FAMILLE !

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- On est d'accord qu'il vient de nous demander d'entrée, demandais-je à Sandor.
- Oui j'ai entendu comme vous.
- Ça me donne des frissons dans le dos, quand il est gentil...pfou pire que Fintan.
- Keefe pourquoi ne reviendrais-tu pas habiter ici, demanda Cassius.
- Il se moque de moi.
- Non, je suis ton père.
Wow Anakin Skywalker sort de ce corp, on t'a reconnu.
- Et un très bon, ironisa Keefe.
- Tu me crois nul mais tu verras plus tard, les bien fait de ton éducation.
- Ah oui c'est sûr que ce sera vraiment dans longtemps, parce que tout de suite...là, je ne ressent pas les 《 biens faits》 comme tu dis de mon éducation, réplica Keefe.
- Tu fais peut être le malin maintenant mais quand tu auras des enfants tu me remerciera, déclara Lord Cassius.
- Quand j'aurais des enfants je ferais tout le contraire de toi, ça sera parfait et si une éducation normal c'est avoir une mère meurtrière et un père mégalo alors je préfère éduqué mes enfants mal, s'énerva Keefe.
Et il parti en claquant la porte du salon.

Après une heure à attendre Keefe, Sandor s'impatientait
- Où est monsieur Sencen ?
- Il est...il est...il est où ?
- C'est ce que je viens de vous demander, déclara Sandor.
- Keefe ?
Je parcourue les couloirs, et encore des couloirs toujours des couloirs, cette maison n'est que couloirs.
- Keefe ? Keefe !
Ah couloirs étonnant.
Sa chambre peut être qu'il y est.
- Keefe ?
Non c'est pas possible où il est.
- Où est Keefe, demandais-je à Lord Cassius.
- Je ne l'ai pas vu, mais il va sûrement revenir.
- C'est ça votre problème, vous ne savez même pas ce que votre fils ressent, ni ce qui est bon pour lui, vous lui proposez de l'accueillir alors que toute ça vie vous l'avez rejeté.
- Parce que vous, vous savez ce qu'il veut ?
- Non, mais je ne le force pas.
-Ah parce que vous trouvez que je l'ai brusquer, demanda-t-il.
- Non à peine, vous lui avez sorti ça comme ça, au faite tu veux habiter avec moi, imitais-je, ensuite vous lui faîte la moral sur votre magnifique manière d'éduquer les enfants et enfin vous le traitez de vantard, non mais c'est l'hôpital qui se fout de la charité.
- Mademoiselle Foster, vous n'avez que 15 ans, vous ne savez rien de mon fils et de la parentalité.
- Non je sais, mais ne vous vantée pas de votre méthode miracle, parce que toute sa vie il a été habituer à un père distant et puis maintenant vous vous rendez compte à quel point votre fils est formidable, affectueux, drôle e  et intelligent, mais c'est trop tard vous avez rater et gacher 16 ans de sa vie.
- Ne vous prenez pas pour se que vous n'êtes pas, vous ne savez rien de mon fils.
Lord Cassius me nargua avec son regard de narcissique.
Je me dirigeai vers le jardin.
Et m'installai sur la balançoire.
- Je t'ai manqué, demanda une voix timide et fluette.
Je me retournai.
- Keefe.
- Ça...
Je me jettai dans ses bras.
- Je me suis inquiété.
- Ça ne servait à rien.
- Si.
- Tu m'étrangle, dit Keefe.
- Ah pardon.
- Pas grave.
-Je t'ai entendu rabattre le caquet de mon père, alors comme ça je suis formidable et incroyable, demanda Keefe.
- Oui évidement.
Keefe sourit. 
- Allons-nous en, Ro doit se demander où nous sommes parti, conseillais-je.
- Tu as raison, allez vient Foster.
Il me prit par l'épaule.
- Keefa c'est mignon comme prénom pour une fille, demanda Keefe.
- Tu es sérieux ?
- Non je rigole.
On se dirigeait vers la porte de sorti avec Keefe et Sandor.
- Au revoir papa.
- Au revoir Keefe.
- Attend, dis-je avant de franchir la porte.
Keefe s'arrêta nette.
- Certe je ne connais pas Keefe depuis longtemps, mais...
Je m'approchai de Lord Cassius.
- J'en sais déjà plus que vous.
Cassius rigola.
- Mais bien sûr, répondit-il.
Je le regarda de haut en bas puis dans les yeux.
- Vous me faîtes pitié !
Son sourire disparu.
- À ruminer votre colère tout seul, en sachant que personne ne vous aime, même pas votre propre fils.
Et je reparti en fermant la porte derrière moi.
On se téléporta à Havenfield.
- Oh ça fait du bien de se libérer d'un poid.
- Tu es incroyable, déclara Keefe les yeux brillant.
- Merci, dis-je les joues rouge.
- Vous voilà, dit Ro.
- Tu as rater un grand moment.
Keefe lui expliqua pendant une heure ce que j'avais dit à Cassius.
- Wow Blondinette, je savais que tu étais une dure à cuire mais là, bravo, applaudi Ro.
- Merci.
- C'est ma petite amie, se vanta Keefe.
- Keefe !
- Bah quoi.
- Tu me fatigue.
- Guimolle, demanda-t-il.
J'avais de la chance, la vie n'a pas été simple mais maintenant j'ai une famille incroyable, des gardes du corps géniaux, des amis formidable et le meilleur petit ami qui existe dans l'univers.


L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : NeverseenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant