Le bal (parti 2)

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- Comment as-tu combattu 6 ogres Sophie ?
- Je les aies juste bâillonner et légèrement attaqué...peut être.
- Juste bâillonner, rigola la conseillère.
- Et puis qui vous a dit ça, demandais-je 
- Bah Keefe, répondit Oralie.
- Mais il ne faut pas croire tout ce que Keefe dit, il a menti, il aime bien me valoriser.
- Je ne connais pas très bien Keefe, je ne sais pas quand il ment, justifia Oralie.
- Moi même je ne sais pas, saleté d'empathe.
Oralie grogna.
- Merci Sophie.
- Je ne pensais pas à vous, pardon Oralie, m'excusais-je.
- Kenric disait la même chose.
Je repenssai au conseiller et à sa mort tragique dans le grand brasier.
- Parlons de chose plus joyeuse, dit Oralie les yeux rouges.
- Tout à fait.
- Tu sais qui à fait ça ?
- Je pense mais je ne suis pas sûr !

P.D.V Keefe :
- Alors Keefe, vous êtes hypnotiser par le plafond ?
- Pardon, non je suis dans mes pensés, répondis-je.
Bronte me tapa l'épaule.
- Vous avez le droit.
- Mais c'est vrai que ce plafond est beau.
- Vous êtes inquiets, me demanda le conseiller.
- Oui, comment ne pas l'être !
- Climat anxiogène.
- Mais...je me réjouis de voir Foster...pardon Sophie si heureuse et décontracté avec une certaine chose.
- Je pourrais avoir un indice ?
- Je ne peux pas vous le dire même à vous, surtout à vous !
- C'est si grave, c'est un secret d'état, rigola Bronte.
Je viens de faire rire Bronte, c'est choquant.
Je suis très drôle, c'est normal.
Je suis hilarant !
- C'est même pire.

P.D.V Sophie :
- Et j'espère me tromper !
- Tu pensais à qui, me demanda Oralie, sans paraître indiscrètes.
- D'abord j'ai pensé à Alvar, ça vie dans la citée ogre et ses connaissance sur eux, facilitait la chose !
Je m'arrêtais pour savoir si Oralie me suivait dans mon raisonnement.
- Mais la dernière fois que je l'ai vu, il était à un stade élève de délabrement, alors je ne suis pas sûr que la première chose qu'il fasse c'est la fiesta avec les invisibles, expliquais-je.
- Keefe déteind vraiment sur toi !
- Je sais, mais passons.
- Oui...pardon.
- Les invisibles ne l'ont pas aidé beaucoup la dernière fois, ils l'ont laisser presque mourrir, je ne pense pas qu'il veuille les aidé et leurs faire des bisous.
- C'est raisonnement viable, dit-elle.
- J'ai pensé à Lady Gisella, chuchotais-je, mais pourquoi maintenant et ici, ce n'est pas logique !
- Pour...
- Keefe, oui, j'y ai pensé mais non.
- C'est son fils quand même, remarqua Oralie.
- Comment pouvait-elle savoir qu'on allait être tous les deux ici, elle n'a aucun lien avec le monde des elfes et puis ça ne lui rapporte rien.
- Tu dois sûrement avoir raison.
- Elle n'a surtout aucun lien avec les ogres, il l'a déteste !
- Le roi oui...Cadfel n'est pas un fou de Dimitar, répliqua-t-elle.
- Oui mais quand même.
- Alors tu pensais à qui ?
- Vespara, murmurais-je.
- VESPARA !
Oralie plaqua sa main sur sa bouche.
- Chuuuut !
- Pardon Sophie.

P.D.V Keefe :
- Gildingham te plais ?
- Assez, c'est beau...pas autant qu'Éternélia.
- C'est sûr rien est au-dessus, me dit Bronte.
Si Havenfield et les rives du réconfort, si on enlève mon père !
- C'est...
- VESPARA !
Je me retournais vers la personne qui avait crier ça.
C'était Oralie !
À côté Foster se cachait derrière ses mains, espérant être invisible et/o  six pied sous terre.
Je trouvais ça drôle.
- Pourquoi Oralie crie-t-elle ça, demanda Bronte étonné de son attitude.
- Je ne sais pas.
Le repas se termina sur se crie très drôle mais néanmoins étrange.

P.D.V Sophie :
Tout le monde se leva pour aller sur la piste de danse.
C'est drôle dit comme ça, on se croirait en boîte de nuit mais super chic !
- Je suppose que tu as des choses qui te laisse penser à Vespara, demanda Oralie.
- Elle fait parti des Invisibles et maintenant que Gisella est parti, c'est elle leur chef, intelligente comme elle est, les gobelins était un choix parfait pour nous toucher la où ça fait mal.
- Très bonne théorie, il faut maintenant la vérifier.
- Nous n'allons pas l'appeler et lui dire : 《 Eh ! Vespara ! Tu aurais pas attaquer les gobelins, avec l'aide des ogres et voulu nous tué, par la même occasion 》 
- C'est jouable, ironisa Oralie.
Keefe s'approcha.
- Je peux vous l'empruntez ?
- Bien sûr !

- Tu sais que je suis une mauvaise danseuse, tu m'invites quand même.
- Tu es ma petite-amie !
- Et j'ai un manche à balais dans les fesses !
- Je ne suis pas mieux, dit-il.
- Je t'ai vu dansé...déguisée mais quand même, j'avais même pas réussi à mettre un pied devant l'autre.
- Aller Foster, je suis sûr que tu arrives à valser !
- VALSER !
- Oui.
- Mais c'est quoi ça, personne ne danse la valse aujourd'hui !
- Nous si, répondit Keefe.
Il me tendit ses bras.
- Bon d'accord.
Il applaudit.
- Tu feras ça, quand j'aurais fini et avec tous mes membres, lui dis-je.
- Maintenant explique moi ce qui c'est passé tout à l'heure ?
- Je me suis levé ?
- Non Oralie, dit-il.
- Ah le cri.
- Oui.
- Je lui parlais de ma théorie, sur qui nous avait attaqué.
- Vespara ?
- Je pense.
- Remarque c'est logique, remarqua Keefe.
- Peut être que Gisella lui a appris des choses sur les ogres et Cadfel, peut être avec l'aide des notes d'Alvar.
- Sûrement, ma chère maman !
On continuait de valser, sans encombre...pour l'instant.
La musique entraînait nos pat.
- Tu vois tu y arrives.
- Oui !
- Je savais que tu y arriverais, dit-il en plongeant son regard dans le miens.
- C'est incroyable, remarquais-je.
- Non, normal, tu y arrives toujours.
- Mon côté Lady Fosboss.
- Non Foster, répliqua-t-il en me souriant.
Je ne savais pas quoi répondre.
À part rougir.
- Oh c'est mignon, tu rougis, on dirait une tomate !
- Une tomate Keefe ?
- Oui c'est le seul fruit humain que j'ai appris, très bon, répondit-il.
- Tu deviens expert maintenant.
- Oui, il n'y a pas que les gobelins qui soit mon dada.
- Non, les blagues aussi, ainsi que tout ce qui se rattache au Gulon et autres animaux puant, rajoutais-je.
- Que des choses importante dans la vie.
- Mais bien sûr, faut savoir avoir des priorités.
La musique s'arrêta.
Tout le monde applaudi.
Keefe me fit une révérence.
- En quel honneur ?
- Tu as toujours tes membres, expliqua Keefe.

L'AMI DE SOPHIE Tome 1 : NeverseenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant