Partie 09

87 3 0
                                    

Brice venait de me traiter de pute, ce n’était pas lui que j’ai surpris à la sortie d’un hôtel avec une femme il y a quelques jours ? J’ai senti une énorme bouffée de rage m’envahir, mes larmes se sont séchées toutes seules.

Ainsi il me prenait pour une pute ? Alors je vais lui montrer c’est quoi une pute. Je me suis levée, direction la chambre. J’ai pris mes clés, mon sac et je claquai violemment la porte du salon derrière moi direction l’immeuble de Kemal.

Arrivée à l’immeuble, j’ai jeté un coup d’œil rapide sur la fenêtre du bureau de Kemal. Les lumières étaient allumés, donc il est de retour. Je suis passé en flèche devant les vigiles sans un mot, je pousse la porte d’entrée et je montais les escaliers comme une folle.

Je me suis dirigée tout droit vers son Bureau et d’un coup sec, je poussai la porte. Kemal a sursauté de peur. Avant qu’il eu le temps d’être surpris, j’étais collé contre lui. Mon corps dégageait une chaleur pas possible. Je l’embrassais comme si je puisais mon souffle dans sa bouche.

Kemal : Chérie, doucement, qu’est-ce que tu fais ?? Qu’est ce que tu as ?

Je posai un doigt sur ses lèvres, l’ordre de faire moins de bruit, je le laisse pas le temps de parle, je le saisie par sa cravate en l’entrainant dans les toilettes. C’est là que je l’ai plaqué si fort contre le mur et je commençais à lui défaire de ses Habits.

Il m’empoigna fermement et me retournant, il me colla contre le levier des toilettes, face au miroir. Il était derrière moi et nos regards se trouvèrent dans le miroir.

Moi : Est-ce que je suis une pute ?

Kemal entre deux gémissements me répondait que non, que j’étais tout sauf une pute.

Moi : Je suis ta pute ce soir, fait moi tout ce que tu voudras.

Pafff ! L'IRRÉPARABLE s'est reproduire en une deuxième fois.

A chaque fois qu’il me cognait sa me faisait sortir ces mots de Brice de ma tête. Un envi de pleuré me prend à la gorge, je m’éclatai en sanglot et mes larmes commençaient a coulées. Mes cheveux qui retombaient sur mon visage étaient mouillés.

A un moment donné je ne sentais plus Kemal en moi. Je ne l’entendais plus gémir, j’étais comme anesthésié. Je sanglotais, mes larmes sortaient en abondance, il continua à me chevaucher jusqu'à ce que je revienne a moi.

Je serrais les jambes, il m’a un peu tiré vers lui, posé une main sur mon cou, tirant ma tête sur le côté. Je lui ai offert ma bouche visage couvert de larmes. Il me regardait droit dans les yeux, j’avais du mal à le voir.

Il croyait que je pleurais de plaisir mais j’avais mal au cœur, mal de tout ce que Brice m’avait balancé au visage. Je me dégoutais moi-même et plus rien ne me faisait plaisir. J’étais là comme une bois morte dans sous les assauts de Kemal.

Kemal : Quelque chose ne va pas ? Je ne t’ai pas senti prendre du plaisir comme la dernière fois.

Moi : Oublie

Kemal : Tu n’as pas aimé ?

Moi : J’ai aimé plus que tout, je te dis d’oublier.

Kemal : Melissa est-ce que tu as envi d’en parlé ??

Moi : Non

Tout doucement il sorti quelque chose de sa poche, MON STRING !!! Vous vous rappeler ? Je l’avais cherché en vain la dernière fois. C’est comme ça que les hommes sont ? Je retrouve le souri, c’est donc lui qui avait kidnappé mon String.

Moi : Pervers, qu’est ce que tu as fais de mon dessous depuis ?

Kemal : On a passé des nuits ensemble à faire des choses à ton absence.

Le PDG au charme IrrésistibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant