swin

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les deux garçons se promenaient dans les rues éclairés de séoul, felix soupirait alors qu'il ne supportait plus de jouer cette comédie wooyoung.

— je suis content qu'on soit ici tous les deux.

felix détourna le regard.

— ah bon...

il était ennuyé.

— toi aussi t'es content d'être avec moi n'est-ce pas ?

felix haussa un sourcil.

— euh, oui. dit-il alors que ça sonnait.

wooyoung trouvait que felix n'était pas réception ce soir et il s'inquiétait, après quelques mètres en plus, le brun décida de s'arrêter.

— felix ? je te gêne ?

le plus jeune sortir de ses pensées avant de regarder le plus vieux.

— non... c'est juste que je suis un peu fatigué.

wooyoung hochait la tête.

— alors, allons nous assoir là-bas.

felix s'exécuta.

un blanc continuait de régner entre eux car felix ne voulait rien faire pour briser ceci, wooyoung avait assez parler.

le rouquin était à deux doigt de prétexter une maladie pour pouvoir rentrer.

— felix ?

le concerné tourna la tête.

— oui ?

wooyoung regardait felix avec insistance.

— tu veux sortir avec moi ?

felix le regardait avec une expression ferme.

— euh.

wooyoung s'approcha sur le banc pour sortir son violon.

— c'est rare de trouver des personnes intelligentes et vraies comme toi, felix, t'as réussi à voler mon cœur alors que dois-je faire ?

felix soupira longuement.

— tu veux savoir ce que tu dois faire ? arrêter de mentir.

wooyoung était surprit.

— quoi ?

felix le dévisageait.

— franchement, ça me saoule. j'en peux plus de t'entendre dire des choses comme ça tout ça pour gagner ce putain de pari que t'as fait sur moi avec minho.

wooyoung détourna le regard.

— je comprends pas.

felix sentait son sang bouillir à l'intérieur.

— mais c'est clair non ? je viens de te dire que je sais tout depuis longtemps, de tes coups bas pour nuire à ma relation amoureuse !

wooyoung sentait son ventre se tordre alors qu'il pouvait lire du dégoût dans le regard de felix.

— je te promets que c'était pas voulu...c'est pas du tout ce que tu crois. mentit-il.

felix arquait un sourcil.

— alors c'est quoi ? admets-le, tout ça c'était un jeu.

— non, pas mes sentiments, je voulais stopper ce pari, je te jure, je comptais le faire ce soir, c'était réel, tu me plais pour de vrai, tout ce que je t'ai dis maintenant et il y a une semaine, c'était vrai.

𝐭𝐚𝐥𝐤 𝐭𝐨 𝐦𝐞 𝐛𝐚𝐛𝐲 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant