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Pdv omniscient:

Les jours se suivirent et nos deux tourtereaux vivait pleinement leur idylle secret caché au yeux de tous, même si cela se voyait clairement sur leurs visages resplendissant de bonheur.
Ils se sont tellement rapprochés que l'un ne pouvait être complet sans avoir vu l'autre et ceux chaque jour que Dieu faisait. Sachant que leur liaison ne plairait ni à son père et ni à son frère Fatima voyais son prince en cachète à la rivière, derrière la maison et plein d'endroits encore d'ailleurs ils se trouvait en ce moment à la rivière...........

Pdv de Fatima:

Moi: arrête d'éclabousser de l'eau sur ma figure, dis-je en essuyant une énième fois mon visage.

Lui: non ça me plaît bien de le faire, dit-il en rigolant et en recommençant encore.

Moi: sheuuh Abdoul arrête t'as mouillé tout mes habits et je risque de prendre froid, dis-je en lui lançant un regard noir.

Lui: tu m'a appelais comment là, dit-il en s'approchant de moi à pas de loup. Oh merde! J'avais oublié ça!

Moi: euh..... baby!

Lui: ouais t'as de la chance d'être mignonne quand tu fait cette tête, sinon je t'aurai bien corrigé, dit-il en me donnant une pichinette sur la joue.

Moi: waw j'ai eu presque peur, dis-je en lui tirant la langue. Il se mit à rire avant de s'asseoir au sol et de prendre son téléphone, et moi je me suis concentré sur mon linge.
C'est devenue une habitude maintenant à chaque fois que je viens faire le linge il m'accompagne il dit que j'attire trop les hommes, ouais il est jaloux et très possessive même s'il ne veut pas se l'avouer. Mais ça le rend encore plus mignon, c'est fou comment je me suis trop attaché à lui, au point où je me sens vide quand je le vois pas.

Lui: ma lionne j'ai à te parler, dit-il après un long silence. Je l'observe et vois qu'il avait une mine sérieuse:

Moi: ouais qu'est ce qu'il y a, demandai je un peu inquiète.

Lui: pourquoi tu fait cette tête, dit-il en rigolant.

Moi: bah c'est toi qui m'inquiète en prenant un air sérieux comme ça, me défendais je.

Lui: ok jsuis désolé de t'avoir inquiété! Mais bon c'est aussi parce que ce que je veux dire ne me plait pas du tout, mais j'y peux rien, dit-il avec un regard absent.

Moi: arrête de jouer avec mes nerfs et dis-moi ce qu'il y'a, demandai je impatiente.

Lui: alors toi t'as zéro patience! Je dois retourner à Dakar après demain pour préparer mon mémoire de fin d'études et je ne reviendrai pas avant 1 mois tout au plus, lâche-t-il finalement me provoquant un pincement au cœur.

Moi: oh c'est super! Je suis fier de toi. C'est tout ce que je pue sortir de ma bouche, je ne savais pas quoi lui répondre. Je suis heureuse pour lui en même temps je ne veux pas qu'il me quitte, 1 mois c'est beaucoup trop long pour moi je ne sais pas si je pourrais me faire à son absence. S'il y'a bien un de mes pires défaut que je déteste c'est bien le faite que quand je m'attache à quelqu'un je ne peux plus le lâcher et j'ai ce besoin constant de toujours l'avoir au près de moi.

Lui: hé tout ira bien! Je ferai le maximum possible pour écourter mon séjour là-bas, je parlerai à mes profs pour qu'il change la date de la présentation et en plus j'ai presque fini de rédiger mon mémoire alors ça ne sera qu'une question d'une ou deux semaines, dit-il en me prenant dans ces bras et en essuyant les larmes qui coulaient sur mes joues. Ces traîtresses se montrent facilement quand je suis avec lui, je le serre très fort dans mes bras comme si ma vie en dépendait et cela valait de soit. J'étais inconsolable je ne pouvais m'empêcher de pleurer, ah la la Fatima à quel moment est tu devenue aussi faible? Moi même je ne peux y répondre, tout ce que je sais c'est que j'aime cet homme à en mourir.

FATIMAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant