Chiyo Kimura, une jeune fille habitant dans le quartier de Shibuya, va faire la rencontre d'un garçon du nom de Takashi Mitsuya.
TW: dépression, viol, auto-mutilation, tca, sang, violence, vulgarité, harcèlement scolaire.
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Pdv Chiyo:
Je le sent très stressé, plus que d'habitude. Je replace sans cesse ma pince et j'ai mis mon élastique au poignet.
Le claquement de celui ci frappe mon poignée à chaque seconde. J'essaye d'oublier la douleur et me pose dix milles questions par rapport à Amaï. Qui lui a fait du mal ? Pourquoi elle ? Est ce que c'est un gars qui fait parti d'un gang ?
Masato: à son réveil tu pourras m'accompagner dans la chambre afin de lui donner un soutien moral.
Chiyo : d'accord.
Masato: c'est ta collègue de travail ?
Chiyo: oui au fast-food.
Le temps passe et un homme débarque en courant devant nous. Il s'arrête en me voyant et pose ses mains sur ses genoux en essayant de reprendre sa respiration. Ses cheveux blond sont décoiffé et son visage dessine des traits d'inquiétude.
Noah: Je suis... Arrivé... À temps ?
Chiyo: qu'est ce que tu fais là ?
Masato: vous êtes le patron du fast-food ?
Noah: non, c'est lui qui m'a envoyé ici.
Masato: je vois, pourquoi n'est il pas venu alors qu'elle n'est pas arriver à son lieu de travail ?
Noah: il... Il n'a pas voulu venir.
Médecin: inspecteur Tachibana ?
Masato: oui, j'arrive. Je vous laisse un instant.
Il se lève et Noah s'affalle sur une des chaises de l'hôpital, je me lève pour aller lui chercher un verre d'eau et lui tendre. Il le prends volontiers et boit la moitié.
Chiyo: pourquoi il est pas venu ?
Noah: je t'explique. Je suis arriver avec cinq de retard, t'étais pas là. Et franchement ça m'a pas étonné. Mais Amaï est toujours à l'heure et c'est la première à me sauter dessus en me faisant la morale. Le patron était là et heureusement il a pas remarquer que j'étais en retard. J'arrêtais pas de regardais l'horloge, trente minutes est passé, aucune de vous deux était arrivés.
Il porte son verre à ses lèvres la main tremblante.
Noah: Je me suis dit que tu voulais pas venir ou t'étais malade, mais Amaï, même malade elle viendrais. Je lui ai envoyer un message, elle ne m'a pas répondu au bout de quinze minutes. Dix minutes plus tard, le téléphone du patron sonna et c'était la police. Il lui ont demandés de venir mais il a dit qu'il n'avait pas que sa à faire et que c'était pas sa fille. Il m'a demander d'aller à l'hôpital, là où les policiers lui ont donnés rendez vous, puis tu connais la suite.
