chapitre 11

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De retour à la maison tout tournais dans ma tête.
Comment peut-on être malhonnête comme ça.
Ils m'ont piégé puis ils sont venus jouer à l'agneau avec moi.
J'attends assane de pieds ferme en parlant de lui il vient avec sa maudites tête.

Moi : dit Assane qui t'a permis d'aller retirer mon dossier scolaire , irriter.

Il regarde derrière lui puis me regarde .

Assane : c'est avec moi que tu parles aïcha.

Moi : dit moi est-ce qu'il y a de 2 assane ici , en haussant le ton.

Je le vois s'approcher avec l'intention de me frapper mais cette fois ci je ne vais pas me laisser faire.
Je sors l'arme et le pointe sur lui.
Il se bloque instantanément.

Moi : assane tu te fous de qui ? Comment as-tu osé retirer mon dossier scolaire.

Assane : lâche ça c'est pas un jouet , paniqué.

Mon père était un ancien combattants tout ce que je n'aimais pas chez lui c'est son fort caractère quand il se fâche il frappait maman.

Je tire à 2 secondes près de lui j'ai fait exprès de le rater pour qu'il comprenne que je ne blague pas.

Assane : non mais elle est folle ma parole.

Moi : dans 20 secondes prêt je tire la 2 ème si jamais assane avant ça tu n'amène pas mon dossier scolaire à l'école je ne vais pas te rater.

Il sort presque en courant je le vois rouler à toute allure pour sortir de la cour .
Je vais rapidement dans l'arrière cours.

Moi : merci pour l'arme.

.... : De rien et tu comptes rester avec lui comme ça.

Moi : je compte divorcé

..... : et pour la maison.

Moi : prépare les papiers je le mets en ton nom.

Je rentre dans la maison sans attendre sa réponse je ne peux plus le regarder dans les yeux sans me rappeler des événements passés.

Je nettoie tout avant leur retour parce que je sais qu'il ne va pas rentrer seul.
Taza et zeïnab sont partis pour quelques jours je ne sais où ?

Je m'asseois tranquillement dans la cuisine quand j'attends la porte claqué.
Je le vois arriver avec la police.

La police : bonsoir madame.

Moi : bonsoir monsieur l'agent.

La police : votre mari nous a informé que vous détenez une arme à feu dans la maison.

Moi : il est un peu parano vous pouvez fouiller y a rien ici.

Ils fouillent toute la maison mais rien.

La police : veuillez vérifier vos informations avant de nous déranger pour rien. Allons y.

Ils s'en vont nous laissant seul.
Je suis foutu ohh il ferme tout à clé et était si en colère que j'en ai eu la chaire de poule.

Assane : aïcha tu oses me défier ?

Moi : t'es qu'un lâche espèce d'homme faible.

Ohrr j'aurais dû me taire il me donne une gifle de 1,19km² que j'en tombe par terre le nez saignant.

Moi : allez frappe i t se dowairai la o ko ohh tchipp.

Assane : non aujourd'hui je ne vais pas te frapper j'ai mieux.

Il se déshabille devant moi je tique pas suis habitué ce n'est pas la première.

Il fait ce qu'il a à faire c'est à dire me violé brutalement.
Après son action ignoble il me verse de l'eau glacé sur tout le corps.

Je gémis de douleur.

Assane : lève toi et nettoie moi tout ça.

Je me lève et nettoie tout en boitant j'ai hyper mal au bas ventre.
Mais Dieu au contrôle.

Je rentre me coucher le cœur lourd de peine.
Pour l'instant je ne vois aucune lumière au bout du tunnel c'est vaste noir et désert.
Je commence à perdre tout espoir.

Le lendemain je me réveille tôt pour préparer le petit déjeuner de assane et m'en vais à l'école.

Maï : alhamdullilah tu es de retour comment tu as fait ?

Moi : j'ai mes petits secrets.

Djalika : ma chérie, me serant dans se bras.

Moi : je ne te vois plus chez moi c'est quoi le problème.

Djalika : tu sais que je n'aime pas ton mari.

Moi : c'est ton frère.

Djalika : et alors attend de voir après le bac je vais me marier et quitter le pays.

Je ris .

Moi : d'accord ma belle mais tu as grossit hein .

Djalika : je vais en classe.

Moi : tu esquive la conversation

Djalika : non on a sonné, en partant.

C'est louche ça.

Moi : pourquoi tu la regarde mal, la voyant la mal regarder.

Maï : tu veux que je lui souris alors que son frère te fait du mal .

Moi : elle n'est pas son frère Maï en plus elle me fait de la peine atterrir dans une famille comme ça.

Maï : tchipp allons en classe.

17h on va chez maï.

Tanti bamou : ma chérie ça va ?

Moi : oui tati

Maï : allons y je t'accompagne .

Moi : au revoir tati il se fait tard.

Tanti bamou : n'oublie pas de passer souvent.

Moi : d'accord.

En route pour aller chez moi.

Moi : j'ai une envie pressente de vomir.

Maï : hum .

Je m'arrête et vomis tout ce que j'ai avalé depuis le matin.

Maï : tu n'es pas enceinte par hasard ?

Moi : non je suis allé me faire planifier.

Maï : assane le sait ?

Moi : non pour qu'il me tue non merci je ne veux pas porter l'enfant d'un bâtard.

Maï : sage décision orhh un enfant c'est beaucoup de responsabilités.

Moi : oui..

Maï : à propos ton cousin là.

Moi : humm, souriant ; affaire à suivre.

Maï : mais écoute moi d'abord.

Moi : j'ai dit ce que j'avais à dire.

On rentre à l'intérieur et mon bébé était de retour.

Moi : zeïnab, souriant.

Elle rit avec ses petites dents là elle joue un peu avec maïmouna qui s'en va peu de temps après.

Taza : tanti nafi dit d'aller la voir.

Moi : toi ou moi.

Taza : nous deux je ne sais pas ce qu'elle veut cette poufiasse tchipp.

Je ris.

Moi : bas allons y alors.

La Lumière Au Bout Du Tunnel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant