chapitre 27 : pas de titre 😅

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-GELLERT QU'EST CE QUE TU FAIS !?

Le mage noir baissa les yeux.

- Je vous sauve. Tous.

Il leva sa baguette et lanca un sort informulé. Albus sentit son esprit se dissoudre, sa conscience partir, ses pensées s'éparpiller. Gellert le regardait tristement. Mais pourquoi était-il triste ? Il y avait de l'orage aujourd'hui...

- J'espère qu'un jour tu me pardonneras Albus.

Pourquoi, donc il n'avait rien fait ?

Un petit homme avec une moustache arriva. Il commenca a parler en allemand à Gellert dont le visage se décomposa. Albus était certain de le connaitre...
Le visage de Gellert évoquait la terreur la plus pure.

- ALBUS COURT !

Les jambes d'Albus, ses muscles, son corps tout entier lui criait de courir et d'obéir à Gellert. Mais une petite voix dans sa tête se concentrait sur le petit homme qui leva sa baguette et lanca d'un geste leste un sortilège qui efflera la joue de Grindelwald. Une coupure apparut, fin trais rouge sur la blancheur de la peau de l'Autrichien.
Gellert. Saignait. Albus se dépêtra des dernières vapeurs de l'imperio et lança un sortilège si puissant qu'Hitler vola à plusieurs mètres et se cogna contre un tronc d'arbre. Il ne bougea plus.

Albus courru près de son mari et le gifla. On dit que lorsque l'on arrive a la violence c'est que l'on a plus les mots. Albus n'avait plus les mots. Il n'arrivait pas à aligner deux idées  claires et les larmes se pressaient a ses yeux pour glisser le long de ses joues.

- Pourquoi... Tu... Pourquoi...

- Albus (il attrapa ses mains) je vous met en danger. Laisse moi aller en prison, tu sais que je le mérite, je pense que c'est le prix a payer pour expier mes fautes, il le faut pour au moins tous ceux que j'ai blessé mentalement et physiquement.

- Non ! Tu as le droit de vivre aussi, on se cachera et ...

- Et quoi ? Albus je sais que tu adores ton métier de professeur, je ne veux pas te priver de la vie dont tu as rêvé.

- La vie que j'avais rêvée était avec toi.

Leurs larmes coulaient a l'unisson maintenant. Albus tout contre son mari resta là, à compter les battements de leurs coeurs synchronisés et ils restèrent là longtemps. Et les aurors les trouvèrent là. Enchaînés là l'un à l'autre différentes faces d'une même pièce, l'anglais et l'autrichien, le roux et le blond, le bon et le méchant, le mari et son mari.

Ils les séparèrent doucement.

Désolée pour l'attente, et merci de continuer à me lire, je vais essayer de sortir la fin rapidement (ou pas, priez le dieu des profs et des interros pour que je n'ai pas trop de devoirs).  Merci beaucoup encore !

Les sentiments malvenus-fanfic animaux fantastiques 3Où les histoires vivent. Découvrez maintenant