Don juan.

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P.D.V Sohie.
Le lendemain j'eu la merveilleuse nouvelle de découvrir que Keefe et Ro discutait ensemble au petit déjeuner en bas.
- Ah Foster, ta mère et avec Della parti faire les magasins, et Grady avec une colonie de Gremlins qui c'est installer dans Foxtire.
- Sans blague, on dirait une de tes blagues.
- Moi blagueur, vous avez une mauvaise idée de moi Mademoiselle F.
- Ah oui, tu crois, quand tu as fait exploser le bureaux, c'était des Gremlins qui avait attaquée, non ,
- Peut être je ne me souviens plus très bien, dit. Keefe.
- Mouais.
Je vins m'assoir juste à côté de lui.
- Jus, crémentines.
- Avec plaisir.
Il me tendit le plat rempli à rabbord.
- Wouah y en a pour 40 personnes.
- Non, juste nous trois mais tu oublie Bellecoiffe, me dit Ro.
- Ro à raison ta mère nous a dit pour nous.
- Ah bon.
On entendit raisonner une sonnette.
- Pas le mien, dit Keefe.
- Oh c'est moi, oui.
- Sophie ?
- Dex ! 
- J'ai écouté ton conseil.
- Oh tu vas lui dire que tu es amoureux d'elle.
- Je lui ai dit, elle m'a répondu qu'elle aussi m'aimait.
- Oh l'élève à dépassé le maitre, pleurnicha Keefe.
Drama queen.
- Oh salut Keefe.
- En tout cas je suis heureuse pour toi.
- Oui moi aussi, dit Ro, on parle bien de Biana.
- Oui personne d'autre. 
- Oh, dis-je.
- Foster, Biana, l'humaine, il te l'ai faut toute, rigola Keefe.
- Don juan, dis-je.
- Merci beaucoup Sophie, dit Dex.
- Je savais pas que tu connaissais.
- Mon père la vue en pièce de théâtre des milliers de fois.
Wow ça connaissance à chaque fois m'épatait.
- Bon bref, je te laisse en bonne compagnie.
- À plus Dex.
On entendit le clic qui signifiait que l'appel était fini.
- Je suis tellement heureux pour lui, l'oiseau vas quitter le nid, dit Keefe en s'essuyant un larme imaginaire.
Et il s'éffondra dans les bras de Ro.
- Pff arrête de pleurnicher devant la blondinette.
- Je les déjà vus pleurer.
Keefe se releva et tira la langue à l'intention de la princesse.
- Et oui elle me connait par coeur.
- Pff, par coeur, je ne dirais pas ça.
Keefe se rapprocha très près de mon visage et me dit.
- Tu es la seul qui me connait véritablement et qui ne ce soit pas parti et pour ça merci Sophie.
Son souffle chaud sur ma joue me fit perdre toute notion du temp.
Il plongea son regard bleu dans les miens et la c'était mort pour moi.
- Hmm.
Je m'attendais à ce que ça soit Grady, Fitz ou Édaline.
- Vous savez je ne suis pas parti, dit la princesse, je sais que j'ai du vous aidez pour que vous soyez ensemble.
- Même pas vrai, dit Keefe.
- Ah bon, qui faisait que être le gars blagueur, et qui après sur mon conseil, est devenu le pote compréhensif sur qui on pouvait compter  
- Pff, infime aide.
- Je n'ai pas vraiment eu besoin de ça pour sortir avec Keefe.
- Ah merci Foster.
- Excuse moi mais, après la visite d'Alden, c'était pas gagner, tu m'as quand même dit, je ne veux que le bonheur de Foster, alors...
- Stop, quel conversation avec Alden.
- Celle ou le père de mister perfection à dit à Lord Bellecoiffe de ne put flirter avec toi et que Fitz et toi c'était du sérieux.
À force que Keefe donne des coup de pied à Ro, elle avait un énorme bleu.
- Donc Alden, est venu voir Keefe pour lui dire d'être le meilleur ami possible pour Fitz et laisser la place pour moi.
Keefe baissa la tête.
- C'est ça.
- Donc si ça trouve on serait sorti ensemble avant.
- Non je te signal, que je suis Empathe je sentais bien les émotions quand tu croisais
le Fitzou.
- Sauf quand je t'ai demandé si mes émotions était trop forte pour toi, chuchotais-je le plus bas possible.
- Quoi ?
- Je te demandais si tu avais ressentis une émotions particulière le jour où tu m'as avoué que mes émotions était très forte.
- Euh non je crois pas, pourquoi.
- Oh euh rien.
Je regardais la princesse gober toutes les crémentines.
Keefe me prit le bras et m'en mena dans la prairie.
- Parle, je sens toujours autant tes émotions.
- Ce jour là, après tu étais tellement proche que j'ai reculer jusqu'au mur, et bah que tu m'as effleuré la joue j'au ressentis des papillons dans le ventre.
Devant son mutisme, je ne savais que dire pour casser le blanc.
Il descida d'avancé, le long de la falaise.
- Ce jour là j'ai essayé de te dire je t'aime, pour le jour de l'Apydon aussi, avoua-t-il.
- Donc si tout le monde n'était pas arrivé tu m'aurais dit je t'aime.
- Oui.
- Ce n'était pas le bon moment.
- Oui, je pense que tu m'aurais pas répondu.
Il changea de tonalité.
- Bah pas moi, je suis amoureuse de Fitz à cause de ses yeux, même malgré tes magnifique cheveux et tes airs de mannequin, je ne t'aimerai pas.
- Alors d'abord ma voix est pas comme ça, et ensuite je n'aurais absolument pas dit ça.
- Oui bien sûr.
- Et puis le principal c'est que maintenant c'est toi que j'aime.
- Oh on est sensible Foster, dit-il me prenant par l'épaule.
- Un peu.
- Ça ne peut te rendre encore plus mignone.
Il m'enleva un cil de ma joue.
- Ton transmetteur sonne, encore, tu as beaucoup d'admirateurs.
- Oh c'est Ro.
- Sophie, je m'en vais, je vous laisse entre vous deux 
- Ok, merci et à plus tard.
- À plus tard.
- Je peux te demander quand es-tu tomber à amoureux de moi 
- Ah bah ça va être long alors.
- J'ai tout mon temp, dis-je.

L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : NeverseenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant