- Mais vous êtes intenable, vraiment.
- Regarde Foster est en colère, c'est très mignon mais on va régler nos problème nous même, t'inquiète pas.
- Justement si je m'inquiète, vous vous êtes vu, vous courez partout, avec vos c'est pas moi c'est l'autre, franchement vous avez quel âge, Ro tu es une princesse et une guerrière, tu te rabaisse au niveau d'un gamin prépubère, qui se fait appellé lord Bellecoife, franchement vous êtes aussi pitoyable l'un que l'autre.
- Elle a raison, s'excusa Ro, désolé Blondinette, je réparerai, si j'ai cassé quelque chose.
- Stop, qui tu traites de prépubère, déjà ça veut dire quoi prépubère, demanda Keefe.
- C'est toi que je traite de prépubère, ça veut dire que tu n'as même pas atteint le stade d'adolescent, tu sais ce que c'est au moin, demandais-je bêtement.
- Je suis choqué Foster et bien sur sûr que je sais ce que ça veut dire adolescent, mais toi aparemment tu ne sais pas ce que veut dire rigoler, Ro et moi on ce chamaille peut être souvent, mais au fond, j'adore mon ogresse collante qui est ma garde du corps, si on fait ça c'est juste pour rire, mais tu comprends pas ça toi
Pendant tout le déjeuner Keefe et moi on c'était pas parler, ni un regard, ni un passe moi le sel, rien.
- Je sens une ambiance pensante, dit Grady.
Ma mère lui donna un gros cout de coude.
- Grady...ça se dit pas de demander ça, remarqua ma mère.
- Pardon ma grande, mais si il y a un problème tu peux me le dire, c'est pas comme si je n'étais pas ton père, rigola-t-il.
- Je sais papa, mais ça va.
- D'accord si tu le dis.
- Excusez moi je n'ai plus faim, s'excusa Keefe, Édaline vos guimolle sont formidable.
- Merci Keefe.
Il monta vite dans sa chambre.
- Ah oui c'est vrai je dois le suivre, se rapella Ro, à près tout, partout où va Keefe j'y vais, imita-t-elle.
- Je ne parle pas comme ça, répondit Sandor.
- Un peu si, rigolais-je.
Il grogna et rétorqua avec des injures gobeline dans sa barbe.
- Je vais lire ou m'entraîner dans ma chambre.
- D'accord ma chérie.
Je grimpa l'escalier et fermi vite la porte.P.D.V Édaline.
- Tu trouves pas qu'il se passe un truc bizare.
Grady m'écoutais absolument pas.
- Grady ?
- Pardon.
- J'ai dis tu trouve pas qu'il y a une ambiance bizare entre eux, lui demandais-je.
Grady qui avala trois guimolle d'un seul coup me recracha.
- Fe fais pas fd'où tu fois ça, mpais je chtrouves qu'ils ne se chont pas achez regarder, cracha-t-il.
- Pardon, moi je te pose une question, je veux pas la météo.
Il avala.
- Je disais, je sais pas d'où tu vois ça mais, ils ne ce sont pas assez regarder, c'est vrai d'habitude ça en devient gênant, tellement il se regarde.
- Oui tu as raison, je devrais lui demander.
- Chérie, ne la stresse pas et laisse les faire leurs erreurs, on apprend toujours de nos faute, je suis sûr, qu'ils régleront leur problème eux même, m'expliqua Grady.
- Tu as raison.P.D.V sophie.
- Pff, Sandor d'après toi, qu'est-ce que je dois faire.
Je faisais et refaisais le tour de mon tapis floral en boucle.
- Bah vos exercice c'est ce que vous aviez dit à vos parent Sophie.
Je m'arrêta et lui fit face moi debout et lui assis sur mon lit en train de limer ses étoile gobeline
- Tu comprends pas, si j'ai dit ça c'est pour m'éclipser.
- Vous devriez aller parler à monsieur Sencen, proposa mon garde du corps.
- Tu crois, mais pourquoi ça serais pas lui qui viendrait s'excuser, demandais-je
- Parce que de un il est têtu comme vous, ça c'est un des nombreux points commun, chuchota-t-il...
- Je t'ai entendu.
- Pardon Sophie, et de deux c'est vous qui avez commencer.
- Et puis si je vais lui parler, je pourrais étrangler Ro pour ce qu'elle à fait à Keefe, la boucle est boucler, dis-je en faisant une danse de la victoire médiocre.
- Sauf que...
Je m'arrêta illico de danser.
- Quoi encore, dis-je lasser.
- Vous n'avez pas le droit de la tuer, m'informa-t-il.
- Pourquoi.
- Parce que c'est à moi de le faire, répondit Sandor.
Malgré sa voix nasillarde de souris, le sourire qu'arborait Sandor avait rien d'un sourire mignon mais plus tôt celui d'un guerrier sanguinaire.
- Très bien, pas flippant du tout.
J'ouvri la porte de ma chambre et me retourna.
- Si ça ne te dérange pas Sandor, j'y vais toute seule, je pense que traverser un couloir n'est pas mortel et puis il y a Ro.
- Très bien, mais si il vous arrive quoi que ce soit bipper moi avec la bague de monsieur Dex.
- D'accord.
Je traversa le couloir et toqua.
- Ro barre toi, j'ai dit que je
voulais pas me coloré les cheveux et me mettre du vernis.
- Non c'est moi.
- Foster, s'exclama Keefe qui se releva de sa chaise.
- Ça va, demandais-je gêner.
- Oui, tu sais là, c'est un petit jeux avec Ro, expliqua-t-il en passant nerveusement la main dans ses cheveux parfaitement décoiffé.
- Ah.
Je regarda derrière lui sur son bureau.
- Tu fais quoi ?
- J'essaye de visualiser mon cours avec Bronte pour pouvoir m'entrainer.
- C'est bien, dis-je sans savoir quoi répondre.
- Tu nous as habituer à de plus grand discour Blondinette, dit Ro derrière moi.
- Je vais pas me présenter à l'ONU, rigolais-je.
Je me sentais seule, en même temps je suis la seule ex humaine dans cette pièce, à part Keefe qui à passer deux semaines dans le monde des humains et encore.
- Bref, je voulais parler à Keefe seule à seule.
- Oh Blondinette c'est pas comme si tu avais jamais parler à Grassecoiffe en ma présence.
- D'accord, dis-je en plaçant une mèche rebelle derrière mes oreilles.
- Aller Blondinette on croit en toi miss Shlinguette aussi, dit-elle.
Je la regarda avec le regard le plus noir que je pouvais faire et attrapa le doudou.
- Je voulais m'excuser pour tout à l'heure, je n'aurais pas dû dire ça.
- Moi j'aurais pas dû courrir après Ro, et je n'aurais pas dû dire les phrases d'après, c'était bête puisqu'après tout tu es ma voisine d'heure de colle et celle qui à fait une bataille d'enzyme, s'excusa à son tour Keefe.
- Wow notre Blondinette rebelle, jamais je n'aurais penser ça d'elle.
- Si c'est une vrai Keefe à l'interrieur d'elle, répliqua Keefe.
- Quand même pas, tu reste le maître à ce niveau.
- C'est vrai, ah ça me manque.
- On est quitte alors, demandais-je.
- On l'est, dit-il, du toute façon tu n'aurais pas pu te passer de moi.
- C'est vrai, dis-je avant de rougir en me rappellant que ma phrase était légitime.
- C'est pas plus tôt le contraire, demanda Ro.
- C'est vrai, dit Keefe un beau sourire au lèvre près à concurrencer Fitz et Dex.
- Blondinette il faudrait un jour que je te raconte l'épisode Bellecoiffe triste et seul dans l'infirmerie de Foxtire.
- La fois du coma.
- Non l'autre, nos parce que la une nuit je l'ai entendu parler en dormant et...
- Eh, s'exclama Keefe avec énergie, ça te dit une ballade dans les prairies d'Havenfield, voir les meilleures bébé alicorne, dit-il avec le même sourire taquin au lèvre que la fois de Felix et Luna qui me mordillait les cheveux.
- Les seuls.
- Oui, c'est pas faux Foster.
On descendit tous les trois.
- Je me serais bien passer du boulet Ro mais bon, notre petite ballade romantique Foster, devra se faire avec une princesse ogre.
- Et un gobelin.
- Gigantor, tu me manquais beaucoup, rigola Keefe.
- Vous savez ce que vous dit le boulet, rétorqua Ro.
- Non et on veut pas savoir, dis-je.
- La Foster que j'adore.
- Bizarement pas moi, répondit la princesse ogre.
- Papa on va nourir Félix, Luna, Sylvenie et Greyfel.
- Super ma grande.P.D.V Édaline.
- Je te l'avais dit ils ont régler leur problème, m'informa Grady.
- Oui, ils sont mignon à voir.
- Ouais.
P.D.V Sophie.- Alors Félix les cheveux de la mystérieuse mademoiselle.F ne te manque pas.
- Keefe !
- Pardon Foster, tu voulais que ça reste secret.
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L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : Neverseen
FanficCet histoire n'est pas une #fanfiction comme les autres découvre la suite du tome 8.5. Et si Keefe et Sophie était pas si ami qu'il le dise et si Dex déclarait sa flamme à Biana.