Chapitre 17 : mais encore ?

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*A lire avec la musique du trailer des animaux fantastiques 2*

! insultes homophobes et racistes de la part d'un personnage historique décédé !

- Gellert, je ne sais...

- Albus attend. Je dois te dire quelque chose, ce monde je voulais le créer pour nous, créer un monde où des gens comme nous pourrions vivre en paix. Je voudrais que la magie soit reconnue, les moldus ont évolué, Al, nous pourrions vivre ensemble. Le monde pourrait être magique, imagine les sorciers et les moldus cohabitants ensemble pour un monde meilleur. Sans guerres. Sans famine. Plus juste. Je refuse juste que ce monde se transforme sans toi à mes côtés. Rejoins moi Al, je t'en supplie. Je t'aime. Plus que tout.

- Gel je t'aime aussi. Mais le ministère ne nous laisserai jamais tranquille, il nous traquerait, ne nous laisserai jamais en paix, est ce là la vie que tu veux ? Une vie de fugitifs chassés comme des animaux ? Je refuse.

- Tu ne comprend pas Al, nous serions libres.

Albus le savait bien. Le ministère ne faisait pas le poids face à leur puissance mais qu'est ce qu'il le retenait alors ? ses amis ? Gellert était le seul et il n'avait pas parlé à l'autre depuis des mois. Newt et ses camarades ? Il les mettaient en danger, ils pourront vivre tranquillement. Ses élèves ? Oui. Bien sûr. Albus était un protecteur, pas un assaillant.

Il réfléchit encore un instant et mit un genou à terre à son tour.

- Gellert Grindelwald veux-tu m'épouser mais aussi, de ne plus tuer de personnes (le visage de Gellert s'assombrit) et de servir notre cause pour le plus grand bien ?

- Oui

- Pour le plus grand bien ? dit Albus en prenant la main de son époux

- Pour le plus grand bien.

Les deux mages s'embrassèrent.

Des applaudissements moqueurs résonnèrent dans la plaine.

- Gut, gut !

Ils pointèrent aussitôt leurs baguettes magiques vers  le nouveau venu.

Un petit homme brun avec une moustache les regardait les yeux brillants de dégout.

- Halo mes deux petites pédales ! Je vais vous manipuler si vous le voulez bien.

L'homme lança un sort qui frôla de peu Gellert.

- Qui est ce  ? demanda le professeur, les dents serrées.

- Oh mon concurrent, Adolf Hitler en personne. Répondit Gellert d'un ton sarcastique. Je crois qu'il veut nous manipuler pour nous exhiber et montrer sa puissance.

- Charmant.

- Il était déjà comme ça à Durmstrang.

- Tais-toi sale autrichien.

- Tu n'es pas né à côté de la frontière dis-moi ?

- TAIS TOI !

L'allemand jeta un sort vert au sorcier, qui fut sauvé de justesse par Albus qui invoqua un bouclier.

presque aussitôt Le professeur jeta un maléfice de saucisson à l'allemand qui ne bougea plus.

les deux époux s'approchèrent avec précaution d'Hitler.

- On le tue ? suggéra Gellert

- Non Gel, tu as promis. on le laisse là . viens, on part.


Et les sorciers transplanèrent sous le regard plein de haine d'un Hitler baillonné.



sorry for the late guys j'avais oubliée mon histoire en cours ! bref j'espère que vous avez apprécié ! bye !


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