chapitre 13

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Je commence à avoir peur parce que c'est le 2 ème avertissement qu'on me fait.
Je prends la petite zeïnab dans mes bras je pleure de plus belle.

Moi : mon petit bébé tu vas tellement me manquer ne m'oublie surtout pas.

Je sais que je parle pour rien elle ne va plus se rappeler de moi d'ici une année.

Taza : compte sur moi pour ça t'es une fille brave j'espère que tu trouveras un homme qui saura reconnaître tes valeurs.

Moi : merci.

Taza : au revoir.

Moi : bye .

Elle s'en va me laissant toute seule dans la chambre j'eclate de nouveau en sanglots.

Le lendemain.

je ne suis pas allé à l'école parce que je ne me sentais pas très bien.
J'étais entrain de cuisiner le déjeuner quand j'attends des bruits provenant du salon j'y vais en courant.

Assane : tu le savais n'est-ce pas ? Me voyant.

Moi : savoir quoi ?

Assane : ne fait pas l'innocente, me donnant une paire de gifle ; comment est-ce que taza aurait pu partir sans que tu ne sois au courant.

Je garde la tête froide.

Moi : comment ça parti, faussement choquer.

Assane : si jamais aïcha j'apprends que tu étais au courant tu le regretteras pendant toute ta vie.

Il me laisse seule dans le salon je me change rapidement et vais voir mon père biologique .

Moi : bonjour papa.

Oui je lui en veux d'avoir torturer maman mais il reste quand même mon père et il m'aide beaucoup à contrer Assane en plus maman a dit que si je ne pardonne pas elle ne va jamais me pardonner c'était son dernier souhait faut dire qu'elle l'aimais réellement.
C'est lui qui m'a donné l'arme.

Papa : un problème avec ton mari.

Moi : non , mensonge ; ramène moi les papiers pour que les signes.

Il me les donne je les signe la maison de maman est maintenant à son nom.

Moi : elle a quoi d'intéressant cette maison.

Papa : elle est construite sur une mine remplie d'or.

J'ecarquille les yeux je comprends maintenant pourquoi.

Papa : Si ton mari découvre ce que tu viens de faire tu risque ta peau.

Moi: depuis le début j'y risquais ma peau.

Je le regarde une fois puis rentre chez moi.
J'avale difficilement ma salive quand je le vois fouillet en main.

Assane : où étais tu ?

Moi : j'ai le droit d'aller où je veux je ne suis pas ta prisonnière.

En une fraction de seconde je me retrouve par terre.
Ça fait mal au dos.

Assane : tu commence à prendre la confiance avec moi n'est-ce pas aïcha ...

Il commence à me fouetter je pleure mais je ne vais jamais le supplié.

Assane : dit moi aïcha est-ce que je suis ton égal.

Moi : toi et moi on ne sera jamais égal parce que moi je suis mieux que toi et ta famille réunis.

Et bimm un dernier coup qui me fait perdre connaissance.

J'ouvre les yeux et je suis au même endroit je me lève difficilement pour aller prendre une bonne douche et me coucher une bonne nuit de sommeil j'en ai réellement besoin.

Le lendemain.

Maï : le bac s'approche à grand pas et toi  on ne te voit même pas tu as arrêté où c'est quoi.

Elle est venue me rendre visite.

Moi : l'école est le cadet de mes soucis regarde moi maïmouna je ne vais pas bien du tout.

Maï : divorce je dis.

Moi : j'y pense sérieusement.

Elle me sert dans ses bras.

Maï : je suis tellement désolé ma chérie.

Moi : t'inquiète pas.

Elle reste papoter puis rentre vers 18h assane me retrouve dans la cuisine.
En voyant il rit nerveusement.

Assane : donc aïcha tu veux me défier.

Moi : je ne comprends pas.

Assane : aïcha c'est ma plus petite partie que t'ai montré comme ça attend de voir la suite tu ne vas rien comprendre à ta vie.

Cette menace je l'ai prise très au sérieux je commence réellement à avoir peur de lui nallah qu'est-ce qu'il voulait dire par là.

Je mange quelque chose avant qu'il ne rentre parce que quand il est là même mangée pour moi est un problème.

Je m'asseois dans ma chambre pour réfléchir.

Comment on en est arrivé là,  pourtant il y a quelques mois j'étais heureuse loin de tout ça.
Pourquoi est-ce qu'il a fallu que maman accepte cette demande en mariage.
Au début je lui en voulais puis je me suis dit elle ne pouvait pas savoir en plus elle s'inquiète tellement pour moi que je me sens mal c'est pourquoi je ne lui dit rien je ne veux pas qu'elle pique une crise en plus de ça elle a un mari maintenant il saura la rendre heureuse in sha allah mais son comportement me dégoûte de jour en jour.

Je passe la soirée ainsi à dessiner l'art est toute ma vie.
Je l'ai prise de ma mère c'était sa passion ainsi que la mienne.
Mais après ce mariage j'ai perdu goût à tout,  ma joie de vivre ma bonne humeur tout absolument tout même l'école je commence à abandonné.

Que Dieu me vienne en aide.

La Lumière Au Bout Du Tunnel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant