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Les premiers rayons de soleil commencez à apparaître dans l'horizon c'est cet bel instant où le jour est encore si riche en espoirs et c'est cet même instant que chaque jours dans le petit village appelé Dondou, se réunissait toute les filles du village à la rivière pour faire le linge, la vaisselle ou autres.

Dondou est un village qui se trouve au Sénégal plus précisément dans la région de matam elle se démarque des autres villages par sa vergeture très abondante en effet Dondou est le village dont l'agriculture et l'élevage sont les plus développés de la sous région. C'est dans ce même village que vit une courageuse fille peulh âgée de 18 ans au beauté renversante c'est la fille la plus convoité du village et des villages voisins, des hommes venait de partout pour demander sa main. Car il faut bien se l'avouer cette fille possédait tout ce dont un homme à besoin: Elle était de teint clair comme presque tout les peulhs du village, elle avait des yeux tellement envoûtant qu'on pouvait si perdre, elle est courte de taille et elle avait un peu de rondeur c'est ce qui faisait son charme. C'est une fille bien éduquer née dans une famille très nombreuses dont le père étant éleveur de vaches et de moutons avait 3 femmes, sa mère étant une "lembel"( deuxième femme en pulaar) est une femme au foyer elle s'occupait du mieux qu'elle le pouvait de ces enfants.
Laissez moi donc vous présentez cette fille elle se nomme Fatimata Hamady Siradio Bâ, une fille gentille, respectueuse, honnête et surtout très courageuse bien qu'elle possède beaucoup de qualité elle a cependant quelques défauts...........

Pdv de Fatimata Bâ:

Je me réveille quand j'entends le chant du coq, je sors de la case que je partage avec ma soeur pour me rendre au toilette commun après avoir fait mes ablutions et ma prière je me suis emparer des baignoires remplit de vêtements pour me rendre à la rivière aujourd'hui c'est mon tour de faire le linge. Sur le chemin je saluais quelques passagers que je connaissais arriver à la rivière il y avait déjà plein de monde je me dirige alors vers le coin tranquille où j'aimais descendre pour faire le linge en passant devant un groupe de fille j'entendis mon nom je m'arrête et écoute attentivement leurs conversations je reconnu facilement la voix de Binta ma demi-soeur et ses deux sorcières d'amies Oumou et Aminata:

Aminata: sérieusement je ne sais pas ce qu'ils lui trouve à cette Fatimata avec sa courte taille là on dirait un bidon d'huile.

Oumou: figure toi qu'à cause d'elle Matar a annuler ces fiançailles avec ma cousine.

Binta: hum c'est une vrai sorcière elle a envoûter tout les hommes du villages.

Oumou: Moi je vous dis il faut qu'on fasse quelque chose sinon on risque de ne pas se marier avant longtemps et on sera la rusée de tout le village.

Binta: oui tu as raison elle ne paye rien pour attendre celle là, fatiguée de les écoutés parler du mal de moi je me dépêche de faire descendre la baignoire qui était très lourde ensuite je me dirige vers elles à pas déterminer:

Moi: tient tient ce n'est pas ma demi-soeur chérie avec ces sorcières d'amies que je voilà comment vous allez? Hé dis-moi Oumou tu devrait arrêté de te dépigmentée la peau ça ne te réussit pas je t'assure! Quand on regarde ton visage on dirait qu'on a un gorille en face de nous tu devrait éviter, dis-je avec un sourire impeccable. Elle me fusille du regard:

Moi: oh faut pas te vexer je dis ça juste pour t'aider hein, dis-je en levant les mains.

Moi: et toi Aminata encore un prétendant qui c'est enfui tu devrait dire à ta mère de t'amener chez le marabout du village pour qu'il te donne un talisman ou autre parce-que là ce n'est plus de la malchance mais de la malédiction.

Binta: hé Fatimata arrête de te moquer de mes amies ou sinon....

Moi: ou sinon quoi, dis-je en me mettant face à elle.

FATIMAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant