Confiné avec un rebeu![BxB][Terminée]

Il lui faut au moins trois coups!

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Il ne prit pas la peine de me répondre. Il semblait complètement absent. Seul son désir était présent et le commandait. Il fit encore un pas, puis sans prévenir, sauta sur ma lampe de chevet qu'il éteignit. La seconde d'après, j'étais décollé du mur contre lequel j'étais blottis et projeté dans le lit. Un corps immense s'abattit sur moi. Je me mis alors à crier

-Que fais-tu Youssef, reprends-toi s'il te plaît

Pour toute réponse, sa main se saisit de ma taille. Il entoura ses bras autour et me plaqua son érection sur les fesses. Il se colla si fort que je crus qu'il allait me traverser.

-Je n'arrive pas à respirer Youssef, reprends-toi, arrête immédiatement, continuai-je à crier

Il ne s'arrêta pas et ne fit même pas mine de m'entendre. Il se mit à esquisser un mouvement de va et vient sur mes fesses. Je tentai tant bien que mal de me débattre, mais rien n'y fit. Il était bien plus fort que moi. Puis subitement, il se saisit de mon pantalon et se mit à l'enlever. Mon coeur accéléra.

-Arrête criai-je de plus belle en me débattant

Je sentis des larmes me monter aux yeux. J'éprouvais une immense terreur. Je ne pouvais pas m'imaginer que ma première fois serait un viol. Je savais bien à quel point c'était douloureux sans consentement et aucune préparation.

Il finit d'enlever mon pantalon et ce fut le tour de mon boxer. Il l'enleva en moins de deux. Je perdis alors tout mon self-contrôle. Je venais de réaliser ce qui allait se passer. Youssef avait déjà enlevé son pantalon. D'une main il m'immobilisait et de l'autre, il saisit mes fesses. Il les écarta de ses doigts. Je sentis son sexe à mon entrée.

-Non, je t'en supplie, Youssef, nonnnnnnnnnn

Je sanglotais comme un gamin. À ce moment, je pouvais comprendre ce que toutes les femmes vivaient pendant un viol. Ce sentiment d'impuissance. Dans mes lamentations, je ne me rendis pas compte qu'il s'était arrêté quand je m'étais mis à sangloter. Il me retourna le visage et me mit un drap dans la bouche, puis un oreiller sur la tête. Je n'en revenais pas de ce qui se passait. Mais contre toutes mes attentes, il ne persista pas pour me pénétrer. Il cracha juste entre mes jambes et me colla les deux cuisses. Puis il utilisa l'espace entre les deux comme "trou". Il fit quelques mouvements de va-et-vient puis jouit abondamment. Je pouvais sentir le liquide chaud entre mes jambes, sur mes testicules. J'étais soulagé qu'il ne m'ait pas pénétré, mais j'étais en colère contre lui.

-Lâche-moi, lui dis-je

-Pas encore, me répondit-il

-Lâche-moi Youssef j'en ai marre

-Pas encore, il m'en faut au moins trois, désolé, mais c'est comme cela. Je ne veux pas avoir à le refaire demain

-T'es complètement malade Youssef

-Je sais, mais s'il te plaît tais-toi, je me méprise déjà suffisamment, n'en rajoute pas

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