Le week-end au ski.

Cette soirée s'annonce chaude !

Dans le chapitre précédent...

Je le sentais soudainement déconcentré à cause qu'il étais dans ses pensées, il remarqua seulement que tout le monde étaient stagner juste après la descendre et vu qu'on étaient deux à être éclater au sol pour ce sport, je n'avais pas le code emploi pour lui expliquer comment freiner et vu les autres membres étaient en pleines discussions avec le pro, ce qu'il fait que Pierre fonce droit vers–

Moi... Comme pure hasard.

Pierre : Ben ! Écartes toi, je ne sais pas freiner.
~ Me dit-il en panique.

Benjamin : Freine ! Qu'est-ce que tu fabriques ?
~ Lui répondit-il en étant visiblement étonné et figeait sur place.

Ce qui allait arrivait, arriva...

La suite...
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PDV de Pierre :

Mes skis se prit dans ceux de Benjamin, nos corps s'entrechoquent d'une violence qui nous surpris tout les deux et puis nous perdons l'équilibre. Vu que nous sommes entre deux grandes descendes, nous glissons la deuxième pente ensemble et on roula quelques mètres dans la neige.

On se retrouvent séparés au milieu du processus, il glissa vers une énormément tas de neige juste avant d'arriver dans la forêt et je me retrouve seul à continuer de faire une ligne droite. Une fois stagner, j'arriva difficilement à me relever puis je me précipite temps bien que mal vers lui qui déchausse ses skis.

Pierre : Ben, ça va ?
~ Lui demande ait-je d'un air inquiet.

Le corps de mon brun fut prit de soubresauts et son rire parvint à mes oreilles, je m'accroupis en face de lui en riant à mon tour. Je vit nos amis et notre professeur nous rejoindre, pendant que je me relève et j'aida Benjamin à se relever lui aussi.

Benjamin : J'abandonne le ski, les gars, ce sport ne me convient pas.
~ Dit-il en essayant d'être sérieux puis finit par éclater de rire.

On rit, soulagés qu'il n'ait rien, heureusement qu'il ne s'était pas blessé dans notre collision. Je le prit dans mes bras et le serra fort contre moi puis je lui chuchota.

Pierre : Tu m'as fais peur !
~ Dis-je en cachant ma tête dans son cou, j'aurais dû essayer de l'éviter pour ne pas le percuter.

« On aurai évités cette collisions. » Pense ai-je en culpabilisant.

Notre professeur nous annonce que la séance était terminé, vu notre chute et que nous allons boire un chocolat chaud à l'intérieur.

Je pense que c'était « Plus de peur que de mal. » Comme, on peux dire dans cette expression.

Nous sympathisons et discutons avec le équipe de ce sport incroyable mais inapproprié pour nous visiblement.

Pendant ce temps, je m'assieds à côté de mon ami puis je parlais à Guillaume qui m'expliquait la journée qu'il avait fait avec son bon vieux Fred, je sourit en les imaginant dans le spa entrain de se faire masser pendant que nous étions en randonnée.

Guillaume : Tu me croirait jamais ce que j'ai fait, Pierre !
~ Me dit-il en tapotant ses main d'un air intimidé et son expression du visage rempli de joie.

Je lui sourit amuser de le voir aussi déterminer et heureux même je ne connais pas ce qu'il le rendait si souriant alors je lui réponds.

Pierre : Tu as joué au piano devant de nombreuses personnes dans le rez-de-chaussée de cet hôtel.
~ Lui dis-je en ricanant pour ma réponse qui venait de nul part.