IV

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Shawn, oui, Shawn Mendes.
Je ne sais pas quelle réaction j'ai du avoir, mais vu la tête de mon frère j'ai dû être effrayante. Je part dans les rayons loin de lui, avec mon frère que je tire par la col. Je me cache limite dans les vêtements exposaient, j'avais l'air conne, mon Dieu. Loïc fouille dans les fringues et choisit un ensemble plutôt pas mal. J'ai perdu Shawn des yeux quand Loïc était dans les cabines d'essayage.

- Ace!

Oh mon Dieu, il m'a vu, putain, putain. Tu vas avoir l'air conne ma belle, me rappelle mon subconscient.

- Shawn, dis-je gênée après un certains temps de réaction.
- Qu'est-ce que tu fous là?
- J'attend mon frère, qui est dans une de ces nombreuses cabines. Et toi?

Que peut-il bien faire dans un magasin d'adolescent avec des vêtements aux mains? Qu'est-ce que je peux être stupide des fois. Je ne te le fais pas dire, rajoute mon subconscient. Je joue avec la peau le long de mes ongles.

- Ça paraît évident, non? Il rit.
- Oui, excuses moi.
- Je vais essayé ça, je te laisse avec ma sœur.

Quel soulagement, ce n'est que sa sœur, pourquoi je dis ça moi. Il sort de la cabine avec un tee-shirt qui lui va vraiment très bien, il nous demande si c'est ça lui va. Mais ce con n'est pas persuader de nos avis.

- Mais si putain ça te va super bien, crois moi, dis-je un peu trop fort.
- Ok, ok.

Il retourne à l'intérieur de la cabine et tente d'essayer un nouveau vêtement. Loïc était sortit, fallait y aller. Je secoue le rideau de la cabine à Shawn afin de lui dire au revoir. Il me dit que je peux rentré. Il n'est vêtu que d'un boxer noir, je le connais depuis Lundi et je le vois déjà à moitié nu ew.

- T'es vraiment en état présentable toi, je ris.
- J'allais pas te laisser partir sans me dire au revoir, il sourit.
- T'es mignon, je lui pince la joue et je lui pose un baiser sur l'autre et il fait la même chose.

Je sort de sa cabine et Loïc me regarde avec de gros yeux, je n'étais rester à peine cinq minutes c'était rien. C'était même plutôt court.

- Il te plait ce garçon là.. il hésite, Shawn? Demande-t-il en sortant du magasin.
- Mais non, tu dis n'importe quoi, je rougis sans même le sentir.
- Je te connais Ace, n'oublie pas. Même tes joues te trahissent.

Il se mit devant moi les mains lever haut ciel en souriant et en se prenant le sac en papier qu'il portait dans la tête. Je suis plier en deux, j'aime trop mon frère.
Cette fois-ci, nous allons dans un magasin pour fille, mon magasin préféré d'ailleurs. Je pris une dizaine de fringues comme d'habitude, et Loïc ne subit pas les caprices d'adolescente et me prit tout ça avec la carte bancaire de maman. Je suis tellement chiante, qui me donne tout ce que je veux, je suis la fille bourrer de cadeaux enfaite.
L'après-midi toucha fin, j'avais pas envie que ça se termine vu que j'aime passé du temps avec mon frangin chéri d'amour. Quand on arrive à la maison, notre mère était là, pas mon père parce qu'il est militaire donc il n'est presque jamais là. Elle a les yeux grands ouverts quand elle nous voit débarquer avec une dizaine de poches à chaque bras. Mais ça lui fait plaisir qu'on soit gâter. Vers vingt-deux heures, je partis me coucher après avoir fait un skype vite fait avec mon père. Et je m'endors pensant à cette superbe journée.

never be alone.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant