Ensemble jusqu'à la délivrance| Tome 2 :

Chapitre 6 : Retrouvailles

Pdv Extérieur :

Tous le monde court dans les bois où se trouve les armes enterrées. Carl jette un œil à toute les personnes présente mais la seule personne qu'il cherche n'est pas là.

Carl : Papa, où est grande sœur ?

Rick : Elle était là y a 2 minutes !

Daryl : Elle m'a dit qu'elle allait libéré les autres dans les autres wagon. Elle quelle allait nous rejoindre.

Rick : Putain c'est pas vrai !

Abraham : Non de dieux pourquoi on traîne encore ici !?

Glenn : Une personne de notre groupe va bientôt nous rejoindre.

Abraham souffle et part se mettre à l'écart loin des autres.

Pdv Kira :

J'ai réussi à les libéré. En ce moment je suis dans la forêt entrain de courir pour rejoindre ma famille. Je suis les traces de pas et les aperçois enfin. Ils sont tous là... Mon père et Carl font les 100 pas pendant que les autres regardes partout autour d'eux.

Daryl : Elle ne devrait pas tarder.

Rick : Bordel... Ou elle est ?

Je sors derrière l'arbre où je m'étais planqué.

Moi : Je suis là.

Carl : Kira !

Il me court dans les bras tout comme mon père. Je les embrasse tous les deux avant d'aller voir mon couple préféré. Glenn me saute littéralement dans les bras.

Glenn : Tu m'as manqué ma petite ninja.

Moi : Toi aussi mon p'tit chinois.

Maggie vient me prendre à son tour dans ses bras en laissant échapper quelques larmes.

Moi : Je suis... je suis tellement désolé..

Maggie : C'est n'est pas de ta faute... il t'aimait tellement si tu savais.

On se détache l'une de l'autre, j'essuie très rapidement les quelques larmes qui s'étaient échappées.
Je tourne ma tête et scrute les environs, il y a des têtes que je n'ai jamais vu. Je tombe sur Carol a gauche de Daryl.

Moi : Carol ?

Elle pleure et me prend dans ses bras, Daryl me prend également dans ses bras. Il se rapproche de mon oreille et me chuchote :

Daryl : Plus jamais tu me fais ça.

Il m'embrasse dans le cou sans que personne ne remarque et se détache de moi. Carl revient près de moi à grand pas.

Carl : J'ai cru que tu ne viendrais jamais.

Moi : Carl tu sais très bien que on...

??? : On revient toujours quoiqu'il arrive...

Cette voix... je la connais que trop bien. C'est lui... Je tourne la tête vers la gauche et je le vois. Lui, avec sa grande taille et ses cheveux roux. Il est là, je l'es retrouvé.
Il fait tomber son flingue par terre dans les feuilles.