chapitre 4

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Ça fait 2 jours que je suis ici .
J'essaie de reprendre le cour de ma petite vie mais c'est difficile avec les gens qui me regarde de travers.
Et maman je n'arrive plus à la commander nallah elle a tellement changé.
Elle a appelé mes beaux parents.

On se pose tous au salon.

Papa : je suis venu récupérer ma fille je sais que ce qui s'est passée n'aurait jamais dû se passer ces enfants vont finir par me tuer.

Je dis rien.

Maman nafi : s'il te plait chéri fait le pour ta fille elle a besoin de toi.

Maman : elle y retournerai soyez en sur.

Elle me lance un regard noir.

Moi :  d'accord, peiné.

Elle me donne zeïnab que je prends .
Je vais dans ma chambre et prend une bonne douche puis m'habille.

Je la prend dans mes bras et lui met ma petite sein dans sa bouche.

Moi : tu prends un peu l'habitude avec ça mais j'adore le faire j'ai le coeur gonflé de joie en te voyant taiter mon sein.
Je sais pas peut-être que ça crée un lien maternelle entre nous.
Je taime tellement si tu savais.

Maman nafi : elle aussi elle t'aime beaucoup, en entrant ; tu sais aïcha ses deux derniers jours la petite refusait tout le monde.
Peut importe que tu l'es mise au monde où pas c'est toi sa mère.
Et je m'excuse du comportement de mes fils envers toi je sais que tu te dis que tu regrette de nous avoir rencontrer.

Moi : non arretez ça a ses côté positive parce que maintenant j'ai une fille.

Maman : alors ne l'abandonne plus comme ça si tu veux prendre une décision pense à elle.

Moi : j'ai compris.

Personne ne pense à moi dans cet histoire.

Moi : zeïnab doucement non, en la regardant.

Maman nafi : tu t'y habituera t'inquiètes, en riant.

Maman : chérie tn Mari t'attend , en entrant.

Maman nafi :  je vous laisse, en sortant.

Maman : je ne veux plus que tu quitte chez toi comme ça d'accord, catégoriquement.

Moi : j'ai compris.

Elle me sert dans ses bras.

Maman : je t'aime.

Moi : moi aussi je t'aime.

J'y doute sincèrement je descend avec ma fille.
Un au revoir avec maman et je monte dans la voiture direction chez moi.
Chez moi.

Il y avait mes beaux frères et ma belle sœur.

Moi : bonsoir.

Hamidou :  est ce que je pourrais te parler s'il te plait.

Je répond pas.

Assane : aïcha écoute le au moins.

Moi : je t'écoute.

Hamidou : je suis désolé de t'avoir humilier de la sorte et qu'à cause de moi que Assane t'a frappé.
Je suis irresponsable tu peux me traiter de tout les nom que tu veux je le mérite.

Je me lui met une gifle de 90° et m'asseoit tranquille.

Moi : j'accepte tes excuses..

Djalika éclate de rire.

Assane : tu peux m'expliquer ça, en riant.

Moi : à notre dernier rendez vous avant le mariage il m'a giflé devant un restaurant rempli de monde.

Assane : vous me dépassez chaque jours avec vos comportements.

Hamidou : on fait la paix.

Moi : on fait la paix.

Il me sert dans ses bras.

Moi : alors qu'est ce que vous avez cuisinés.

Ils se mettent à parler tous ensemble.

Moi : que des gamins ceux la , et on fait tous l'oublie alors que demain c'est la rentrée.

Djalika : et c'est la terminale pour toi bonne chance chéri.

Moi : merci bae maintenant on va se voir tout les jours même si t'es en 11 ème.

Djalika : et bonne chance encore hein parce que ton mari niveau étude il blague pas.

Moi :  je prends note.

Hamidou : bref nous on rentre.

On les accompagne à la porte , je couche zeinab dans ma chambre et rejoins Assane dans la sienne vu qu'il voulait me voir.

Moi : je suis là.

Il remet l'alliance à mon doigt.

Assane : voici tes fournitures et ton sac et j'ai aussi acheté quelques habits pour toi.

Moi : merci.

Assane : la petite est inscrit à un crèche à deux ruelles de ton école .
Je vous dépose chaque matin et revient vous chercher le soir.
Tu peux t'occuper de la cuisine mais pour le ménage j'ai déjà engagé quelqu'un qui s'en chargera.
Et chaque trimestre tu m'amène un 17 tu as compris ?

Moi : 17 de moyenne .

J'ai que des 14 et 15 de moyenne.

Assane : oui un 17 et tu as intérêt à être la première de la classe.

Il met les bouchons loin là.

Moi : d'accord.

Je prend mes affaires et me love contre lui.

Moi :  merci beaucoup.

Je l'embrasse et il répond mais au bout d'un moment il me pousse violemment que j'en tombe par terre.

Assane :  tu refais plus jamais ça, en m'indexant ; prend tes affaires et dégage de ma chambre.

J'en ai eu des larmes aux yeux je sors de sa chambre et rentre dans la mienne pour me coucher.
Je garde la tête froide pour ne pas pleurer.    
Je ne comprends rien à son comportement pourquoi ai-je l'impression de vivre dans l'illusion d'un coup il est réceptive et après il devient inhumain.
Le lendemain

Je me réveille vers 06h .
Je prépare le biberon de zeinab et monte prendre ma douche et lui donne son bain aussi.
Je m'habille en Jean boy friend avec un haut un peu sauté.
Je met un bonnet sur ma tête et porte des basket.
Je ressemblai à un vrai garçon manqué.

J'habille zeinab et prépare son sac je lui donne à manger et prend mon petit déjeuner.
Il est 07h30 Assane nous rejoins.

Moi: bonjour tu veux manger quelque chose.

Assane: non ça ira t'inquiète.

Je prend mon sac et on y va .
On amène la petite à la crèche et après il me dépose.

Assane : va voir le directeur pour qu'il puisse te montrer ta classe.

Il veut même pas me regarder dans les yeux.
L'histoire est entrain de se répéter et ça me rend triste parce que j'ai l'impression que ma vie est une malédiction.

Moi : d'accord.

La Lumière Au Bout Du Tunnel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant