La vie d'Amara est simple mais elle la trouve parfaite telle qu'elle est.
Elle a une famille aimante bien qu'à l'autre bout du globe, un meilleur ami sur qui elle peut compter et elle étudie ce qui lui plaît depuis toujours.
Cependant, tout son pe...
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Amara
"Est ce que tout va bien là-dedans ?" Demanda l'homme responsable de mes cauchemars.
Ma respiration se coupa d'un seul coup.
J'étais tétanisée. Je n'osais plus émettre le moindre son.
La vendeuse du lire l'effroi présent sur mon visage puisqu'elle répondit nerveusement,
« Oui oui ! Merci monsieur ! Il faudrait juste un verre d'eau et quelque chose à grignoter pour mademoiselle qui frôle le malaise.. »
Entre-temps, je m'étais assise sur le fauteuil, les poings serrés, les yeux fermés, essayant au mieux de réguler mes tremblements.
« Je reviens tout de suite mademoiselle, je vais vous chercher de quoi manger. » me dit-elle avec un sourire bienveillant.
Et avant que je n'ai eu le temps de l'arrêter, elle sortit. En ouvrant le rideau. Me laissant face à la vue de tous.
Me précipitant en avant afin de fermer le rideau de la cabine d'essayage, mon corps s'arrêta net, victime de la tétanie lorsque je fus nez à nez avec le visage de mon pire cauchemar.
Rafael.
« Querida... » souffla t'il, estomaqué.
Je lâchais un sanglot, en tentant vainement de me lever.
« Non... »
C'était trop tard. En deux enjambées, il fut devant moi et je fus plaquée contre son torse, ses bras musclés m'encerclant tel un étau.
Je ne pus que me laisser faire. J'étais bien trop faible physiquement pour entamer une quelconque riposte.
Il commença à m'embrasser le front, les joues, le nez, ne laissant aucune partie de mon visage intacte si ce n'est mes lèvres.
« C'était la dernière fois que nous étions séparés Amara... Dorénavant je te suivrais ou que tu ailles, quoi que tu fasses je le saurais et ce jusqu'à ce que je te fasse confiance. » dit il fin ton qui se voulait grave.
Il reprit, « Qu'elle chance que j'ai eu l'idée de t'acheter de la lingerie... » murmura t'il à lui même.
« Si tu tentes quoi que ce soit mon amour.. je n'hésiterais pas à tuer la vendeuse.. C'est clair ? » me menaça t'il en ouvrant sa veste, de sorte que je puisse voir l'arme qu'il portait à la taille.