Retrouvailles passionnées

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PDV MEW

Je frappais avec une certaine hésitation à la porte, me demandant de quelle façon il allait me recevoir.

<< Entre maman, je t'attendais ! >> eus-je la surprise d'entendre, en reconnaissant une voix bien triste.

Je tournais la clenche avec appréhension, me glissant à l'interieur de la chambre, à peine éclairée par la lueur d'une petite bougie posée sur une table de chevet.

Gulf me tournait à moitié le dos, assis sur le rebord de sa grande fenêtre, à observer la lune.

MEW : Comme tu m'as manqué bébé ! Soufflai-je d'une voix douce et tendre en faisant les quelques pas qui me séparaient de lui.

Surpris au son de ma voix, n'osant apparemment pas y croire, il se tourna alors vers moi, totalement ébahi.

Il laissa échapper un faible cri de sa gorge avant de me tomber dans les bras, véritablement ému de me voir dans sa chambre.

GULF : Oh mon amour ! Oh Mew ! Prononça-t-il entre deux sanglots.

Mes yeux étaient humides et brillants comme l'étaient les siens.

Je l'étreignis avec force, le serrant contre mon coeur, mes lèvres dévorant son cou de baisers.

MEW : Je ne vis plus depuis que tu t'es enfui de chez moi.

Suis-je si horrible mon bébé, ma vie ?

Il grogna contre ma poitrine.

GULF : Tu n'as pas cessé d'exister là ! Me répondit-il en posant ma main sur son coeur.

Si tu savais comme j'ai résisté à l'envie de te retrouver, Mew, mon prince !

Et tu es là !

Avec moi !

Contre moi !

Et je revis d'un coup en ta présence.

Soudain il initia le premier baiser de nos retrouvailles en posant ses lèvres sur les miennes impatientes.

Ses dents mordillèrent ma lèvre inferieure et je laissai l'accès de ma bouche à sa langue qui s'enroula, caressante, à la mienne.

Ce baiser fut aussi profond que les sentiments que j'éprouvai à son encontre.

MEW : Que m'as -tu écris dans ta lettre d'adieu, petit con ?

GULF : Tu dois certainement avoir gravé mes mots dans ton coeur Mew ...

MEW : Je veux les entendre à nouveau mais de ta si jolie bouche, bébé ! Lui dis-je en lui souriant.

Gulf : Euh ... Tu me gênes Mew !

J'ai dit ... Enfin ... J'ai avoué ... Que ...

MEW : Oui ? Bébé ?

GULF : Je t'ai avoué ressentir les mêmes sentiments que les tiens pardi ...

MEW : C'est si difficile que ça de les dire à l'homme qui a chevauché 3 jours pour te voir les yeux dans les yeux ?

GULF : Je t'aime Mew ! Tellement ... Si fort !

J'embrassai sa bouche tel un affamé auquel on offrait un banquet somptueux.

Je glissai mes bras sous ses fesses pour le soulever contre mon torse, le poussant à enrouler ses jambes autour de ma taille.

Mon Adorable Chevalier ( BL ) ( MewGulf ) TerminéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant