chapitre 18

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Je suis actuellement au commissariat avec mon père suite à l'accident d'hier soir.

Moi : ils m'attendaient je dis vu qu'ils étaient arrêté au milieu de la route à m'attendre.

Papa : je ne veux plus qu'il s'approche de ma fille où je ne me contrôlerais plus.

Le commissaire il ne nous prêtait même pas attention.
Espèce de corrompu tout ça parce que assane est riche tchipp.

On va chez assane ensemble mon père prend son fusil et me tire à l'intérieur avec lui.

Dès qu'on rentre il tire attirant l'attention des deux frères ainsi que des parents.

Mon père : vous vous prenez pour qui en essayant de tuer ma fille.

Je reste neutre même devant la pression de leur regard.

Assane : posez cet armes pour qu'on en discute calmement.

Moi : quel calmement ? Tu essaie de me tuer et tu parles de calme.
Papa commence par leur maman elle est pire qu'une hypocrite.

L'arme est dirigé vers la mère je ris intérieurement regardant sa vilaine tête là.

Assane : arrêtée pitié on ne va plus s'approcher de votre famille.

Papa : en voilà une décision sage si jamais elle se sent menacé c'est la tête de votre mère qui tombera ..

Il l'a dit si froidement que tout les poiles de mon corps se sont dressé.

Assane : d'accord.

On s'en va à la maison.

Papa : va révisé vers 19h30 on ira .

Courir on y va plus les matins mais les soirs.

Je vais réviser et m'exercer si j'arrive à l'avoir je vais arrêter l'école pour commencer à peindre des tableaux.
Mon rêve de petite fille.

Papa : tu penses à quoi ....

Il s'asseoit à mes côté...

Moi : à ce que je vais faire après le bac .

Papa : et tu as décidé quoi ?

Moi : je vais commencer à peindre et les vendre comme ça je gagnerais un peu d'argent.

Papa : moi j'aimerai que tu continue...

Moi : tu sais que tu ne resterai pas éternellement à mes côté il faut que je puisse me débrouiller..
En plus peindre ces l'un de mes rêves d'enfant.

Papa : en tout cas fait tout pour devenir indépendante, une femme battante c'est seulement là qu'aucun homme n'oserais ka molobaliya kila.

Moi : d'accord.

On attend des bruits au salon on y go voir.

Maï : bonjour.

Papa : tu vas bien ?

Maï : oui tonton merci.

Papa : d'accord je vous laisse je vais sortir.

Moi : alors la go.

Maï : ton père fait peur, respirant un bon coup.

Je ris

Moi : il est doux à l'intérieur t'inquiète pas c'est juste un masque.

Maï : d'accord on fait des exercices ?

Moi : oui.

On fait des exercices jusqu'à tard je décide de l'accompagner en voiture.
Si je meurs c'est que c'est la faute à mon père il ne m'a même pas dit non.

Maï : wow doucement il fait nuit.

Moi : t'inquiète je maîtrise la route...

Maï : qui t'as appris à conduire comme ça ?

Moi : mon père en plein vitesse et en pleine nuit.

Maï : ahii t'as pas fait une crise cardiaque ?

Moi : non il allait attendre que je me réveille pour qu'on continue...

Elle éclate de rire.

Moi : voilà on est arrivé à lundi pour les épreuves.

Maï : j'espère qu'on l'aura.

Moi : in sha allah.

Je retourne à la maison.
Au salon.

Moi : papa dit moi où est tenin.

Papa : quelques part dans la nature.

Moi : comment ça ?

Il souffle un bon coup.

Moi : qu'est-ce qui s'est passé ?

Papa : je sais pas si tu t'en souviens mais ta mère et tenin ne se sont jamais attendus.

Comment oublier.

Moi : si je m'en souviens très bien.

Papa : mes discute avec ta mère ?

Moi : oui.

Papa : tenin en est la cause.

Je me redresse.

Moi : je ne comprends pas ?

Papa : maraboutage et consorts.

J'ecarquille les yeux.

Moi : Allah akbar,  c'est arrivé là-bas ?

Papa : je l'ai découvert il y a quelques temps c'est pourquoi je l'ai renié.

Je me rappelle des derniers paroles de ma maman.

FLASH-BACK

j'étais assise à côté de maman souffrante.

Moi : maman je n'arrive pas à le joindre.

Maman : laisse Tomber il est déjà trop tard.

Je la regarde me sourir j'eclate en sanglots .

Maman : arrête de pleurer ainsi va la vie et surtout ne lui en veux pas il n'est pas lui même.

Moi : comment ça !!

FIN DU FLASH-BACK.

Papa il me sert dans ses bras.

Moi : suis tellement désolé je croyais que tu le faisais volontairement.

Papa : ta mère je l'ai aimé de tout mon être je n'aurai jamais été capable de lui faire mal mais c'est la volonté de dieu.

Moi : je suis désolé pardon s'il te plaît, murmurant.

J'ai tellement honte de l'avoir traité comme pendant toute ses années.

Papa : c'est tout oublier je te le promet.

Pdv de la narratrice.

Le problème en Afrique c'est ça hein.
Dès qu'on te voit heureux seulement on gâche tout.
Maraboutage, hypocrisie et consorts.
Le pire c'est que ça ne vient pas de l'extérieur mais des personnes qui sont censé être de ta famille....

Maï et Aïcha passe le bac haut la main Maï s'est mariée après le bac avec aziz tandis que aïcha est restée dans son coin avec les séquelles de son mariage qui a mal tourné.

Mais y faut qu'on avance pour la suite de l'histoire.

La Lumière Au Bout Du Tunnel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant