deux jours c'était écoulé depuis le début de notre cohabitation entre que Keefe et moi.
Hier avait eu lieu le premier cour de Keefe.
- Je ne dis pas qu'il est chiant, je dis qu'il est pas rassurant il me fout les jetons, répondit Keefe.
- Tu m'as dit textuellement, les prochains cour vont être long, il est chiant.
- J'ai dit flippant pas chiant.
- J'ai mal entendu alors, s'excusa Ro.
- Petit problème d'audition je vois, se moqua Keefe.
Depuis une heures Keefe m'expliquait son cour avec Bronte, il me demandait comment je faisais pour supporter son regard et son air de parrain mafieux.
Et depuis 40 minutes il s'engueulait avec Ro, il débattait de tout et n'importe quoi.
- Je te comprend c'est que le premier cour avec lui, il ma terrorisé, puis j'ai su le dompter, dis-je, il est doux comme un agneau.
- Tu vois même la blondinette à reussi à suivre ses cours, dit Ro, fait pas ta princesse.
- Tu as besoin de lunette aussi, je suis un homme je te signal, répliqua Keefe à la remarque de Ro.
- J'avais remarquer.
- Pas sûr, je te signal que Foster a su dresser un gorgodon, elle a suivi des cour de polyglottes avec Lady Cadence, c'est pas la plus sympas des mentors, l'informa Keefe, elle est pas très fiable notre Foster.
- Elle est parti d'ailleur, dit Ro.
- Tu pense qu'on l'a perdu quand, demanda Keefe.
- Au moment de la princesse, répondit Ro.
Il sortirent tous les deux.
- Vous savez que je suis là, dis-je cacher sur les marches de l'escalier
La pire des cachettes mais la plus efficace.
- Donc tu nous as entendu.
- Oui alors comme ça je ne suis pas fiable, demandais-je.
- Si bien sûr, répondit Keefe.
- Je rigole Keefe.
- Ah.
- Elle t'a bien eu, rigola Ro.
- Pas du tout je savais qu'elle était là.
- Mais bien sûr, dit-elle les yeux au ciel.
- Vous allez pas recommencé.
- Désolé, s'excusèrent-ils.- Ça te dirait de revoir une amie, demandais-je à Keefe.
- Euh oui, mais qui, j'en ai tellement, dit-il en faisant mine de s'évanouir.
- C'est dure la vie pour toi, lui dis-je.
- Tu n'imagine même pas.
Ro derrière l'imitait un peu excessivement.
- Je parlait d'une humaine qu'on a pas vu depuis longtemps.
- Ta sœur, hasarda-t-il.
- À son regard, ce n'est pas ça, fait attention lord Bellecoife, il ne te reste plus qu'une chance, sinon on te jette dans le vide.
- Ro !
- Tu trouve pas que c'est une bonne idée, me demanda Ro à la suite de mon grognement.
- Un peu violent, dit Keefe.
- Oui, bref, je te donne encore un indice, elle habite dans une petite maison.
- Euh, je donne ma langue au chat.
- Tu es sûr que tu as sauter une classe, parce que là c'est pas flagrant.
- Merci, je te rassure je suis pas bête enfin pas trop, répondit Keefe.
- Super, je parlais de Mélinda.
- Tu aurais du dire, c'était ta voisine, ça m'aurait aidé, c'est la seul voisine que j'ai eu de toute ma vie.
- Tu veux dire ton début de vie, dis-je.
- Oui, donc tu veux sauter de la falaise maintenant.
- Laisser nous le temps de nous préparer, dit Sandor à la limite de pleurer.
- Bien sûr et pour ta gouverne Keefe, je suis en pyjama, puisque nous sommes le matin.
- Va te changer, dépêche, dit-il.
Je m'étais mis une simple robe mi long en broderie anglaise blanche, avec un décolleté carré et des manche courte bouffante, et mis quelque tresse dans mes cheveux détaché.- Tu sais que nous allons pas à un bal, demanda Ro.
- Je sais, merci.
- Tu es très belle, c'est ça qu'elle voulait dire, expliqua Keefe.
- Merci.
- Bon on y va, s'énerva Sandor, plus tôt fait plus tôt fini.
- Ok, dis-je en me mettant au bord de la falaise.
- Super, ça tombe bien ce matin je me disais justement, que ça faisait longtemps que je ne mettais pas jetter dans le vide, ironisa Ro, alors merci de réaliser mon souhait.
- C'était un plaisir, dis-je.
- Bon on se jette à l'eau, rigola Keefe, elle est drôle.
- Hilarante, dit Sandor qui tremblait comme une feuille.
- Dépêchons-nous sinon, à force de faire les cents pats, Sandor va faire un trou dans le sol, dis-je, alors un.
Les supposés garde du corps, qui ne connaisse pas la peur, fermirent leur yeux.
- Deux.
On tomba dans le vide, l'air marin fouettait nos narine.
- Et trois.
Le néant, puis comme par magie, à l'intérieur de la maison de Keefe.
- Qui veut boire, dit-il.
- Personne, répondit Ro adossée au bar pour se soutenir.
- Moi je veux bien de l'eau de jouvence, dit Sandor.
- J'en ai, je crois, dis-je en fouillant dans mes poche de manteau humain.
- Sinon, il y a de l'eau humain.
- Trouvé.
- Merci Sophie.
- C'est pas qu'on a quelque chose à faire mais presque.On traversa le salon, la salle à manger et enfin l'entrée.
- Bon je toque ou tu toque, demandais-je.
- On fait à pile ou face, tenta Keefe, moi pile et toi face,
- Ok, vas-y.
Il lança la pièce, la ratrapa, la posa sur sa main et s'exclama.
- Face.
- D'accord.
Je frappai doucement mais asser fort pour me faire entendre.
- Personne.
- J'arrive attender, dit une voix derrière la porte.
- Bonjour, dis-je, ça va Mélinda.
- Sophie, s'exclama-t-elle.
- Ça va.
- Oui et toi.
- Bien aussi, lui répondis-je.
- Moi on m'oubli, dit Keefe.
- Mais non, voyons, déclara Mélinda, toi aussi ça va.
- Oui.
- Entrer, vous allez pas rester dehors, nous invita Mélinda.
- Merci.
Sa maison à l'intérieur tout en ébène et marbre.
- Jolie les colonnes, dis-je, très grecs, j'aime bien.
- C'est vrai que tu as une magnifique maison, elle est immense, observa Keefe ébahis.
- Dit celui qui à trois maison, dont une villa au bord de l'eau, tout en nacre et or et une tour
qui à cinq tourelle et de trois cents étages et ah j'oubliais tu as aussi un appartement immence à Atlantide.
- Ah oui quand même.
- Dixit celle qui à une maison tout en verre et or de 400 m2, qui dans on entrée à un lustre géant en dôme, un escalier pharaoniques central, une arche dorée, elle compte des prairies immense et un sanctuaire à animaux, rétorqua Keefe.
- C'est quoi ces maisons, s'étonna Mélinda.
- Rien on te les montrera, dit Keefe blasé.
- Ma maison est bien banal.
- Elle est très belle, le principal c'est de si sentir bien, je sais que j'adore Havenfield, c'est ma maison, quand j'arrive pas à dormir ou que je suis stressé, je m'installe ou mon père m'installe sous mon panacier, j'arrive tout de suite mieu à dormir, ou alors je peux me promener dans les prairie, dans le minuscule sanctuaire, cette maison est apaisante.
- Un panacier, demanda Mélinda.
- C'est calla une ancienne gnomide qui c'est sacrifier pour sauver son peuple, elle c'est transformer en arbre avec des petite fleur violette, qui sente un parfum enivrant, elle le chante souvent des chanson pour m'endormir.
- Elle est pas sous substance, chuchota Mélinda à Keefe.
- Non c'est vrai, avec son feuillage elle chante.
- Oh.
- Elle à pas tort, c'est pas la maison qui compte, c'est si tu t'y sens bien, dit Keefe.
- Tu en sais quelque chose, dis-je.
- Ma maison Candleshade était une tour immense d'au moin 300 étage avec cinq tourelle, un étage entier pour ma chambre et ma salle de bain, ce qui n'empêchait pas, le faite que je m'y sente oppressé, comme enfermé.
- Il y avait quand même une pièce entières dédié à son père, une statu géante de lui même, tellement il était narcissique, lord Cassius le prétentieux.
- Les rives du réconfort, c'est beaucoup mieu, c'est asser intimiste, chaleureux, les chambres sont normal, il y un banc balançoire en face de la mer, se réjouissa Keefe.
- Elle est pas aussi apaisante qu'Havenfield ou qu'Everglen, dit Sophie.
- Non Havenfield reste la numéros un.
-
VOUS LISEZ
L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : Neverseen
FanficCet histoire n'est pas une #fanfiction comme les autres découvre la suite du tome 8.5. Et si Keefe et Sophie était pas si ami qu'il le dise et si Dex déclarait sa flamme à Biana.