La Lumière Au Bout Du Tunnel

Chapitre 44

Des repos bien mérité maintenant retour au Sénégal.
Retour à la maison.

Sanata: mes petits bébé, en me serrant dans ses bras.

Moi : ma femme chérie.

Elle est grave sociable.

Mami : je go me reposer.

Depuis quelques temps je la sens pas du tout. Je monte avec elle dans sa chambre.

Mami : il m'a avoué qu'il a une copine.

Ehh allah goumin. Je la prends dans mes bras.

Moi : écoute moi chérie tu es une belle jeune femme malgré qu'il soit mon pote tu trouveras quelqu'un de bien.

Mami : hum..

elle se couche et moi au près d'elle on s'endort tout les deux.

Le lendemain.

Je suis assise au restaurant en face de la copine à tamsir la go me semble fausse c'est pas parce que tamsir a refusé mami hein juste ma tête n'est pas convaincu.
Le gars nous laisse seul.

La go : si jamais j'apprends que t'es en kiff sur mon gars je vais te tuer .

Bon j'ai pas dit ah ?

Moi : la go écoute moi très bien si je suis encore assise à cette table c'est par respect pour tamsir alors arrête de me soûler wesh.

Je prends mon sac et rentre à la maison c'est quoi son délire wesh.

Mami : dit il y'a la soirée de fiançailles d'une copine le samedi tu veux bien m'y amener.

Moi : pas de problème chérie.

Je n'ai rien à foutre donc je vais danser au salon .

Sanata : ehh denyo iti yairai lafia.

Moi : tu ne sais pas la joie que j'ai de pouvoir parler bambara avec quelqu'un d'autre ici, en riant.

Sanata: garde toujours ta joie de vivre.

Je danse bien bien même.

Ablo : dit Aicha je peux te parler ?

Moi : oui .

Ablo: maman dit qu'elle viendra s'installer ici définitivement.

Je ne sais pas si si vous vous rappeler d'elle c'est la mère de Akim.

Moi : c'est une bonne nouvelle elle viendra quand?

Ablo : Elle ne m'a rien dit sur la date dès.

Moi : d'accord.

Je souris ça fait longtemps j'ai pas de ces nouvelles. Après la mort de Akim j'ai fuis comme une lâche j'ai un peu honte de mon comportement mais bon on ne peut pas changer le passé.

Je rentre dormir parce que j'en ai besoin. Je ris et souris avec tout le monde mais mentalement je suis encore épuisé. Je pense que je vais reprendre ma thérapie avec ma psychologue demain je vais en parler avec ablo .

Le lendemain.

J'ai passé la journée à la boutique pour les comptes.
Il est 19h c'est maintenant je rentre à la maison épuisé je prends une douche et avale quelques choses.

Je vais parler à ablo dans son bureau.

Moi : coucou on pourrait discuter?

Ablo : pas de problem Assi toi .

Moi : je vais reprendre mes séances de thérapie avec ma psychologue .

Ablo : explique moi le problème.

Moi : le problème c'est que je ne vais pas bien le moral ça va pas j'ai l'impression de sombrer encore et encore si je continue je cours directement à ma perte il me faut de l'aide, d'un ton suppliant; je ne suis pas folle loin de là mais je suis à un stade de ma vie où la mort m'ouvre grand ses portes si je ne m'aide pas.

Il semble réfléchir.

Ablo: si je t'ai envoyé aux États Unis c'est pour que tu te retrouves et essaie à nouveau de vivre .

Moi : et j'ai eu l'impression de fuir il faut que je les affronte.

On se regarde un moment.

Ablo : d'acc.

PDV de l'inconnu.

La dame : je ne sais pas ce que vous allez lui faire mais assurez-vous de lui donner une bonne leçon qu'elle n'oubliera jamais.

Les deux gaillards prennent leur argent et s'en taillent avec seulement pour but de faire du sale.