chapitre 6

470 54 0
                                    


Moi : tu es là qu'à profiter de moi n'est-ce pas assane tu n'es qu'un monstre, en haussant le ton.

Je reçois une gifle de 1.19km² qui me fait tomber par terre.
Mes larmes y dévalisent mon visage.

Assane : reparle moi encore une fois comme ça je vais te donner une bonne leçon que tu comprendras pendant toute ta vie tchipp dégage de ma chambre.

Je prends zeïnab et cour me réfugiés dans ma chambre le cœur battant à tout rompre dans quoi me suis-je embarqué Allah akbar je comprends plus rien de ma vie.

Le lendemain.

J'ai le visage enfle à cause de la gifle de assane je ne peux pas aller à l'école comme ça.

Je prépare zeïnab et la remet à son père.

Assane : au faite j'ai oublié de te prévenir désormais tu iras à l'école par tes propres moyens je m'en fou de comment tout ça c'est ton problème .

Il referme la portière de sa voiture et s'en va.
J'en ai eu des larmes aux yeux mais à quoi bon pleurer.
Je remonte me coucher ça sera mieux pour moi.

Quand j'étais petite je voyais mon père battre ma mère sous mes yeux impuissant.
Ses crie de douleur de pleure à chaque fois que je m'endors je les attends à nouveau comme si c'était hier et j'ai l'impression que l'histoire va se répéter et ça me fout la trouille .

16h30

J'attaque le dîner assane et zeïnab ne vont pas tarder à rentrer ma petite puce me manque.

Je finis et dispose tout sur la table je vais prendre une bonne douche et m'habille simplement.
J'attends le bruit de sa voiture dehors j'étais tranquillement entrain de regarder la télévision une série novelas.

Assane : non mais la bonne blague qui t'as permis de regarder ma télévision.

Je lui lance un regard d'incompréhension.

Assane : tu paies la facture ?

Moi : non .

Assane : voilà à partir d'aujourd'hui je ne veux plus te revoir entrain de regarder ma télévision c'est qu'elle foutaise ça.

Moi : mais assane qu'est-ce que tu me fais comme ça .

Je comprends plus rien de son comportement moi qui pensais que tout ira bien mais je me suis trompé.
Je prends ma fille de ses mains.

Assane : je m'en contre fou de ce que tu peux penser et ton état d'âme tu m'as bien comprise c'est moi qui paie ma facture et quand je dis que tu regarde pas ma télévision tu le regarde pas .

Je suis perdu nallah j'ai pas de téléphone qu'est-ce que je vais faire si je ne regarde pas la télévision.

Je vais dans ma chambre avec mon bébé je la regarde dormir avec le sourire toute belle ma petite princesse.

Vers 02h du matin.

J'attends des petits bruits provenant de la chambre de Assane je me lève tout doucement pour aller voir.
J'ouvre tout doucement sa porte et le vois sur sa secrétaire.
Mes yeux se remplissent de larmes 😢 il n'a même pas honte on a fait l'amour sur ce même lit hier et aujourd'hui il y amène sa secrétaire dans ce même lit .

Je retourne dans ma chambre et nourit mon bébé.

Moi : désormais je m'occuperai que de ton bien être dans cette maison ton père il peut aller se faire foutre bébé.

Le lendemain.

Nous sommes prêts pour aller à l'école je descend avec zeïnab au salon et monsieur regarde la télé tranquillement.

Moi : assane nous sommes prêts à partir.

Assane : zeïnab reste ici toi quand même si tu veux part si tu veux reste on s'en fou.

OK je lui donne zeïnab et part à l'école à pied bien sûr j'ai subi pire que ça c'est pas ces petites saute d'humeur qui va me faire mal.

J'arrive à l'école vers 08h10 heureusement pour moi que le prof ne m'a pas vu rentré.

Maï : pourquoi tu n'es pas venu hier et pourquoi t'es en retard.

Moi : un peu malade 😷 mais ça va merci.

Un mensonge mais c'est tout ce que j'avais en tête.

Maï : d'accord après tu me donne ton contact.

Moi : j'ai pas de téléphone ma belle mais t'inquiète pas on rentre ensemble et le matin je vais chez vous.

17h la descente djalika me trouve dehors.

Djalika : bonsoir est-ce que l'on peut parler s'il te plaît.

Moi : d'accord Maï attend moi.

On s'éloigne un peu.

Djalika : toi et moi on se connaissait bien avant cette histoire de mariage n'est-ce pas ?

Oui on était amie avant tout ça.
Je secoue la tête positivement .

Djalika : tu es une personne formidable babe alors promets que quoi qu'il se passe on restera amie.

Moi : tu m'inquiète qu'est-ce qui se passe.

Djalika : rien Juste que je t'aime et je regrette de t'avoir présenté à mes frères.

Moi : mais coco ce qui est passé est passé  on va de l'avant maintenant.

Djalika : promets le moi.

Moi : je te le promet.

Djalika : allons y chez toi alors.

Moi : par contre nous on rentre à pied.

Djalika : ça tombe bien j'ai des pieds .

Je ris et on commence la route avec maï dans l'ambiance et la bonne humeur.

A la maison je vois zeïnab nul part.

Moi : assane où est zeïnab ?

Assane : elle est chez ma mère désormais elle vivra là-bas.

Moi : et pourquoi pas avec moi ici.

Assane : c'est ma fille je te rappelle donc j'ai tout les droits sur elle.
Et si je décide que vivre avec ma mère est mieux pour elle que toi c'est que c'est le cas .

Moi : c'est ma fille aussi je te rappelle, énervé.

Il rit nerveusement .

Assane : ta fille et d'où ? Tu n'étais pas là quand j'ai mougou ça mère ni quand elle accouchait donc... ton travail ici c'était quoi.

J'en ai eu les larmes aux yeux.

Moi : tu n'es qu'un sale psychopathe, en haussant le ton .

C'est en sentant sa gifle que les larmes débordent.

Djalika : arrête assane.

Il sort sa ceinture je ne bouge point.

Moi : tu penses quoi que je vais te supplié d'arrêter tu te fou le doigt dans l'œil mon chère.

Et boom un coup de ceinture pour aïcha.

La Lumière Au Bout Du Tunnel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant