Confiné avec un rebeu![BxB][Terminée]

Je ne suis pas un putain de pédé!

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A ce moment, je fut pris de pitié. Sa voix sonnait comme un appel à l'aide. Il me maintint ainsi pendant trois quarts d'heure. Cinq minutes après sa première éjaculation, il était déjà dur. Il se faufila encore entre mes jambes. Quand il me touchais le cul de ses mains si fermes, je ne pouvais m'empêcher de sentir du plaisir. J'en oubliai même ce qu'il avait fait. Je commençai à ressentir du plaisir. Ses coups, à chaque fois, faisaient que son pénis frôle le mien. Je sentais de plus en plus de plaisir. Mécaniquement, je saisis sa fesse pour le pousser plus. Il reprit ma main et la plaqua contre mon dos. Je ne comprenais pas pourquoi il fuyait tellement le fait d'être avec un mec. Il m'en cachait le visage sous un oreiller et me retournait toujours sur le dos pour ne pas voir mes attributs masculins. Il jouit une deuxième fois

-Lâche-moi maintenant

-Pas encore

Je n'insistai pas. Dix minutes après, il était encore tout dur. Ma fois cet homme était un véritable lapin. Il introduisit encore sa queue entre mes jambes. Il prit plus de temps cette fois-ci; cela me permis d'en profiter plus. En quelques frottements, je sentis le plaisir monter en moi. Je ne pus réprimer des cris de joie. Cela sembla lui donner encore plus d'excitation car il accéléra ses mouvements. Il jouit ensuite une troisième fois. Il resta là deux minutes à reprendre son souffle, puis me lâcha. Je guettais ce moment. Comme je l'avais prévu, il se leva brusquement et fonça vers la porte. Ayant tout anticipé, je m'y retouvai avant lui. Nos yeux se croisèrent. Il pleurait au fait, mais je ne l'avais pas remarqué. Je fus pris d'empathie pour lui.

-S'il te plaît laisse moi passer, murmura-t-il en tournant le visage

-Non, pas aujourd'hui, tu es un homme et tu dois assumer ce que tu as fait, lui dis-je; tu ne peux pas passer ton temps à fuir, nous devons parler

-Ce n'est pas de ma faute, je ne voulais pas, dit-il en perdant le contrôle. Il semblait si vulnérable. Il s'effondra dans mes bras et se mit à sangloter. Il pleura cinq bonnes minutes. Je ne disais rien. Je me contentai juste de lui caresser les cheveux et de le serrer fort. Puis il se sécha les yeux et se releva en tournant le dos.

-Je suis désolé de me comporter comme une gonzesse mec

-Arrête, lui intimai-je, arrête avec tes "mec"; arrête avec tes préjugés. Stop, tu ne vois donc pas que tu es à bout? Je suis Atef, je ne suis pas "mec". Arrête de te sentir toujours obligé d'être le mec le plus viril au monde. Tu as aussi le droit de pleurer, d'être sentimental, et d'être excité par un mec, finis-je

Il se retourna d'un bon et me fixa d'un regard dur

-Ne redis plus jamais ça, je ne suis pas un putain de pédé

Il avait l'air terrorisé, comme si ma dernière phrase, je l'avais postée sur Facebook.

-Si tu l'es

-Non je ne le suis-pas

-Si tu l'es

-Non putain

Il avait sauté jusque près de moi comme pour me coller son poing à la figure

De ma main, je pris le reste de sperme qui me dégoulinait encore d'entre les cuisses et lui mit sur la figure.

-De qui est ce liquide alors, si t'es pas gay? Qui l'a éjaculé sur moi? Qui m'a caressé les fesses et a grogné en jouissant de cela?, lui lançai-je d'une traite

-Arrête putain, dit-il en se tenant la tête et en tournant dans la chambre

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DEVINETTE POUR ADULTES:

Qu'est ce qui est poilu à l'extérieur et humide à l'intérieur?

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