stranger things saison 4 (001 x reader)

Chapitre 7

deux jours était passer après la mort de deux, papa, nous a finalement tous puni, par peur qu'il y est d'autre mort, nous sommes tous enfermer dans nos chambre pendant une duré inconnue. quatre est revenue à nos côté, et nous avons eu des nouvelle règles. Nous avons une demie heure de temps libre dans la salle arc-en-ciel et une heure d'entrainement chaque jours. Je n'avais plus eu contact avec vingt, papa nous a aussi interdit de parler au personnel. il pense, qu'on pourrait faire alliance avec eux. Mais, avec vingt, nous n'avons toujours pas trouver de véritable plan. il me répète qu'il va essayer de faire comme avec onze, mais refaire deux fois la même chose n'est pas dangereux ? Je n'arrive plus à bien dormir, j'entends les cries de vingt, et je vois le corp de deux. Pourtant, je ne voulais pas vraiment le tuer, j'étais juste en colère. Mais la colère à fini par prendre le dessus. je m'en veux, terriblement de lui avoir enlever la vie. Dès que je met un pied dans la salle arc-en-ciel, tout le monde me regarde, comme si j'étais un monstre d'avoir dit que quatre l'avait tuer. Peut-être qu'ils savent eux aussi la vérité, et je l'avoue, je commence à avoir peur de la vérité. je regarda l'horloge, les secondes passait, encore et encore, bientôt sera l'heure d'aller à la salle arc-en-ciel. Et à ce moment il faudra que je parle à vingt, car on doit s'en aller. Pendant c'est deux jours, j'ai beaucoup réfléchis, énormément. Vingt, il doit bien avoir un nom, il était là par pur plaisirs? Je ne pense pas, car avec tout ce qu'il lui arrive. Alors, il n'avait pas le choix ? Peut-être qu'il est comme moi, comme les autres. A vrai dire, il m'inspire un peu. Il reste debout malgré tout. Peut-être que lui aussi est en colère contre quelqu'un, ou quelques choses, et c'est surement grâce à cette haine qu'il se bat chaque jours, comme 001, peut-être devrais-je l'appeler comme ça maintenant ? et puis, réfléchir sur un prénom est une perte de temps trois ! réfléchis plutôt à comment sortir d'ici. Sortir, sortir, sortir! je me laisse tomber sur mon lit, et si il n'y avait plus de sorti ? et si, on restait bloquer à tout jamais ? Jusqu'à ce qu'on meurt tous ? Non, trois, tu vas t'en sortir, laisse pas tomber aussi facilement, si onze m'attends, alors je viendrais. 15h15, c'est l'heure d'aller à la salle arc-en-ciel, je me lève de mon lit et alla donc à cette salle. En rentrant à l'intérieur, je m'assis directement sur la table blanche ou était installer le jeux de dame. On parlait surtout en jouant, j'aile bien ce jeux, même si à chaque partie je perd. 001 ou 020, je ne sais pas encore comment l'appeler, je verrais bien. Il rentra dans la salle et viens s'installait en face de moi. il prit son pion et le fit avancer, je fis de même.

- trois, je vais t'expliquer le plan d'accord ? 

- d'accord. 

Il avança son pion. 

- tout d'abord, tu iras voir une personne qui travail ici, je ne serais pas là, tu iras le voir et lui diras que tu te sens pas bien, invente un bon mensonge. Il ira forcement voir l'infirmière. a la première intersection, coupe vers la droite, ne le suis plus. avance, jusqu'à ce que tu arrives devant une porte, on ne peut l'ouvrir qu'avec une carte, je te la donnerai. Il  y aura des escaliers, descends les, je serais  en bas à t'attendre, d'accord ? 

- d'accord. 

Tout le long de son récit, nous avons jouer, et je n'avais plus de pions, je leva la tête pour le regarder. 

- tu as perdu. 

- oui, encore, je trouverais un jeux ou je gagnerai. 

Il mit sa main dans sa poche et y sorti quelque chose, il mit sa main sous la table et je mis aussi la mienne. Je toucha légèrement sa main, il me passa une carte, celle qui devait ouvrir la porte je suppose. je la mis dans ma chaussette.

- prépare toi, physiquement et mentalement trois. 

- oui, tu peux me faire confiance. 

- si tout ce passe bien, cette nuit, sera ta dernière nuit ici. 

- je ferai tout mon possible pour réussir, je te le promets. 

Papa rentra par la suite dans la salle, tout le monde se lève et on fit de files autour de papa. 

- bonjour les enfants, vous allez bien aujourd'hui ?

- oui papa. 

- bien, neuf, ouvre la porte. 

neuf ouvrit la porte, je pris une grande inspiration et sorti de la salle arc-en-ciel avec mes frères et soeur. On arrive dans la salle d'exercice, des ampoules était mise en sorte à faire un cercle. On se mit contre le mur et papa se mit devant nous. 

- l'exercice est simple, vous devez allumer une ampoule, et puis allumer les autres, si vous réussissez, vous aurez un bonbon. Quelqu'un veut commencer ? 

tout le monde levait la main, en répétant "moi, moi" encore et encore, deux se serait porter volontaire, mais il n'est plus là désormais. je regardais tout le monde, puis, papa posa le regard sur moi. 

- trois, tu commences. 

je soupire, il m'énerve, toujours moi. Je m'approche et m'assis devant les nombreuse ampoule. Un homme vînt me mettre le bonnet relier à des files sur ma tête. je me concentre, et réussi à allumer une ampoule, j'essaie de faire déplacer la lumière, mais cela m'est impossible. colère. sa m'énerve de pas réussir, concentre toi trois. quelque chose qui te met en colère. allait trois. mais au lieu de faire déplacer la lumière, l'ampoule éclate, mon nez saigne, et les autres rigolaient.

- retourne à ta place trois. 

je me lève et retourna à ma place, tout le monde finit par passer après que l'ampoule soit changer. tout le monde avait réussi, sauf moi. Même le plus petit avait réussi, mais pas moi. après ça, nous retournons dans nos chambres, je me couche sur mon lit. dort trois, demain sera ta dernière journée, cette nuit sera ta dernière nuit ici. Demain, je reverrais peut-être onze, ou peut-être que sa prendre un peu de temps. Mais je la reverrai, et c'est ce qui compte. Et après ça, je poserai toute les questions qui me trotte en tête, sans avoir peur d'être surveiller. j'aurai, une vie normale, oui, je réussirais à partir avec lui, on réussira, et on aura une vie normal, ou je n'aurais pas de pouvoir, ou tout se passera bien, ou je ne reverrais plus papa. Et c'est avec ces pensées, que je m'endormi, surement pour une dernière nuit ici. Une dernière nuit dans cette prison.