Aisha - Mon mariage avec cet homme [ TERMINÉE ]

chapitre 10

Docteur : vous devriez essaye de moins bougés, reposés vous c'est la meilleur solution pour éviter toute douleurs souris.

- merci

Docteur : de rien c'est mon travail souris et sort

Amy : pas mal le médecin hyn

- ouais

Amy : une petite doublette ?

- avec plaisir.

Hakim : me prenez pas pour un con aussi, j'ai compris je vais demander qu'ils te mettent une meuf.

- rien à foutre si j'ai envie de me le faire je me le fait.

Amy : bien parlé ma vie

Hakim : tu va rien faire du tout, rire nerveux

- tu n'as eut aucun mal à te taper ma pote, pourquoi j'aurais dû mal à me tapé mon médecin ?

Hakim : parce que tu es mariée.

Amy et moi on se lance un regard avant de partir dans un fou rire incontrôlable. Le mec est audacieux quand même hyn.

Hakim : continuer à rigoler seulement.

- il nous menacent rigole

Amy : choqué maintenant rigoler c'est péché ?

- rigole

~Pdv Hakim ~

Les deux folle étaient morte de rire, elle commençaient à se calmer, et Amy posa une question à laquelle je n'avais pas pensé.

Amy : ils t'ont fais quoi ?

Aisha arrêta de rire et tourna sa tête vers la porte.

Aisha : rien de ouf

Amy : fou toi de ma gueule aussi non ? Meuf tu es assise sur un lit d'hôpital.

Aisha : j'ai vu ça t'inquiète pas.

Amy : tu mens.

Aisha : ils me frappaient à chaque fois que je parlais.

A cause de moi.

Amy : c'est pas tout il y a encore quelque chose.

Aisha : Amy...

Amy : c'est bon je te laisse tu m'en parlera un jour.

Un sentiment de culpabilité s'empara de moi soudainement. Je me sentais énormément coupable.

- ils t'ont fais quoi ?

Elle se retourna vers moi avant de détourner le regard.

- ils t'ont fais quoi ? deuxième fois.

Toujours rien de sa part même pas un regard.

- rire nerveux

Amy : laisse la tranquille-

- ILS T'ONT FAIT QUOI TA RACE ?

Mon changement de ton leur fit sursauté.

Amy : c'est pas en criant qu'elle va répondre. Elle en parlera quand elle l'aura décidé.

Aisha, elle était toujours silencieuse mais cette fois ci son regard était encré dans le mien, toujours aucun mot ni aucune larmes.

Ça en disait long...

Je reprit un bon souffle, avant de sortir.

~Pdv Aisha ~

Quelques instant plus tard Amy aussi partie, elle devait reprendre son travail car elle était venue me voir pendant sa pause.

J'étais seule dans chambre avec ces souvenirs et images noirs. Les larmes commençaient à montées.

Merde.

J'essayais de penser à autre choses pour éviter qu'elles sortent.

Ma porte s'ouvra sur Hakim, qui avait l'air beaucoup plus détendue que tout à l'heure. Il s'asseya à sa place habituelle et posa son regard sur son téléphone.

Un traumatisme en plus ne me fera pas de mal me suis-je dis, car cette faiblesse devient au fil du temps une force, mais je doute que celle la puisse me rendre forte.

Mais des fois je me pose ces question : pourquoi tout ça m'arrive ? Qu'ai-je fais pour mériter cela ? Pourquoi moi tout simplement ?

Des questions sans réponses qui me fatiguaient l'esprit.

Je n'ai certes pas de réponses à ces question mais j'ai une solution, quelque chose que je n'ai pas faites depuis belle lurette.

Pleuré.

J'appelais donc Malick.

Conversations avec Le M💉:

Malick : allô ?

Moi : oui tu es où ?

Malick : je viens de sortir j'arrive

Moi : hmm d'accord

Malick : qu'est-ce qu'il y a ?

Moi : juste viens, bisou

Il arrive quelques minutes plus tard assez nerveux.

Malick : qu'est-ce qu'il y a ?

Je tourna mon regard vers Hakim , je pense qu'il a compris.

Malick : Hakim tu peux nous laisser seul s'il te plaît ?

Hakim : azy khoya et sort

Il s'assoit sur le rebord du lit en me tenant la main.

Malick : qu'est-ce qu'il t'arrive ?

- j'en ai marre Malick, j'en peut plus.

il me regarda avec peine avant de me prendre dans ses bras.

- je te jure j'essaye de me dire que ça va pas passer mais ça ne passe pas j'y arrive plus.

Malick : pleure Aisha, pleure.

Je laissa enfin couler les larmes qui s'accumulaient dans mes yeux.

- il n'y a rien qui va dans ma vie putain, j'ai l'impression que tout le monde est contre moi.

Malick : dit pas ça

- la chose qui est censé être mon père ne m'aime pas, la personne qui arrivait combler se manque paternelle est mort, l'une des personnes que je considérait comme ma pote me fais des coups de pute, je suis mariée à un putain de mec louche à cause duquel j'ai fallit mourir, j'en ai marre putain.

Malick: je suis la.

- toi aussi tu finira par partir, toi même tu le sais.

Malick : ...

- je vais finir ma vie seul avec mes manuels sur le fonctionnement du corps humain rigole

Malick : tu es devenu folle rigole.

Il essayait de me rassurer, en me disant que tout allait passer et qu'un jour j'allais rigolé des malheurs qu'ils m'arrivent aujourd'hui...