Chiyo Kimura, une jeune fille habitant dans le quartier de Shibuya, va faire la rencontre d'un garçon du nom de Takashi Mitsuya.
TW: dépression, viol, auto-mutilation, tca, sang, violence, vulgarité, harcèlement scolaire.
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Pdv omniscient:
Notre chère protagoniste était toujours à l'hôpital ainsi que son grand ami blond, alors que celui ci était sur le bon chemin pour rentrer chez lui, pour la noiraude c'était toujours compliqué.
Une spécialiste lui était imposé et viens lui rendre visite tout les jours de midi à treize heures. Son travail consiste à montrer à la jeune fille que la nourriture ne lui veut aucun mal et demander aux infirmières des repas équilibré pour ne pas l'effrayer.
Pdv Chiyo:
Sayuri: bien, alors qu'avons nous pour aujourd'huiii ! Chantonnait-elle le sourire aux lèvres plateau à la main.
La spécialiste me le pose sur ma table et je me relève légèrement de mon lit pour observer le plateau recouvert d'une cloche pour pas que je ne vois son contenue.
Ne mange pas.
Je soulève ma cloche. Une salade composé de pommes de terre, de tomates, d'avocat, un œuf dur et du maïs.
Sayuri: alors qu'est ce que tu en pense ?
Chiyo: je ne sais pas.
Sayuri: tu as peur comme hier ou tu es plus soulagé ?
Chiyo: la nourriture m'a l'air saine.
Sayuri: ce sont des aliments très bon pour la santé en plus ! Tu vas te régaler.
Elle rempli mon verre d'eau et je prends la fourchette, ma main tremble et se dirige vers l'assiette.
Arrête !!
Elle m'oblige à ne pas le faire mais je ne comprends pas. La nourriture a l'air délicieuse et sans aucun danger, alors pourquoi ?
Ma main gauche retient celle de droite l'empêchant de planter le couvert dans la salade. Des larmes commencent à couler alors que ma main gauche me sert de plus en plus.
Tu n'as pas à le faire, elle veut juste te rendre énorme.
Je regarde Mme.Juno qui me faisait un sourire sincère et plein de tendresse. Elle ne veut pas que je me sente mal, elle ne veut que mon bien.
Je me force à prendre une bouchée de ma fourchette et la garde dans ma bouche. La dame m'applaudit.
Sayuri: je suis fière de toi Chiyo, c'est une très bon début.
Je hoche de la tête difficilement, la nourriture toujours en bouche et les larmes toujours perlante sur mes joues. Je force ma mâchoire à se mouvoir et mes dents à dévorer les feuilles de salade.
Sayuri: un peu d'eau ?
Je hoche une fois de plus de la tête et lorsque qu'elle a fini de remplir mon verre je me précipite pour le prendre et tout avaler. C'est comme si le liquide me nettoyer de tout.
