Feu....

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- C'est pas qu'il c'est grand le quartier, mais presque, dit Keefe.
- Mouais, mais on va y arriver.
- Bien sûr, mais sans paraître rabat joie, une jupe c'est pas la meilleure solution, pour combattre quelqu'un, informa Ro.
- Parce qu'un slip en métal, c'est mieux on dirait une passoire, je suis sûr qu'on peut y mettre des pâtes.
- Vient on essaye, répliqua Keefe.
- Wow, tu es sûr Keefe, que c'est elle l'a bonne, parce qu'elle a de la réparti.
- Absolument, et je l'aime encore plus, maintenant qu'elle t'a tu.
- Super, bon tant pis.
- Par contre moi je suis bien habiller, hein Ro.
- Toi, pas mieu, franchement il manque plus que ta veste de costume, et c'est bon tu peux aller à un bal.
- Moi je trouve que ça lui va bien, dis-je.
- Tu n'es pas objective blondinette,
- Oui je sais mais il va pas faire un marathon.
- Elle a raison, dit-il.
- Tu n'es pas très objectif non plus, rajouta Ro.
- Je sais mais...
Il ne trouva rien à répondre.
- Je te signal que..., commença Keefe.
- Vous avez fini de vous disputés tous les deux, dit Sandor.
- Non pas encore, répondit Keefe un sourire narquois.
- Stop, dis-je.
- Quoi Foster, on a pu le droit de parler.
- Non enfin si mais ta mère à un deuxième prénom ?
- Oui mais je sais plus ce que c'est, je crois que c'est Minette
- Non c'est pas ça, mais Minette c'est drôle, bref, Gisella c'est pas très courent comme nom même chez les humains.
- Pourquoi, tu as trouvé quelque chose Foster.
- Oui et non, je sais pas trop, là il y a une maison, le prénom sur la boîte aux lettre ressemble à Gisella.
- Ah bon...
- C'est quoi, coupa Ro.
- Giselle, mais je pense pas que ça soit elle.
- Tu sais quand tu es ma mère, que tu es activement recherché, tu cris pas sur tous les toits que tu t'appelle Gisella, ou alors elle est suicidaire, hasarda Keefe.
- Il a raison blondinette.
- Oui mais d'un autre côté, lady Gisella aurait marqué son nom de famille, dit Sandor.
- Ma mère n'était pas friande du nom de famille de mon père.
- Je me doute, dis-je en me remémorant l'amour qu'avait lady Gisella envers son mari.
- Bon on peut regarder, on ne sait jamais, obscurateur Keefe.
Il regardait dans le vague, plus tôt vers la maison.
- Keefe ?
- Oui, pardon.
- Ça va.
- Oui,
mais tu imagines si c'est vraiment sa maison.
- Bien sûr pour en être sûr, il faut un obscurateur.
Il me tendit l'appareil.
- Tient, je suppose que tu sais comment ça marche, demanda-t-il.
- Bien sûr, il faut appuyer sur...euh, commençais-je.
Je savais pas il y avait tellement de bouton sur ce truc, comment ne pas se perdre surtout quand on ne sait pas s'en servir comme moi.
- Donne, dit Keefe gentiment, tu vois ce bouton, dit-il en designant le bouton vert, tu le presse deux fois, une et deux.
Un espèce cliquetis ce fit entendre.
- Ça à marcher, demandais-je.
- On va voir, Ro ou Sandor, enlever vos cape noir.
Il enlevèrent leur cape, et aucun mouvement de foule.
- Ça marche, répondit Keefe joyeux et heureux que ça ai marché, c'est super.
- Bravo, dit Ro.
- Ne vous réjouissez pas trop vite, rajouta Sandor.
- N'empêche, que notre petite Foster est trop forte, dit Keefe en me prennant dans ses bras, tu es génial.
- Il n'y a pas que moi qui...
- Bah un peu, Mélinda elle c'est occupé de la gestion des quartiers et moi j'ai fait que vous regardez.
Je rougis, j'espère que ça ne se voyait pas trop.
- Assez roucoulé les amoureux, dit Ro.
- Ro à raison, déclara Sandor.
Vu l'intonation de sa voix il était pas très heureux qu'elle est raison.
- Je sonne, les informais-je.
La sonette retentit.
Une jeune femme blonde, avec les cheveux mi long blond et les yeux bleu, sorti.
Je me raprocha de plus bel, pour voir ses yeux, à sa couleur, c'est pas possible.
En me retournant, pour voir si Keefe avait vu la couleur des yeux de la femme, je le vis qui me faisait signe de revenir.
- Il y a quelqu'un, demanda-t-elle avec une voix aiguë, completement différent de celle de Lady Gisela.
Elle regarda à droite et à gauche, rerentra et referma la porte derrière elle.
- Foster, c'est pas possible, chuchota Keefe.
- Quoi ?
- Tu peux pas t'approcher d'aussi prêt.
- Je sais mais c'était pour la bonne cause, dis-je en lui souriant.
- Alors, dit-il.
- Attend.

P.D.V Keefe.
L'attente avait été interminable pendant toute le temp où Foster contactait Fitz, Dex, Tam, Willy et Grady, pour prendre des nouvelles.
J'aimais bien sa tête concentré qu'elle avait, un sourcil monter et un descendu, c'était adorable.
Quand fini enfin ça conversation, elle faisait une tête de six pieds de long, je ne savais pas si elle était triste parce qu'on l'avait retrouvé, faut dire je la comprenais, ou si elle était triste, parce que ce n'était pas elle, et qu'on devait tout recommencer.
- Alors, demandais-je.
Cette attente était interminable, et insuportable.
- Attend, répondit Sophie.
Super, je vais finir par plus savoir quoi penser moi.

P.D.V Sophie.
Il arrivèrent tous les uns après les autres d'abord Dex et Biana, ensuite Fitz, Mélinda et Stina, après Grady et Édaline, ensuite Willy et Lihn et enfin Tam et Marella.
- Alors, demanda Marella.
- Je sais pas Foster, joue les myst...
Il mit du temps pour comprendre, dès qu'il eu compris, presque instantanément, un éclair de génie apparu sur son visage.
- Elle est là, c'est ça.
Je lui fit oui de la tête, il sauta de joie et me prit dans ses bras tellement fort que j'avais failli tombé en arrière, il me fit tournoyer.
- Vraiment merci Foster, je vais pouvoir revenir, enfin.
- Tu nous avais manqué, ironisa Tam.
- Je sais Tam-Tam.
- Je crois que je vais vomir, dit Dex qui mima un haut le cœur, trop de romantisme, pire que Fitzphie et leur regard dans le blanc des yeux, vraiment Keefster et leur calin et leur prise de main pas mieu, ne finissons jamais comme ça Biana.
- C'est bien parti pour, répondit la cadette des Vackers.
- Qui est Fitzphie et Keefster, demanda Willy.
- Et surtout vous êtes ensemble, dit Marella, félicitations.
- Keefster, c'est nous, team Foster-Keefe.
- Fitzphie c'est...
Fitz ne savais pas quoi répondre.
- Bon qui toque le premier, demanda Mélinda pour couper le blanc.
- Keefe.
- Ok, je veux bien.
- Pour éteindre c'est...euh...
Keefe m'aida à éteindre l'obscurateur.
- Merci, c'est encore plus compliqué de l'éteindre.
- Je sais Disnee, tu devrais en créer un nouveau, plus simple, toi qui arrive à tout créer.
- Avec plaisir.
Keefe posa son doight sur la sonette et s'arrêta.
- Dex, si on n'y arrive pas tu pourras me faire ce que je t'avais demandé.
- Je suis pas sûr Keefe.
Devant la tête de Keefe, Dex ne pu refuser.
- D'accord.
- Merci.
Keefe appuya sur la sonette.
Et personne n'ouvrit la porte, personne, vide.
Lady Gisella avait du comprendre, elle était très maligne.
- Je suis désolé Keefe, dis-je.
- C'est pas grave, on devra ce contenter de nos petit cour tous les deux, répondit Keefe me souriant et en me faisant un clein d'oeil.
- Ça serait super, mais avant promet moi de pas y aller tout seul, chez elle.
- Promit, en faire qu'à sa tête, non merci, la dernière fois, ça c'est plus tôt mal passer, dit-il.
- Je sais.
- Vous voulez dire que vous, enfin on, n'a fait tout ça, pour ça, dit Mélinda, franchement ta mère est super Keefe.
- Très agréable et aimante au possible, ironisa-t-il.
- Bon bah, on va y aller, dit Fitz.
- Bah nous aussi, dit Tam.
- Sophie, on y va chérie.
- J'arrives, tu es sûr que ça va aller.
- Bien sûr Foster, c'est pas la première fois qu'elle me fait ça.
- Je sais justement.
- Ça va très bien, tu es trop mignone quand tu es inquiète, dit-il.
- Je prends ça pour un oui, on se voit demain, tu me hèle si il y a un problème.
- Bien sûr maman, rigola Keefe.
Je r'alluma l'obscurateur.
- Bon à demain.
- À demain, au revoir Édaline, au revoir Grady.
- Au revoir Keefe, dit ma mère.
- Au revoir, Keefe, salua mon père.
On disparu et comme pour me rassurer je me retourni et vu Keefe avec un grand sourire qui me disait au revoir.
Si seulement j'avais pu plus l'aider.
Mais je le pouvait demain j'allais essayé.
Tant pis si ça marche pas, on tente le tout pour le tout.

L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : NeverseenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant