Mariage sur contrat. (Dans les bras de son altesse T2) Terminée.

Quinze

La jeune femme s'étira, passa ses doigts sur son visage puis s'immobilisa dans le lit en se souvenant de tout ce qui s'est passé la veille dans cette même pièce, ce même lit. Cette sensation de plénitude qui s'était emparé d'elle pour la première fois jusqu'au moment où il avait prononcé ce nom. Da, Darline? Darla? Elle se retourna pour retrouver vide l'espace à côté d'elle. Elle soupira puis ce leva pour aller prendre une douche.

- Ah vous voilà madame Rost, vous avez bien dormi?

- Oui merci Saxo. Vous n'avez pas vu monsi...

- Oh votre mari? Si. Il s'est levé de très tôt, il nous a obliger à parcourir un kilomètre pour faire venir le mécanicien qui est en en train de réparer la voiture, vous n'avez pas à vous en faire, monsieur Rost et moi avions tenu qu'il fut personnellement accompagné avec quelqu'un de confiance. Il est avec mon grand frère Marcus. Je....

- Saxo ça va! calmez-vous. Où est-il?

- Je viens juste de le laissé dans la réception madame.

Elle se dirigea vers la réception après avoir salué Saxo, un petit bout d'homme qui parlait sans arrêt, un vrai moulin. Se dit la jeune femme en riant. La jeune femme se raidit soudain en apercevant son mari dos à elle.

- Xavier. Murmura t-elle en arrivant à sa hauteur.

- Maria. Commença t-il en se retournant vers elle. Un mécanicien est en ce moment même en train d'arranger la voiture. Nous devrions partir.

- Oh vous partez déjà? Mais Marcus n'est pas encore arrivé. J'ai cru comprendre que vous lui aviez donné les clés. C'était pas pour qu'il vienne avec votre voiture? Rétorqua Saxo qui était apparu comme par enchantement.

- N'est ce pas monsieur Rost? Susurra la jeune femme d'une voix lente. Moi j'ai faim.

- J'allais justement vous dire que le petit déjeuner était prêt. Déclara bout de Saxo fièrement. Je suis sûr que vous allez vous régaler. C'est ma femme qui à tout préparé.

- Soit. Céda Xavier en glissant ces mains dans ces poches. Il aurait préféré ce retrouver sur la route, fuyant le regard de cette jeune femme à qui il était sur le point de faire l'amour la veille même au lieu de se retrouver assis autour d'une table pour déjeuner. Il déteste fuir les problèmes, d'habitude il les affrontes, les résouds. Mais exceptionnellement il ne voulait pas faire face à cette situation puisqu'il s'est rendu qu'il ne contrôle plus rien.

Cela fait déjà dix minutes qu'ils sont en train de déjeuner, mais pas une fois la jeune femme n'a relevé la tête pour regarder l'homme qui était assis face à elle.

- C'est délicieux, tout est parfait. Glissa la jeune femme, afin de mettre fin à ce silence pesant.

- Vous avez raison. Affirma l'homme. Maria, je pense qu'on devrait avoir une conversation sur ce qui c'est passé hier soir entre nous. Je... euh... en fait nous.....

- Je vais vous faciliter la tâche. Je sais que ce qu'il c'est passé n'aurait jamais dû avoir lieu. C'était un moment d'égarement de notre part, nous devons juste faire en sorte que cela ne se reproduise plus jamais. Je ne vous en veux pa ni ne vous blâme pas. Depuis le début vous m'avez fait comprendre que je ne vous intéressait en aucun cas. Donc soyez tranquille. C'est déjà tout oublié.

- Maria,ce n'est pa exactement ce que j'allais dire.

- Xavier, s'il-te-plait ne rend pas les choses plus difficiles qu'elles ne le sont déjà. Geignit la jeune femme. Alors c'est Oublier? Demanda la jeune femme en tendant sa main vers son mari.

- Oublier. Répondît le milliardaire en prenant les doigts de son épouse dans sa main.

La jeune femme glissa ses long doigts fin sur sa robe comme pour enlever un pli imaginaire. Elle ne put s'empêcher de repenser a l'attitude plus qu'hostile qu'a Xavier depuis deux jours, depuis le lendemain de cette nuit où ils ont failli faire cette stupide erreur. Il avait été froid, distant tout au long du chemin jusqu'à leur maison depuis, la jeune femme mange seule tous les jours, elle n'a même pas tenté de demander à Maria pourquoi il n'était jamais là car elle savait déjà qu'elle allait lui dire qu'il est sûrement trop occuper à travailler. Il n'était apparu que quelques heures plus tôt pour lui dire de ce préparer pour ce fameux gala.