Les sentiments malvenus-fanfic animaux fantastiques 3

chapitre 9 : norbert

Albus était de nouveau seul dans le noir.

Puis une faible silhouette se rapprocha. C'était Gellert.

Albus sourit et se rapprocha

- Gel' !

Aucune réaction.

-Gel' !

La silhouette ne semblait pas l'entendre. Albus cria plus fort en criant :

-GEL' !

Albus traversa le corps de l'apparition.

Gellert tourna tristement la tête vers lui :
-Tu ne peux rien pour moi Al' tu es dans mon inconscient. La partie la plus noire de mon esprit.
-Gel' qu'est ce qui est arrivé à Ludwig ? Comment je fais pour sortir d'ici ?
- Ludwig...

Le visage de Gellert perdit son air tourmenté un instant.
Le décor arriva comme une coulée de peinture.

Un appartement décoré à la mode du XIXe siècle apparu. Ludwig, couché sur une table. Le bras en sang. Une femme rousse appliquait de l'huile de dictame sur son bras désartibulé. Un jeune garçon assistait à la scène. Il devait avoir deux ans. Un homme, certainement leur père essayait de rassurer le jeune Gellert.

- Comment as-tu réussi à transplaner mon garçon ? Et d'une aussi grande distance en plus ?
- Mein kleine Brüder...
- Je crois qu'il est allemand, mais comment ?!

La femme se tourna vers son mari.
- Arthur arrête tu le terrorise.
-Mais...
-Il est en état de choc, donne lui de l'eau et du sucre. Et amène Thésée hors de la cuisine, je vais remettre son bras en place et ce n'est pas un spectacle pour un enfant.

Le décor s'effaca et Albus se retrouva face au Gellert du présent.
-Thésée... Dragonneau ?
- Oui, je suis .. redevable (il dit le mot comme s'il lui brûlait la langue) à leur famille, ils ont sauvé mon frère. Ensuite notre tante bathilda nous accueilli quelques temps avant que nous partions étudier à durmstrang, quand j'ai été renvoyé, il est resté en Allemagne.
- Ca te rend malade
-De quoi ?
-Ta dette.
-Ne me parle pas de ça. Dit-il avec mauvaise humeur. Je crois qu'il est temps que tu retournes dans le monde réel, Norbert et Tina commencent à s'inquièter.

-Attend quoi ?

Les yeux d'Albus se fermèrent tous seuls. Quand ils se rouvrirent, Tina, Norbert et lui étaient tenus en respect par toutes les baguettes de l'assemblée pointées sur eux.