jacob avait l'air d'être le seul vraiment réveillé. Il avait trouvé on-ne-sait-où de la farine, des oeufs, et d'autres ingrédients divers et s'était mis au travail. Albus ne savait absolument pas ce qu'il préparait mais l'odeur des épices lui donna faim. Il se servit un café (bah oui c'est un prof )(pardon je me thé)(j'arrête, ok) et regarda distraitement par la fenêtre. Des personnes vêtues de capes, s'approchaient de l'entrée rapidement.

Albus faillit en laisser tomber sa tasse. Il sortit son déluminateur d'un geste rapide et éteignit les lumières de la salle. Mais les personnes en cape ne les regardait même pas. Ils sortirent des balais de leurs cape et commencèrent à voler vers le haut de la tour. L'auburn ne comprit que trop tard qu'ils se dirigaient vers l'endroit où le mage noir dormait. 

- Professeur, qu'est ce qu'il se passe ? cria Norbert.

- Les aurors allemands. Quelqu'un les a prévenus. Restez et ne faites pas de bruit. Norbert et Tina vous faites transplaner tout le monde, surtout Croyance et Queenie qui sont recherchés, le plus loin possible, moi j'ai une affaire à régler.

Il remonta à toute vitesse les escaliers et trouva Gellert, dieu-seul-sait-comment sur son trente-un, menaçé par les baguettes d'une dizaine d'aurors. L'un d'eux s'avança et dit d'une voix dure :

- Monsieur Gellert Grindelwald, pour tous vos crimes, qui sont trop longs pour être énnoncés ici, je vous condamne à une mort immédiate. (il se retourna et murmura:) tuez le.

Les sortilèges s'écrasèrent contre les deux boucliers que les deux hommes avaient créés simultanément.

- Al va-t-en, ils vont te blesser.

- Oh bien sur que non.

Albus contra quelques sortilèges que les aurors leurs jetaient.

Il cria :

- Vous n'avez pas le droit de le tuer, il est marié, et la loi est formelle, vous ne pouvez condamner quelqu'un de marié.

L'auror qui semblait être le chef dit :

- Marié ? Qui voudrait de cette...créature comme mari ?

Albus expira et regarda Gellert qui le suppliait du regard de ce taire.

- Moi.

L'auror éclata d'un rire sardonique

- Eh bien vous allez regretter de ne pas être morts. Je vous arrête tous les deux pour indécence sexuelle.

Sur ce, HAPPY PRIDE MONTH  ! :)