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« Just the two of us »

Parlerme, Sicile, Italie15h32, Conca d'Oro, chez Mamie Gigi

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Parlerme, Sicile, Italie
15h32, Conca d'Oro, chez Mamie Gigi

Alessandro

- « Regarde Ale, regarde ! »

Je souris en la voyant caresser et embrasser les petits veaux. On a passé des heures à la ferme avant d'aller à la clairière. Et honnêtement j'aurais pu rester là toute une vie.
Paisible, calme et agréable. Un pur bonheur.

- « Et ce nuage la ? Moi je dis hm... » Commence t-elle avant de froncer ses sourcils pour se concentrer « Que c'est un bonhomme avec un chapeau qui fume une pipe ! »

- « Je sais que t'es myope mais je ne pensais pas que c'était aussi grave Séré. » elle me tape l'épaule en rigolant « Mais la c'est un policier avec son pistolet qui tire sur un éléphant. »

Elle explose de rire et je ne peux m'empêcher de rire à mon tour. Dire n'importe quoi pour la faire rire voilà où je suis tombé pour cette fille. Quoique je ferais tout pour la faire rire ou sourire, elle le mérite largement.

- « Arrête de dire n'importe quoi, le nuage il est tout petit comment tu fais rentrer un éléphant là dedans toi ? » elle dit en plissant ses yeux vers moi.

- « Et bah tu l'imagines ma Séréna. »

- « Pff. »

- « C'est moi que tu pff ? »

- « Oui, oui c'est bien toi que je pff. »

- « Tu ne vas pas assumer cara. »

Séréna est la personne la plus chatouilleuse que je connaisse, alors je faufile mes doigts entre ses côtes, son ventre, son cou et ses aisselles. Elle explose de rire en se tortillant dans tous les sens, elle essaie de m'échapper mais je la tiens fermement et continue de la torturer.

- « Santo cielo Sandro, smettila !!! »
*Pour l'amour de Dieu arrête

- « Alors c'est toujours moi que tu pff hein ? » Poursuis-je en ignorant ses supplices.

- « Scusa, scusa, scusa amore ! » Dit-elle en étouffant un rire.

Je souris et retire mes mains de ses côtes, elle essaie de reprendre une respiration normale. Et je ne peux m'empêcher de rire face à sa tête.

- « Tu es un monstre ! » Me dit-elle en me regardant de travers.

- « Je trouve que ma punition a été trop douce, tu deviens trop insolente bambina. »

- « Hey ! Qui est-ce que tu appelles bambina ragazzo ? »

- « Tu perché ? Si ça te pose un problème on règle ça en guillis. »

Amours de jeunesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant