La Lumière Au Bout Du Tunnel

chapitre 20

SÉNÉGAL

purée c'est trop magnifique on est dans la voiture comme ça pour aller à l'hôtel je regarde et le paysage est magnifique.

Moi : j'adore je vivrai ici volontiers.

Maï : dit chérie on ira à la plage n'est-ce ?

Aziz : oui l'hôtel est à côté de la mer.

Moi : youpi, sautillant.

Aziz : une gamine celle là on va à un gala tu peux venir si tu veux.

Elle me devance.

Maï : bien sur qu'elle sera là obligé même.

Je lui lance un regard noir.
A l'hôtel eux Avec leurs chambres moi dans la mienne.
Arrêter devant ma fenêtre j'admire la vue qui s'offre à moi.

Moi : la mer c'est tellement beau de vrai.

Malien ka kokodji ko à kouma te se ka fo.

Ma chambre est splendide je n'avais jamais été dans un endroit aussi moderne faut dire que je vis dans mon coin.

Je prends une bonne douche rattrape mes prière et me couche faut récupérer des énergies.

Je me réveille en sursautant en entendant frapper à la porte.
Je vais ouvrir.

Moi : bordel tu m'as fait peur.

Aziz : mille excuses faut qu'on parle je peux entrer ?

Je le laisse passer puis ferme après lui.

Aziz : je m'excuser du comportement de maman ces derniers temps avec toi je ne sais pas ce qui va pas avec elle.

Moi : t'inquiète pas c'est ma mère aussi après tout.
Je suppose qu'elle est juste inquiète de mon avenir.

Je ne sais pas si c'est lui que j'essaie de convaincre où moi.

Aziz : qu'importe tanti ( ma mère ) de la où elle est ne sera pas contente du tout chacun a failli à sa promesse de prendre soin de toi et te chérir.

Moi : aziz s'il te plaît..

S'il continue je vais pleurer.

Aziz : aïcha je te connais par cœur du moins je te connaissais depuis ce qui s'est passé il y a 4 ans de cela on s'est comme éloigné.
Qu'est-ce qui a changé entre nous aïcha ?

Je ne réponds pas.

Aziz : tu t'es coupé de moi si brusquement j'étais là pour toi et je voulais être là pour toi.
Si tonton ( mon père ) n'était pas là tu aurais fini dans la dépression.

Moi : je suis désolé je ne savais que....

Aziz : que tu avais de l'importance à mes yeux bon sang tu es ma sœur aïcha,  passant sa main sur son visage ; je t'ai vu grandir je t'ai encadré comment peut tu penser cela ?

J'eclate en sanglots.

Moi : suis désolé je suis tellement désolé.