The Story of an Independent Women[TERMINÉE]

Chapitre 7 : Le vice-président

Une autre personne en costard cravate arrive vers moi.

« Bonjour, je suis Ayase Kojima le secrétaire, je vous accompagne.

Dieu merci, nous communiquons dans la même langue.

-Enchanté, je suis Ayame Crosszeria, ravie de faire votre connaissance. »

Une fois les présentations faites, nous nous dirigeons à l'intérieur du bâtiment. La hall d'entrée est composé exclusivement de verrières, ça donne une de ces clartés c'est hallucinant. Quand même, le petit Ayase trace bien sa route hein, il marche vachement vite. Ça m'apprendra à mettre des talons... Même pas très haut en plus...

Nous arrivons ensuite à l'avant dernier étage de l'immeuble, je passe devant, ce qui me semble être, les bureaux des employés. Ils sont tous entassés dans une grande salle et à côté, il y a surement les bureaux des managers. Ils disposent de leur propre bureau personnel. Ma foi, je ne trouve pas ça très équitable mais je ne suis pas venue juger l'état des lieux. Je suis là pour en faire l'éloge.

On arrive beaucoup plus loin à cet étage, les bureaux devenaient de plus en plus petit voir à disparaître. Je ne voyais littéralement que du vide, la partie de cet étage ne semble pas encore terminer. Nous passons une porte qui est en rupture avec le vide laissé plus tôt.

Passer cette porte, c'est un nouveau monde, à gauche je vois un tout petit bureau, à droite des fauteuils et des canapés. Et devant moi, se trouve une porte, à vue d'œil et à en juger ma déduction c'est le bureau le plus énorme que j'ai vu de ma vie. Même mon patron ne possède pas ce genre de bureau. Je dois admettre que c'est un peu intimidant.

Le secrétaire ouvre la porte, de là, je peux observer que ma déduction n'était pas fausse. Ce bureau doit prendre au moins un quart de la superficie de l'étage, je ne déconne même pas.

Mes yeux sont rivés devant le bureau immense mais surtout de l'homme qui se trouve derrière ce bureau. Il est de dos, les mains dans les poches, à en juger sa posture, il semble être très raffiner. Je me demandais ce qu'il faisait de dos, lorsque je comprends aussitôt la vue que la baie vitrée offre.

« Monsieur Jeong, je vous présente Madame Ayame Crosszeria de la société Shawols elle vient d'arriver.

-Merci Ayase, tu peux nous laisser. »