SIENNA | tome 1

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⚠️TW: viol ( vous pouvez passez se chapitre si vous n'êtes pas à l'aise avec )

Bonne lecture 🐉🤍

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FLASHBACK
1 an auparavant

Ma journée est enfin terminée, j'avais l'impression que jamais elle ne s'arrêterait.

Il est 19h quand je sors des cours et je décide de prévenir mon copain que je viens chez lui ce soir.

Je suis avec lui depuis un peu plus de six mois mais je commence à le trouver étrange.

Ses actions envers moi sont bizarres, ses regards aussi.

Kora aussi me la fait remarquer alors tout est assez confus dans ma tête.

Je ne sais pas trop quoi penser.

Après une dizaine de minute de marche dans le noir j'arrive enfin devant chez Vincent.

Je toque.

Aucune réponse.

Pas un bruit, pas une lumière allumée.

Rien.

Je toque une nouvelle fois et cette fois j'entends du bruit derrière la porte mais encore une fois personne ne vient ouvrir.

Alors que je commence à me retourner pour partir la porte d'entrée s'ouvre à une vitesse folle.

Un sourire joyeux prend place sur mes lèvres quand je le vois.

Vincent.

Contrairement à moi je le trouve particulièrement tendu ce soir.

Je ne comprends pas mais pense que c'est les cours qui doivent le mettre sous pression.

- Ah ma Sienna, me dit-il en m'embrassant, j'ai failli attendre j'étais impatient que tu arrive je veux te montrer un truc.

Jamais je ne l'ai vue aussi stresser, je ne comprends pas pourquoi il est dans cet état.

- Bonsoir Vincent mais ça va tu as l'air tendu ? Tout va bien ?

- Oui ne t'en fais pas trésor tout va bien bon tu viens ?

Je le trouve très tendu, d'habitude il n'est pas comme ça.

C'est quelqu'un de naturellement stressé mais il n'a jamais été stressé à ce point.

- Tu vas adorer trésor, ajoute-t-il avec un sourire en coin qui est tout sauf rassurant.

Un sourire digne d'un film d'horreur vous donnant instantanément froid dans le dos.

- Si tu le dis.

J'essaye de me rassurer quant à son comportement mais plus je réfléchis plus une boule se forme dans mon ventre.

Mon esprit me hurle de partir, de prendre mes jambes à mon cou mais j'en fais abstraction.