La Lumière Au Bout Du Tunnel

chapitre 2

Assane : déshabille toi et couche toi depuis maintenant je m'en fiche de ton état d'âme alors tu ne me fait pas chier.

Je me déshabille et me couche il se déshabille à son tour et enfile un préservatif.
Il vient se placer entre mes jambes et me fait une introduction vaginale des plus sec.
Je cri de douleur et commence à pleurer.
Il fait ce qu'il a à faire et se lève pour s'en aller.
Me laissant dans un état pitoyable.
Ma tête tourne et je perd connaissance.

Je me sens secoué j'ouvre les yeux lentement.

... : ma fille ça va ouvrez les yeux.

C'est la dame qui est censé s'occuper de moi.

La dame : viens je vais te laver.

Moi : Je peux pas j'ai trop mal.

J'avais tellement envie de pleurer la douleur putain.

La dame : Je vais te donner un bon bain et après je te masse .
Ça ira après.

Moi : d'accord.

Elle m'aide à me laver puis elle me masse tout le corp avec du beurre de karité puis m'habille.

Elle prend le dra en souriant et sort avec.
J'ai très envie de pleurer mais à quoi bon maintenant.
Ma belle-mère vient avec la fille de Assane dans ses bras.

Moi : bonjour maman.

Maman nafi : bonjour ma chérie comment tu vas ?

Mal.

Moi : bien merci.

Maman : je suis fier de toi mon enfant tu as honoré ta famille ta mère viendra plus tard.

Moi : d'accord.

Maman : voici ta fille.

Je la prend elle est hiper mignonne.

Moi : comment elle s'appelle.

Maman : zeinab, elle a 5 mois.

Moi : toute belle me petite, elle peut rester avec moi.

Maman : tu es fatigué repose toi.

Moi : ça ne me dérange pas en plus elle s'endort là.

Maman : si tu veux et je voulais aussi m'excuser pour le comportement de hamidou si Assane n'était pas là je me demande ce qu'on aurait fait.

Moi : ne vous inquiétez pas on oublie tout.

Elle me laisse et la dame me donne de la bouillie chaude que je bois puis je me couche avec la petite.

C'est les pleures de zeinab qui me réveille je la berce mais rien ni fait donc je m'arrête devant la fenêtre pour la bercer et elle se calme.

Moi : t'es trop adorable je réfléchi déjà à ce qu'on va faire toute les deux les sorties et surtout je vais t'habiller comme la petite princesse que tu es.
Ça te va ?

Elle secoue sa petite main en l'air et fait un petit sourire de bébé.

La dame : mon enfant tu dois rester la dessous sur la natte.

Moi : désolé la petite voulais pas y rester.

Son père vient avec Djalika.

Djalika : ma petite femme.

Moi : mon petit mari, en souriant.

Djalika : Maman a dit de venir chercher zeinab pour que tu te repose.

Moi : d'accord...

Je la lui donne et elle s'en va La dame me laisse avec Assane.

Assane : aïcha.

Je n'ai pas le cœur à lui parler.

Assane : ton insolence tu le fais à d'autre personnes pas à moi compris.

Moi : tu me veux quoi encore ça ne vous suffit pas l'humiliation que toi et ton frère vous m'avez fait subir.
Assane pardon si ton objectif est de me faire souffrir parce que je porte ton nom alors libère moi dés maintenant.
A cause de vous je n'ai qu'une envie c'est de mourir vous m'avez détruite et jamais je n'oublierai ce que vous m'avez faites.

Je m'asseois et couvre ma tête , j'entend ses pas disparaître.

Aziz : je viens de rencontrer ton mari et il avait l'air vraiment contrariée.

Aziz est l'unique fils de maman ( la sœur de ma mère).

Moi : il n'a qu'à aller se faire foutre.

Aziz : c'est fort là.

Je répond pas.

Aziz : tu sais j'ai vu hier quand tu as essayé de te lever.

Moi : et je regrette à l'heure là de ne pas l'avoir fait.

Aziz : comment tu te sens.

Moi : mal , j'ai été humiliée j'ai honte de moi même.
Deux frères de la même famille tu t'en rend compte.

Aziz : c'est pas de ta faute mais c'est leur faute à eux.

Moi : certe mais je me sens si mal si tu savais.
Tu sera toujours là n'es pas.

Aziz : je te le promet que tu sois marié ou pas ça change rien entre nous si tu as un problème même si c'est à 03h du matin appel moi.

Moi : merci beaucoup.

Aziz : je t'aime sœur.

Moi : moi beaucoup plus frérot.

Maman vient et Aziz s'en va.

Maman : bonjour ma chérie ça va ?

Moi : bien ça peut aller.

Maman : et le moral.

Moi : cousi cousa maman et tenin.

Maman : elle a le bec cloué maintenant.

Je ris.

Moi : maman

Maman : oui.

Moi : je continue l'école n'es pas.

Maman : oui tu continues Assane a été catégorique sur ce sujet.

Moi : alhamdulilah une chose de bien qu'il fait au moins .

Maman : i te sabali.

Moi : bref tu m'as amené quelques chose à manger.

Maman : non on te donnera à manger ici.

Moi : mais que de la soupe j'en peux plus j'ai faim.

Maman : arrête de te plaindre pour l'amour de dieu.

Moi : je ne me plain pas j'ai juste envie de manger je vais appeler Aziz.

Maman : attend j'appele la dame..

Elle reviens avec la dame.

La dame : qu'est ce qui ne va pas.

Moi : j'ai un peu mal au niveau du bas ventre et un peu faim aussi.

La dame : d'accord j'arrive.

C'est maintenant que la douleur me fatigue au plus haut point.

Moi : maman je sens même plus mes jambes en plus ils sont un peu enflé.

Maman : elle va t'apporter quelque chose.

Moi : si avant j'avais des doutes maintenant j'en ai plus je suis plus que maudite.