chapitre 8

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Le soir à la maison.

Il n'es pas encore rentré et je commence à m'inquiéter.
Je tournais en rond dans le salon quand j'attends la porte claqué.

Assane : toi suis moi .

Il a parlé si sèchement que j'en ai eu la chaire de poule.
Je le suis sans rien dire dans sa chambre je n'ai même pas eu le temps de parler qu'il boucle la porte à clé.

Assane : qui t'as autorisé à sortir aujourd'hui donc si je suis pas là madame en profite pour aller faire la pute dehors.

Moi : je t'interdis de me traiter de pute est-ce que c'est clair.
Je t'ai prévenu ce matin qu'est-ce que tu as fait tu es parti sans même me lancer un regard tu voulais que je fasse quoi .

Assane : epuis tu as encore la bouche pour parler.

Il enlève sa ceinture je tique pas.

Assane : non je sais ce qu'il te faut.

Il avance je recule plus il avançait plus je reculais.
Au final il me prend par la main violemment et me pousse sur le lit.
Je le vois se déshabiller.

Moi : tu n'oserais pas ?

Assane : attend voir.

J'essaie de me relever le plus rapidement possible mais il me tire par les pieds et se couche sur moi.

Moi : arrête s'il te plaît ne me fait pas ça pour l'amour de dieu...

Il me fait une pénétration si brutale que mes yeux s'ecarquille n'en parlons pas de ses coup de rein égoïste on dirait il avait pour but de me détruire le vagin.

Moi : arrête assane tu me fais mal..

Il me gifle plusieurs fois et continue son acte ignoble même l'enfer est mieux je dis😭.

Ce calvaires continue une bonne partie de la nuit avant qu'il ne daigne me lâcher.

J'avais mal physiquement et mentalement mon entre jambe n'en parlons pas je sentais même plus mes pieds et mon rein pâti sakana .
Il avait mis un torchon dans ma bouche pour me faire calmer après qu'il soit parti se laver je l'enlève et éclate en sanglots...

Moi : je te déteste de tout mon âme assane.. pleurant.

Assane : et tu penses que moi je t'aime kabaco tchipp...

Il me prend en mode princesse et ouvre sa porte du haut de 1m,87 il me laisse tomber par terre comme un sac de riz..

Moi : ahhh , criant de douleur.

Il ferme sa porte me laissant par terre.
Je reste par terre pleurer toute ma peine ma douleur je haïs mon corps je suis sali je me dégoûte moi même j'ai honte de me regarder en face d'un miroir .

Je le relève difficilement avec le peu de dignité que j'ai pour aller prendre une douche et me coucher Avec le cœur lourd y a rabbi je te prie de me donner la force nécessaire pour continuer.

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Chapitre cours désolé...

La Lumière Au Bout Du Tunnel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant