Mariage sur contrat. (Dans les bras de son altesse T2) Terminée.

Six

Ils viennent tout juste d'arriver et sont séjourné dans l'une des suite de l'un des Leighton hôtel. La jeune femme est tellement anxieuse qu'elle ne put admirer comme il se doit la beauté du lieu.

- Détendez vous, je ne vais pas vous manger. Declara le milliardaire d'un regard froid.

- De toute façon on aurait dû prendre chacun une chambre. Siffla Maria.

- Ils auront tout de suite trouver cela bizarre mademoiselle Rost. Deux personnes qui se marient ne passent pas leurs nuits de noce séparé. s'enquit le milliardaire en retirant son pantalon.

- Vous auriez pu me prévenir que vous alliez vous dévêtir. S'offusqua la jeune femme qui se retourna aussitôt avec les mains sur les yeux.

- Je ne savais pas qu'en plus vous étiez pudique. Je crois que je vais vous faire remplir une liste. S'enquit l'homme avec un rire rauque.

- Parce que cela vous amuse de me mettre hors de moi. Fulmina Maria qui s'est retourné pour lui faire face.

- Mon Dieu, vous voulez que je fasse un arrêt cardiaque. S'écria t-elle en voyant qu'il était pratiquement nu ne portant que son caleçon.

- Hmm, je ne savais pas que j'avais autant de charme. Murmura Xavier qui entre temps s'approcha et glissa ses doigts dans les cheveux longs et soyeux de Maria.

- Bien sûr que vous le savez. Laissez moi tranquille. Quémanda t-elle en essayant de défaire ses cheveux de ses doigts.

- N'enlève jamais de leurs longueurs?

- Je n'ai nullement l'intention de les couper.

- J'aimerais que vous les laisser toujours ainsi, librement sur vos fesses.

- Moi je n'aime pas.

- Moi si.

- Ce sont mes cheveux, pas les votre. Vous n'êtes ni mon père, ni ma mère de ce fait je n'ai aucun ordre à recevoir de vous.

- Je suis votre mari.

- Je vous en prie. Vous et moi savons que ce n'est qu'un jeu. Bonne nuit monsieur.

- Dors bien. Je vais dormir sur le grand canapé.

- Je vous remercie. Répondît la jeune femme touché par sa decision.

Elle prit son téléphone afin de prendre des nouvelles de sa mère. Cette nuit là Maria ne se plongea pas dans les bras de Morphée aussi facilement qu'elle le voulait. Partager entre des milliers de réflexion, des événements qui se sont succédés les uns après les autres.

- A la fin vous n'avez pas de vêtement. Pesta La jeune femme qui venait tout juste d'émerger de son sommeil.

- Désoler mais c'est aussi ma chambre. Répondît l'homme en haussant négligemment ses épaules. En plus je pensais que vous n'alliez jamais vous réveiller. Continua t-il.

- Enfin c'est bien une suite donc il y a bien d'autres pièces. Cracha la jeune femme en ressentant une drôle de sensation au bas de son ventre, sensation qu'elle ne put donner un nom puisqu'elle n'avait jamais ressenti cela avant.

- Vous n'aviez jamais vu un homme nu?

Maria ne put répondre, lui dire que non c'est sûr que cet homme qui prend les femmes et les jette comme bon lui semble se moquera d'elle. La jeune femme glissa son regard sur son torse nu et admira le toison qui s'y logeait, ses muscles saillants que toute femme aimerait embrasser et toucher jusqu'à son ventre plat, signe qu'il fait du sport régulièrement.

Elle continua son inspection en descendant son regard pour regarder ses poils qui dépassait de la serviette qui était noué sur sa hanche fine. Elle remonta son regard pour regarder ses cheveux trempés qui coulait sur ses larges épaules et se mordit les lèvres inférieures sans même s'en rendre compte.

- La vue vous plait? Demanda le milliardaire d'une voix espiègle qui avait vu la jeune femme en pleine admiration de son corps de mâle.

- Oh je vous en prie. Arrêtez de faire la grosse tête. Je vous ai juste regardé, de plus vous n'êtes pas mon genre. Lança Maria qui se leva pour se diriger vers la salle de bain.

- Et quel est votre genre miss Rost? Les jeunes dans les vingtaines avec des lunettes qui sont encore à l'université et qui squatte la maison de leurs parents?

- Et même si c'était le cas? Rétorqua la jeune femme. Est-ce que moi je vous ai demandé avec qui vous vous envoyez en l'air? Non, alors laissez moi tranquille. Somma Maria qui prit la direction de la salle de bain et claqua violemment la porte pour démontrer son ressentiment.

- Je ne pourrais jamais m'entendre avec cet homme. Déclara Maria.

Blessé dans son ego, voilà comment pourrait décrire ce que ressent Xavier en ce moment. La jeune femme aurait pu lui dire n'importe quoi, mais pas cela. Lui dire qu'il n'est pas son type d'homme a réveillé quelque chose en lui. Si Elle n'occupait pas son esprit son corps, son cœur il aurait vonlontiers fait regretter à cette imprudente ce qu'elle lui a dit en la faisant devenir folle de lui, mais il respecte cette femme beaucoup trop, surtout il l'aime beaucoup trop, enfin il pense l'aimer. Il n'a que faire de cette jeune femme qu'il a dû épouser et de son corps, corps qu'il n'a jamais vu puisque depuis qu'ils se connaissent elle ne porte que des vêtements amples.

- Tu as voulu me défier maintenant je t'en ferais mordre les doigts. Décréta Xavier qui s'habilla pour se rendre au gymnase.

Maria examina la douche et la trouva beaucoup trop grande, elle qui est habitué à toujours se satisfaire du minimum. Il y avait un baignoire, une douche et un grand jacuzzi. Elle se dit qu'elle à bien le droit de se relaxer un peu puisque cette nuit elle n'avait pu penser à autre chose qu'à cette folie qu'elle venait de commettre puisque c'était comme ce vendre en échange de l'argent, ce qui est contre les principes que lui a inculqué sa mère. La jeune femme se déshabilla et choisit le jacuzzi puis s'y plongea.

- N'ouvre pas. S'écria Maria quelques minutes plus tard après avoir entendu toquer à la porte.

- Je vous aurais simplement vu nue rien d'autre. Je voulais vous dire que je me rends à la salle de gym. Continua le milliardaire puisqu'il savait que la jeune femme allait répliquer. Dans quelques minutes on apportera le déjeuner. Ensuite préparez vous, quand je reviendrai je vous amènerai visiter la ville.

Maria souffla encore une fois face à l'arrogance de cet homme qui lui parlait comme s'il était à son service, quoique si on réfléchit cette déduction n'est pas fausse. Elle soupira puis se replongea dans son bain pour arrêter même pour une fois de penser à ce muffle.