Mariage sur contrat. (Dans les bras de son altesse T2) Terminée.

Vingt deux

- Maria tu vas user le parquet à force de tourner en rond? Sermonna Cynthia la mère de la jeune femme.
Xavier l'avait juste laissé devant chez elle une semaine plus tôt tout juste après leurs arrivés de New-York. Il l'avait promit qu'il l'appellerait mais jusqu'à présent il ne s'est guère manifesté.

- Il a sûrement une bonne raison de ne pas t'appelé. Reprit la mère qui voulait rassuré Maria.

- Mais Mère, ça fait une semaine. S'exclama Maria dont cette absence de manifestation faisait beaucoup plus mal qu'elle ne l'aurait voulu.

Dès le lendemain de son arrivé elle avait tout dit à son mère. Elle n'a jamais su vraiment lui mentir, lui parler a des milliers de kilomètres avait facilité les choses pendant des mois mais la regarder en face pour lui mentir lui était insoutenable, elle lui avait tout dit, le pire c'était la réponse de Cynthia.
*Je savais bien que tu me cachais quelque chose, je le sentais. Puis un jour j'ai lu un de ses articles à scandale je vous ai vu et j'ai compris. Mais j'attendais que ce soit toi qui me le dit*
Elle luit avait tout mais absolument tout dit, le mariage, le contrat ainsi que ces termes.

- Et s'il était reparti sans moi? Et si ce qu'il voulait il l'avait trouvé c'est à dire *parfaire encore plus son image* et qu'il soit parti sans moi? Déclara Maria perturbée en suivant sa mère dans la cuisine.

- Ma puce arrête de t'inquiété autant. Le lendemain de ton arrivé tu as vu et lu tout comme moi ce journal dont l'informateur voulait rester secret et qui a relater comment vous étiez tout au long de cette soirée chez ces Vox je crois, et même une photo ou vous étiez enlacez. Je sais que ce n'est qu'une photo mais comme on dit *Les yeux sont les miroirs de l'âme* les yeux de cet homme ne t'était pas indifférent, je te l'assure.

- Ce sont les Lox. Johnny Lox est le mari de Linda.

- Ah la même qui t'a proposé ce soi disant travail à Paris avec ce Xavier.

- Maman ne soit pas aussi dure, je crois qu'elle voulait bien faire. Elle avait dû voir que j'avais besoin d'un bien meilleur travail. Xavier quand à lui n'est pas méchant, il m'a toujours bien traité et n'a jamais eu de gestes déplacés envers moi.

- Et toi tu fais confiance trop rapidement aux gens.

- Tu parles comme si toi tu étais différente!!Lança Maria en riant, puisque toutes les deux elles faisaient confiance trop rapidement aux gens

- Arrête de rire tête brûlée

- Aïe! Mam....Elle fut coupée par la sonnerie du téléphone fixe de la maison dans le salon. Reste, je vais répondre. Annonça Maria.

C'est une toute autre Maria qui revient quelques minutes plus tard.

- Eh bien! Vu ta tronche je m'imagine sans mal l'auteur de cet appel.

- Dois-je maintenant t'appeler mademoiselle Cynthia? N'est-ce pas les jeunes d'aujourd'hui qui s'expriment de la sorte?

- Tu penses? Alors qu'est-ce qu'il t'a dit?

- Il m'a donné rendez-vous dans trois heures. Je commence déjà à paniquer, je ne sais pas comment ça va ce passer.

- Ne sois pas aussi sceptique tout va bien ce passer, comme toutes les autres fois ou vous vous êtes vu. Au pire tu lui fais une crise, tu prends un taxi et tu rentres chez toi.

La jeune femme s'efforça d'être positive, elle avait ce pressentiment que quelque chose allait se produire, cette sensation que rien ne sera plus jamais comme avant pour elle et cette sensation l'habitat même après avoir enfilé sa robe noire et blanche.

- Tu es splendide ma chérie. Commenta Cynthia en entrant dans la chambre de la jeune femme.

- Merci mère.