j'étais une nouvelle fois dans ma chambre, cette journée, c'était la journée libre, j'avais eu des nouvelles de onze, elle est toujours à l'infirmerie mais elle devrait bientôt revenir. Pour la journée libre, je ne voulais pas sortir de ma chambre, je m'installe sur mon siège entrain de dessiner. après quelques minutes, je regarda l'horloge de ma chambre, il était 12h15, je regarda mon dessin avant de le déchirer. je soupira, puis, des personnes toquer à ma porte. je me mis contre la porte, j'avais un peu peur, c'était la première fois que cela arriver.
- trois? Ouvre s'il-te-plaît, dis la voix derrière la porte.
c'était la voix de vingt, que se passait-il? j'ouvris la porte et le regarda, papa et les enfants était derrière lui. je recula d'un pas.
- viens. dit papa.
je sorti de ma chambre, vingt referma la porte et je me mis derrière tout le monde. on marchait jusqu'à une salle, arriver la bas, on s'aligna tous contre le mur. papa nous fixez, quelqu'un à dû faire quelque chose, quelque chose d'horrible pour que papa soit autant en colère.
- vous tous connaissez les règles, pas vrai? dit papa.
- oui papa.
- comme vous le voyez, votre soeur onze n'est pas là, elle est à l'infirmerie. vous savez pourquoi? Car elle a eu une commotion, et comme vous le savez, ce genre de blessures ne viennent pas seul. est-ce que quelqu'un aura le courage de me dire ce qu'il c'est passer?
- papa, vous savez, onze est, maladroite et bête. dit deux en ricanant avec les autres.
- trois, un pas en avant.
je les regarda, les poings serrer, j'avance d'un pas.
- trois, comment deux parle de onze?
- il parle mal d'elle, répète qu'elle est faible.
- bien, repart à ta place.
- tu es une menteuse! cria deux.
je le regarda, puis regarda vingt qui fusilla du regard deux, celui-ci arrêta de parler.
- deux, avance d'un pas.
deux avança d'un pas, et papa s'approcha de lui.
- tu crois, que par-ce-que tu es le plus grand que tu ne dois pas suivre les règles?
- non papa, papa, je n'ai rien fait!
- tu crois, que les règles ne s'oppose pas pour toi?
- papa ce sont des menteuse, c'est onze qui vous a dit sa?! s'écria deux.
- c'est toi ou moi qui pose les questions? Mettez lui le collier.
un homme lui mit le collier, papa enleva sa veste et la donna à l'homme. il prit la télécommande et regarda deux.
- dis moi la vérité.
- c'est pas moi papa!
papa fit tourner le bouton de la télécommande avant de cliquer sur le bouton, cela déclenche une énorme douleur pour deux, il tomba par terre tellement la douleur était horrible. malgré moi, j'avais de la pitié pour lui, et cela me faisait peur. peur de ce qu'ils pourraient faire d'autre. je regarde vingt, lui, était plus que choquer. c'est comme si, sa lui était arriver, et que c'est mauvais souvenirs revenait en tête.
- papa, je t'en supplie stop ! lui crais-je.
il me regarda, et sans même le savoir, les larmes me montait.
- je t'en prie!
il stoppa le collier, s'abaissa devant deux et lui retira le collier, il se leva et nous regarda tous, un par un.
- c'est ce qu'il vous arrivera si vous décidez d'enfreindre les règles.
je le regarda un instant avant de regarder vingt, lui, avait les yeux grands ouvert, fixant le sol. papa regarda vingt.
- ramène les dans la salle arc-en-ciel.
vingt, leva la tête, reprenant une expression impassible, il nous demanda de le suivre et on le suivit tous, tous à part deux, qui est encore au sol, évanoui. Arriver à la salle arc-en-ciel, je pris une sorte de toupie avant de m'asseoir dans un coin. je me concentre et fait tourner la toupie, je saigne légèrement du nez. et puis, il y a une douleur immense qui me vient à la tête, la toupie tombe contre le sol. je mis ma main sur ma tête, je soupire et comptais reprendre la toupie mais vingt la pris avant moi. il avait un genoux posait contre le sol, ces yeux bleu me regardait =, puis il me tendis la toupie, un sourire gravé au lèvres. je repris le jeton de ces mains.
- merci, je pourrais te poser une question ?
- oui, sa dépend, je ne suis pas sur de pouvoir te répondre.
- comment tu t'appelles?
- je n'ai pas de prénom, appelle moi comme tu le souhaites.
- 20, je vais t'appeler 20.
il lâcha un léger sourire et je fis de même, il se releva et je me leva à mon tour.
- je peux voir onze?
- non, j'en suis navré.
je baissa la tête, je n'avais pas d'ami mise à part elle, je me sens seule, même si c'est temps si, 20 me tient compagnie.
- on peut jouer au échec alors?
il hocha la tête et alla s'asseoir à la table ou régner le jeu, je m'assis en face de lui.
- je commence !
je pris mon pions et l'avança d'une casse. il prit le siens et fis de même.
- est-ce que je peux te dire un secret ?
je le regarda un instant avant d'arquer un sourcil.
- oui?
- essaie de rester impassible quand je parle d'accord? avance ton pion si tu as compris.
je pris mon pions et l'avança d'une casse tout en regardant 20.
- tu sais pourquoi onze à était attaquer? avance ton pion qui est tout à gauche pour dire non, avance celui de droite pour dire oui.
Je pris le pion de droite et le fis avancer.
- il n'aime pas onze, il dit qu'elle est inutile, papa la punie, il était en colère.
vingt avança son pion.
- non, il était en colère car de base tu devais être avec onze, vous auriez du vous faire attaquer vous deux.
je fronça les sourcils et fit avançait mon pion.
- non, papa m'a dit qu'il ne voulait que notre bien.
il avança son pion tout en prenant le miens.
- papa ne dit pas toujours la vérité.
je me leva, posa violement mes mains sur la table est regarda vingt. lui aussi me regarder, mais il était calme.
- non, papa ne ment jamais!
- bien-sur que je ne mens jamais. dis papa en s'avançant vers nous.
vingt baissa la tête et fit avançait son pion.
- échec et mat.
- lève toi et vient. ordonna papa à vingt.
il se leva, peut-être, que cette fois il était vraiment en colère.
- va dans ta chambre trois. dit papa.
je regarda le sol et partie en courant dans ma chambre. peut-être que je venais de faire une bêtise, une grosse bêtise.
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voici le chapitre deux, en espérant qu'il vous a plu! à bientôt pour le troisième chapitre :))
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stranger things saison 4 (001 x reader)
Fanfic3, est une jeune fille qui a vécu sa majeur parti d'enfance dans le laboratoire avec ces autres "frères" et "soeur", elle ne prêtait jamais attention au personnes qui travailler la bas, mais un lui attira son intention, 001, elle ne connaissait pas...