Feitan x reader

un champs de batail impitoyble

Bonjour, alors oui je sais j'écris après 3 mois d'inactivité, c'est que je suis beaucoup occupée avec les cours et aussi parce que je suis super fatiguée le soir, enfin bref voici enfin une suite !!

Feitan lâche Gon qui fait un bon et se retrouve en face de Killua. J'enlève mon couteau.

Shizuku: Qu'est-ce qu'on va faire d'eux ? Ils ne nous ont encore rien appris sur le type à la chaîne.

Franklin: S'ils ne savent rien sur lui autant les relâcher, qu'est-ce que tu en penses Pakunoda ?

Pakunoda : J'ai pris soin de les examiner en chemin. Ils disent la vérité, ils ne savent rien.

T/p : Vraiment ?

Pakunoda : Oui, je n'ai détecté aucune trace du type à la chaine dans leur mémoire.

nobunaga : Nous te faisons entièrement confiance, c'est rare que ton intuition se trompe.

Machi: Voilà qui est surprenant, mais si Pakunoda l'affirme, alors nous n'avons aucun doute à avoir.

Je me dirige vers Pakunoda qui continua de nous expliquer certaines choses, Killua en profita pour aller voir Gon et lui demander si elle lui avait fait quelque chose.

franklin : S'ils n'ont aucun lien avec le type à la chaine on peut les laisser filer.

Sharnalk : Inutile de les retenir contre le gré.

Phinks : Qu'est-ce qui nous prouve qu'ils disent la vérité ?

t/p : Bah Pakunoda.

Phinks : Vous avez l'air d'avoir oublié un élément essentiel, qu'est-ce qui nous prouve que notre type utilise sa chaine pendant tous ses combats ? Ces gamins le connaissent peut-être mais sans savoir que c'est lui. Mieux vaut savoir qui les a envoyé avant de les renvoyer dans la nature.

Sharnalk : S'ils suivent les traces de quelqu'un cela ne peut pas être celles de celui que nous cherchons, il me semble qu'il agit toujours seul.

Machi : Tu es du même avis que Nobunaga ?

Sharnalk : Pas besoin de sous-fifre pour arriver à ses fins, il peut avoir autant d'informations qu'il le veut grâce à la famille Nostrad étant donné qu'il fait parti de ce clan.

Franklin : C'est vrai...

Sharnalk : Notre objectif est le type à la chaîne et personne d'autre, on peut laisser ces deux-là repartir dès maintenant.

feitan : Vous avez entendu, réjouissez-vous !

Gon lui tire la langue ce qui me fit sourire.

Nobunaga : Hors de question !

On tourna tous la tête vers lui, il état assis contre une sorte de vieille fontaine. On dirait plus un relou victimisé à l'école qu'autre chose.

Nobunaga : On ne peut pas les laisser s'échapper comme ça. Petit, rejoins la brigade, fais équipe avec moi.

T/p : C'est une mauvaise idée Nobunaga.

Nobunaga : Tais-toi un peu toi ! (NDC : fais gaffe à t fesses coco, oublie pas que c la meuf d'un tortionnaire-)

t/p : T'as pas l'air de savoir à qui tu parles là !

Nobunaga : À une gamine qui a rejoins la brigade.

feitan : Ferme-là Nobunaga.

Gon : Vous rigolez, je préfère mourir que de devenir votre camarade, jamais je ne dirais oui !