◾TOKYO R◾Peyan X Reader 🤜🤛

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-         Encore cette foutue racaille

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- Encore cette foutue racaille... grogna Yosuda, de mauvais poil.

- Hm ? Ah, ouais. Petain ?

La brunette explosa de rire et manqua de coudre son doigt à la place du bout de tissu.

- Peyan, T/P, Peyan. Mais je crois qu'en vrai, c'est Hayashi...

- D'accord. Et donc, il t'a fait quoi aujourd'hui ?

La c/c ajusta le versent de la chemise blanche et le passa sous ses doigts fins pour en regarder le résultat.

Elle était satisfaite. Alors, elle se laissa la permission d'observer la dites racaille, parce qu'elle se plaisait à le faire tout comme Peyan lui plaisait depuis quelques mois déjà

- OI, TAKA, GROUILLE. ON VA ÊTRE EN RETARD !

Yosuda, la meilleure amie de T/P ne prit pas la peine de lui répondre. Elle préféra se lever en faisant grincer sa chaise, et T/P comme Mitsuya, leur chef, savait ce que ça voulait dire.

Aussi, elle se leva, d'un geste las puis suivit sa camarade pour lui attraper la manche de son pull, évitant son regard et celui des deux garçons.

- Yo-chan, ne t'énerve pas s'il te plaît... supplia-t-elle tout bas.

- ... Toi, siffla Yosuda presque en chuchotant, obéissant à son amie. Je t'ai déjà dis de ne pas venir ici.

- E-ET QU'EST-CE QUE TU VAS ME FAIRE ?!

- Chut, moins fort, Pey'. T/P a mal au crâne, attends moi dehors. Je viens dans cinq minutes, ajouta Mitsuya avant de décoiffer la concernée.

Le brun au visage effrayant laissa ses yeux sombres balayer la salle pour les laisser tomber sur la concernée. Elle était dans la classe de l'argenté, discrète, très réservée. Pour dire, il ne savait pas s'il avait déjà eu l'occasion d'observer ses prunelles, car elle ne levait presque jamais la tête et sa voix était toujours dix décibels au-dessous de celle des autres.

Peyan la trouvait mignonne mais diablement agaçante d'impolitesse.

Aussi, quand il eut aperçu sa silhouette dans une ruelle sombre à la nuit tombée, il avait hésité.

Enfin, jusqu'à ce qu'elle s'écroule au sol, les semelles sales et bousillés de pauvres types écrasées sur sa tête et sur son poitrail.

Mais elle ne criait pas, elle ne suppliait pas. Elle subissait, et c'est ce qui avait décidé le garçon à agir.

- VOUS CROYEZ FAIRE QUOI, LES P'TITES BITES ? Rugissait-il de sa voix glaçante.

- Qu'est-ce tu veux, branleur ?

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