Mission Accomplie [En Correction]

Chapitre 34

[Son recommandé pour tout le chapitre voilà kiss, bonne dégustation mes petits coquelicots.]
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Il s'avança de quelques pas. Et puis encore...Ses pas réduisaient la distance qu'il y avait, il était dangereusement trop proche à mon goût. De là où il était je pouvais déjà sentir son parfum, il commençait à m'envouter. "Comment résister après ça ?" J'analysais la situation..et "oui.. il ne restait plus que 1 mètres entre nous." Tout à coup son corps se colla cotre le mien. Surprise j'arquais les sourcils.

-Qu'est ce que tu fais ? Lui demandai-je avec une voix sûr.
Sa respiration était lente.

- Tes lèvres me manquent. Son ton était tellement doux.

J'expirais fortement du nez pour lui faire comprendre que je me moquais de lui.

-Et bien je suis navrée mais tu ne les toucheras plus. Dis-je presqu'en chuchotant.

-Et si je t'y obliges ?

-Et bien je considérerais ça comme du viol. Dis-je confiante.

-Sauf qu'un viol la victime n'est pas consentante mais toi tu le seras. Son regard posé sur moi il me défit.
La tension augmente. "Bordel j'ai chaud".

- Tu cherches quoi au fond ? Je me rapproche de lui avec assurance, ce qui lui permet d'esquisser un sourire en coin.

-J'ai beau te pousser le plus loin de moi je n'y arrive pas, et j'ai l'impression que mon âme se vide petit à petit sans ta présence. Et même si j'ai peur de recommencer cette bêtise je voudrais essayer avec toi.

Je pouffais me moquant de lui, il reprit :

-Si tu savais comme j'ai envie de toi là maintenant !

Il s'empara de mes lèvres sans que je ne puisse faire quelque chose il me souleva pour faire en sorte que mes jambes viennent entourer sa taille. Ses mains se déposèrent sur mes fesses qu'il tenu avec hargne. Mon dos cogna contre le mur se qui fit tombé un des petits cadres accrochés. Mes fesses frottaient contre son bas du ventre, je sentis son érection contre moi. Sa bouche glissa le long de mon cou, mon corps frissonna à ce geste. "C'est bon bordel !" Une onde désir envahissait mon bas du ventre. Une de ses mains s'immisça sous mon tee-shirt, ses doigts me caressaient et remontaient jusqu'à ma poitrine. Sans que je m'y attendes il sortit sa main de mon tee-shirt et l'arracha d'une traite.

-Je déteste l'effet que tu me procures rien qu'en t'arrachant ce bout de tissu, il aperçu un bout de mon sourire mais se reconcentra dans ce qu'il faisait auparavant. Je sais que j'allais sûrement le regretter, en sachant pertinemment qu'il allait me rejeter le lendemain, mais je ne pouvais m'en empêcher. J'avais envie de lui, comme à chaque fois qu'il me touche. Son regard passa de mes yeux à ma poitrine qui me dévorait des yeux. À ce regard mon corps s'enflamma. Je posa ma main dans ses cheveux et lui tira sauvagement pour que son visage remonte face au mien. Ses lèvres s'étaient recollées aux miennes. Il m'embrassait sauvagement, je lui mordilla la lèvre du bas ce qui lui fit échapper un gémissement. Entre deux baisers je réussis à lui chuchoter :

-Si tu t'arrêtes comme hier, je ferais en sorte de t'enterrer vivant. Ma voix sonnait autant sensuelle que menaçante.

-Je ne suis pas prêt de m'arrêter au point où j'en suis, crois moi.

Ses mains se replacèrent comme au début, elles se posèrent sur mes fesses de façon à me porter. Il mit un coup dans la porte à l'aide de son pied ce qui l'ouvrit. Il me porta jusqu'au lit et me déposa dessus avant de repartir refermer la porte. Il revint vers moi à grands pas, je le tirais par le tee-shirt pour que son corps revienne contre moi. Jamais je n'eus autant de désir pour un homme. Surtout pour "ce" genre d'homme, que tu peux aimer mais détester en deux secondes. Je lui pris le tee-shirt et le remonta jusqu'à ce qu'il soit passé au-dessus de sa tête. J'admirais son torse avec beaucoup d'envie, je pris les devants et le tira pour qu'il tombe sur le lit. Je grimpais alors sur lui de façon à me retrouver à califourchon. Je commençais à l'embrasser en partant de sa bouche, puis descendis dans son cou, j'en profitais pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Mes lèvres se mirent à sucer sa peau. Je fis se mouvement plusieurs fois jusqu'à voir apparaître un début de suçon. Je souries fière de cette prouesse et me reconcentra sur ce que j'étais en train de faire. Mes lèvres à peine humides passèrent le long de son épaule pendant se temps mes mains se baladèrent, une qui tirait légèrement ses cheveux tout ébouriffés et la deuxième qui se contentait de presser lentement le bas de ses côtes.
Je retraçais lentement la forme de son tatouage, celui avec les feuilles de laurier croisées, dessinées en haut de son thorax. À mon geste il frissonna et j'adorais ça. Savoir quelles sensations je lui procurais étaient si plaisante. Après avoir embrassé chaque détails de ce tatouage, ma bouche parsemait une lignée de baisers le long de son torse jusqu'à se que mes lèvres croisèrent le tatouage sur ses côtes. Des colombes en plein vol. Je lui fis un baiser à chaque fois que j'en voyais une. Entre temps je mordillais sa peau à certains endroits à certains, son corps me répondit par un frisson. Sans que je mis attendes il empoigna mes fesses brusquement et me retourna de manière à se que mon dos soit plaqué contre le matelas. Ses mains me frôlèrent les côtes, des centaines de papillons éclataient en ce moment dans mon ventre. Il se mit à embrasser le contour de ma poitrine qui n'était pas caché par le tissu de mon soutien-gorge. Sa main s'installa sur le haut de mon pantalon et il commença à le déboutonner. Il le retira en deux seconde chrono avec l'aide de son autre main. Il ne restait plus que mes sous-vêtements qui servaient à me couvrir. Il écarta mes jambes et fit descendre ma culotte jusqu'à mes chevilles qu'il enleva sans grande difficulté. Il la jeta par terre et ramena sa bouche sur mes cuisses qu'il remontait au fur et à mesure près de mon intimité. Mon corps s'était embrasé. Mon dos se cambra comme un automatisme. Les baisers humides qu'il me déposait étaient si bons.

-Al..ex, dis-je à travers un gémissement. Cette sensation était si divine, je ne voulais plus qu'il s'arrête.
Sa langue passa entre mes cuisses longeant les côtés quand je sentis sa présence sur mon intimité. Il plaça ses main autour de mes cuisses comme s'il voulait s'accrocher. Je sentis sa bouche donner des baisers mouillés au-dessus de mon clitoris. Sa bouche m'embrassait avec tant d'envie. Je baissais la tête et aperçu que son regard brûlant de désir était planté dans les miens.