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Pdv de Fatima:

Je errais dans les rues à la recherche des médicaments de mon père après avoir pris conger au commissariat, Dieu merci ce pédophile de Mokhtar s'en n'est sortis avec 3 année de prison ferme pour tentative de viol et une amende c'est bien fait pour lui. Mais maintenant je me rends compte que les médicaments que je payais avec lui sont beaucoup moins cher que ceux des autres, dans tous les pharmacies aux environs où je suis allée soit il n'en avait plus soit c'était hors de prix et je ne sais plus quoi faire.

Moi: où vais je trouver l'argent pour acheter ces médicaments, dis-je en m'asseyant sur le trottoir accablée par la longue marche.

Quand une voiture passe devant moi à une vitesse fulgurante manquant de peu d'écraser mes jambes, je me lève brusquement.

Moi: Hé mais ça va pas? Vous avez faillit m'écrabouiller les jambes, criai je à tue tête. Il s'arrêta puis fait demi tour, c'était une grosse voiture noir dont les vitres étaient aussi teintées en noir. La vitre arrière descend pour laisser place à Abdoul, tient quel surprise?

Lui: Fatima que fait tu ici?

Moi: comment ça ce que je fais ici? Tu devrait d'abord demander à ton chauffeur de s'excuser d'avoir faillit m'amener à l'hôpital, c'est quoi cette manière de conduire?

Lui: oh désolé! J'espère que tu n'a rien?

Moi: non ça va, dis-je toujours irritée.

???: Abdoul d'où connaît tu cette femme qui m'a l'air de sortir de la rue, dit une femme d'âge moyen me relookant de la tête au pied. Wa o mo haldata ( a qui parle-t-elle?).

Moi: wa Madame vous êtes arrogante deh!

Elle: comment oses-tu me parlais de la sorte, dit-elle en commençant à s'énerver déjà qu'elle avait les yeux tout rouge signe qu'elle a pleurer.

Moi: ah vous avez eu le toupet de me traiter de femme de la rue key fallait s'y attendre.

Elle: yow Abdoul cette fille est insolente!

Lui: calme toi tante Lala je m'en occupe, dit-il en la calmant.  Thipp fallait pas me chercher!

Lui: Fatima soit un peu raisonnable tu ne voit pas comment elle est mal hein?

Moi: et alors? Ce n'est pas une raison pour me traiter ainsi! En plus je vais plus mal qu'elle mais je n'insulte pas toute personne qui me dit salut.

Lui: quoi? Qu'est ce qu'il y'a? Il t'est arrivé quelque chose, dit-il d'un air qui se veut inquiet.

Moi: ouais ça va! J'ai juste pas pu trouvé les médicaments de mon père.

Lui: mais je pensais que tu allais voir le médecin de ton père?

Moi: ouais mais il est arrivé un truc et c'est une longue histoire.

Elle: malheureusement on a pas le temps d'écouter tes histoires! Abdoul on perd du temps là, dit-elle en me jetant un regard meurtrier. Cela ne m'ébranle même pas si tu savait:

Lui: ouais t'as raison! Euh Fatima vient avec nous comme ça juste après je vais t'aider à trouver les médicaments.

Moi: pour de vrai, dis-je surprise et en même temps ému.

Lui: oui bien sûr!

Elle: quoi? Non c'est hors de question!

Lui: allez tata on est déjà en retard et je ne veux pas la laisser seule ici, suppliait il.

Elle: ok d'accord!

Lui: merci! Allez monte Fatima, dit-il en ouvrant la porte. Je monte près de lui direction je ne sais où, enfin c'est ce que je pensais jusqu'à que je reconnaisse le commissariat où j'étais quelques heures plus tôt.

FATIMAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant