Satoru Gojo x Pregnant!Reader | Jujutsu Kaisen

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Ce OS est une commande de @louann_jpn

Je nouai mon tablier bleu autour de ma nuque, puis plus légèrement autour de ma taille pour ne pas trop serrer mon ventre arrondi

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Je nouai mon tablier bleu autour de ma nuque, puis plus légèrement autour de ma taille pour ne pas trop serrer mon ventre arrondi. Je pris mon carnet et mon crayon, puis quittai le vestiaire pour aller en salle.

—Tu es encore venue, me fit remarquer mon patron.
—Toujours, je m'ennuie chez moi, répondis-je en souriant légèrement.
—Ne te fatigue pas trop, dit Takami, ma collègue, en passant derrière moi.
—Promis !

Je distribuai quelques commandes qui avaient déjà été faites. Alors que je ramenai une tasse vide, Takami se plaça derrière moi en posant ses mains sur mes épaules.

—Je te laisse t'occuper des nouveaux arrivants table quatre, dit-elle avant de partir.

J'hochai la tête et, après avoir posé la tasse je levai les yeux vers la table. Mes sourcils se levèrent en voyant Satoru et ses élèves. Je pris mes affaires et me dirigeai vers eux.

—Satoru, dis-je en souriant.
—(T/p).
—Vous, vous devez être... Megumi, Yuji, eeet Nobara ? essayai-je.

Ils hochèrent la tête. J'ouvris mon carnet et pris mon stylo.

—Vous nous connaissez ? s'étonna Yuji.
—On m'a déjà parlé de vous, expliquai-je en lançant un regard à mon fiancé.
—Vous êtes une amie de Gojo-sensei ? me demanda-t-il. C'est pour ça qu'il nous a obligé à venir ici, alors !
—Je ne sais pas vraiment si je peux dire que je suis son amie, répondis-je en souriant. Mais je suis contente de savoir que tu t'inquiètes pour moi, repris-je en regardant Satoru.
—Je voulais juste voir si tu étais allée travailler ou non.

Satoru posa son regard sur mon ventre, avant de soupirer.

—Le docteur a dit que tu devais te reposer.
—T'en fais pas, Katsu ne me fait pas beaucoup travailler, le rassurai-je en posant une main sur son épaule. Et si vous me disiez plutôt ce que vous voulez ? repris-je en me préparant à écrire.
—Que tu rentres, répondit Satoru en appuyant son menton sur la paume de sa main.

Je levai les yeux au ciel, avant de secouer la tête.

—Sérieusement. Qu'est-ce que tu veux prendre ?
—Le fraisier, bougonna-t-il en passant son index sur les striures de la table.
—Et vous ? demandai-je en écrivant.
—Moi aussi, le fraisier, dit Yuji.
—Moi, une glace à la vanille.
—Et toi, Megumi ?
—Le gâteau au chocolat, répondit-il.
—Je vous apporte ça tout de suite, dis-je en souriant.

J'apportai le papier de la commande pour que Takami la prépare. Quand ce fut fait, elle m'aida à les emmener pour que j'aille un peu plus vite.

—Cadeau de la maison, annonçai-je.

Les trois élèves me regardèrent sans rien dire, clignant seulement des yeux.

—Je peux vous faire payer si vous voulez, plaisantai-je.
—Gojo-sensei a une fiancée, murmura Yuji.
—Et il va être papa, continua Nobara.
—Dans quatre mois, finit Megumi.

Je ricanai légèrement en hochant la tête. Décidément, tout le monde sera toujours choqué d'apprendre ça sur Satoru. Je ne peux pas vraiment les blâmer.

—Je vous souhaite un bon appétit, et probablement bonne chance pour le reste de la journée, dis-je amusée.

—Je vous souhaite un bon appétit, et probablement bonne chance pour le reste de la journée, dis-je amusée

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Alors que je commençais à m'endormir, le bruit de la porte grinçante de la chambre me réveilla. Je me redressai légèrement et vis Satoru s'approcher du lit.

—Je croyais que tu ne rentrais pas ce soir ? murmurai-je à moitié endormie.
—Et bien finalement, je suis là, dit-il en se déshabillant.

Quand il fut en sous-vêtements, il me rejoignit sous la couverture. Il se colla doucement contre moi, avant de glisser sa main gauche sur mon ventre. Il posa plusieurs fois ses lèvres dans le creux de mon cou, me donnant de légers frissons. Il entremêla nos jambes puis passa son autre bras sous ma tête.

—Je ne veux pas qu'il y ait de problème avec toi ou le bébé.
—Je sais ce que je fais. Je peux encore supporter le travail, assurai-je en mettant ma main droite dans la sienne. Dès que je ne le supporterai plus, j'arrêterai, repris-je en entrelaçant nos doigts.

Son souffle chaud frappait ma nuque alors qu'il se calait correctement derrière moi. Sa main gauche caressait doucement mon ventre, me faisant sourire.

—Eh, et si on profitait que ton ventre ne soit pas encore super rond ? murmura-t-il.

Je lâchai sa main pour me retourner vers lui. Je le vis alors avec un grand sourire aux lèvres. Sa main gauche désormais libre, il passa son majeur le long de ma taille jusqu'à atteindre ma hanche.

—Non, répondis-je simplement.
—Ben pourquoi ?
—Parce-que j'en ai pas envie.

Il fit la moue en enlevant son doigt. Je ricanai légèrement en me rapprochant de lui, tout en laissant un peu d'espace pour mon ventre. Je posai alors mes lèvres sur les siennes en caressant doucement sa joue. Satoru répondit immédiatement au baiser. Il passa doucement sa langue sur ma lèvre inférieure, avant de légèrement reculer son visage. Nous laissâmes nos respirations se mélanger, avant qu'il ne reprenne un échange en laissant nos langues se rejoindre.

Nous passâmes un moment à nous embrasser, avant qu'il n'y mette fin. À ce moment-là, je me blottis autant que je le pouvais contre lui. Il passa un bras autour de ma taille, l'autre sur ma hanche pour que sa main puisse atteindre mes fesses.

—Tu crois que tu seras là quand je vais accoucher ?
—Je sais pas, répondit-il. Ce serait pas si mal que je sois là.
—Pas pour prendre de photos ou quelque-chose de ce genre, mh ?
—Bien-sûr que non ! Pour qui est-ce que tu me prends ?

Je levai la tête vers lui pour le voir avec un sourire amusé. Ses lèvres se posèrent doucement sur mon front avant que je ne baisse ma tête.

—Je le ferai juste un peu, reprit-il.

Je poussai un soupir en passant ma main sur sa taille, puis fermai les yeux.

—Je t'aime quand-même.
—Qui ne m'aime pas ? dit-il en tapotant mes fesses avec ses doigts.
—Moi, si tu continues comme ça.

Il ricana avant de laisser mes fesses tranquilles.

—Je t'aime, finit-il par dire.

Un sourire prit place sur mes lèvres avant que je ne m'endorme.

FIN

OS Manga, Tome 2 | ʀᴇᴀᴅᴇʀOù les histoires vivent. Découvrez maintenant