Chapitre 18 Le pass sanitaire

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-Ben explique toi alors! Déclara mon père

-Je dis juste qu'à son âge elle ne devrait pas aller au cinéma toute seule avec son copain c'est tout.

Mon père énervé préféra partir, je ne savais plus si je pouvais y aller alors je cours pour rattraper mon père:

-Je peux y aller du coup?

-Oui vas-y, mais tu me tiens au courant et tu rentres dès que c'est fini, ok?

-Oui promis merci.

J'étais soulager parce qu'à ce moment là Titouan devait être sur la route et je me voyais mal l'appeler et tout annuler à la dernière minute. Je me préparais vite fais parce que je devais avoir bien vingt minutes de arche et si je ne me dépêchais pas j'allais être en retard. Quand je fus enfin en dehors de la maison j'allais faire a première sortie sans mes parents et surtout ma première sortie avec lui. Je sentais le stress monter en moi sans vraiment en connaître la raison, j'étais heureuse et cela faisais très longtemps que je ne l'avais pas été ainsi. J'étais tellement presser de le retrouver que je voulu l'appeler pour lui dire que  j'étais sur la route et pour savoir dans combien de temps i allait arriver.

BIP BIP BIP LA PERSNNE QUE VOUS ESSAYER DE JOINDRE N4EST PAS DISPONIBLE POUR LE MOMENT VEUILLEZ LAISSER UN MESSAGE APR7S LE BIP SONNORE

Pourquoi il ne répondait pas je commençais à stresser et mille questions me passèrent par la tête -et si il ne venait pas -et i il lui été arriver quelques chose sur la route -et si il ne voulait plus me voir. 

La sonnerie de mon téléphone me sortit de mes pensées négative 

A un message

-Je peux pas désoler 

Mon coeur battait la chamade je ne me voyais as rentrer comme ça chez moi cela ferait trop plaisir à ma mamie

-Tu peux as quoi? Lui répondis-je

-Je peux pas répondre, je suis en voiture. Me dit-il

A j'ai eu trop peur, de devoir tout annuler après ce qu'il c'était passer chez moi que je pisse y aller. Sur le chemin j'appelais Eva je lui avais promis de a tenir au courant du déroulement de cette petite sortie, elle était pour moi un peu comme un modèle à suivre elle était devenue une amie qui comptait énormément pour moi, on est devenue tout de suite de très bonne amies et quand nous n'étions pas ensemble nous étions au téléphone ou en train de nous écrire des messages. Durant cette conversation je compris que je comptais beaucoup plus pour elle que ce que je pensais nous étions un peu comme des sœur quelques mots qu'elle me dicta me touchèrent au plus profond de mon coeur. Elle y était rentré malgré la difficulté de casser la coquille que je m'étais formé au fur et à mesure de ma vie et des obstacles que j'ai rencontré avant mon arrivé dans ce collège. J'étais enfin arrivée devant le cinéma et je me mis à chercher tout autour de moi afin de voir si il était là. Mais en regardant l'heure je vis que j'étais un peu en avance donc cela ne m'inquiéta pas, je continuais ma discussion avec Eva, quand je le vis arriver avec son père dans une voiture noire.

-Désoler il est là je vais devoir raccrocher. Déclarais-je à Eva

-T'inquiète vas le rejoindre, profite bien et tu as intérêt à tout me raconter

-Oui promis bisous

-Bisous

Quand il arriva, je voulu m'approcher de lui pour me dire bonjour mais il recula, ce qui me perturba, mais il me chuchota à l'oreille:

-Attend il y a mon père je ne veux pas qu'il nous voit

-Pourquoi? Lui demandais-je étonnée de sa réaction

-Ben mon père est un peu comme le tiens, je suis encore son bébé tu vois le choc pour lui de voir son fils embrasser sa copine, si tu avais vus sa tête quand je lui ai dis que j'étais en couple, et au quand je li ai demander qu'il m'amène pour te voir, car pour lui je n'ai jamais eu de copine.

-J'en conclu que je suis la première fille que tes parents voient?

-Oui, parce que tu est la première que j'aime vraiment

Il ne m'avait jamais cela avant et j'avoues que cela me toucha énormément. Et c'est cette émotion qui me poussa à déclarer:

-Il n'est plus là ai-je l'autorisation de vous embrasser?

-Je ne vous l'autorise pas, je vous l'ordonne. Me répondit il

Ceci n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde. Je m'approcha de lui, et m'accrocha à son coup, pour l'embrasser, j'avais l'impression que ça faisais une éternité que je ne l'avais pas pris dans mes bras, alors que ça faisais que quelques jours. Nous étions dans notre bulle sans voir les gens qui passaient à coté de nous pour rentrer dans le cinéma. Il était temps de rentrer, le film allait commencer d'une minute à l'autre. Quand nous rentrons dans le cinéma le vendeur nous demanda notre pass sanitaire ce que je sorti directement, mais Titouan cherchait mais ne sortis rien, sauf que sans le pass nous ne pourrions pas voir le film...


un amour ou une destructionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant